Baby's in black

Note: 4/5
(4/5 pour 1 avis)

"L'histoire vraie d'Astrid Kirchherr et Stuart Sutcliffe"


1961 - 1989 : Jusqu'à la fin de la Guerre Froide Allemagne Auteurs allemands Le Rock Les Beatles Les petits éditeurs indépendants Musique Séries avec un unique avis

Lorsque Stuart Sutcliffe rencontre Astrid Kircherr à Hambourg en octobre 1960, les Beatles ne sont que de tout jeunes musiciens de rock encore inconnus. Il en est le cinquième membre. Inconnus, les garçons ne vont pas le rester longtemps, électrisant dès leurs premiers concerts les nuits du quartier chaud d’Hambourg, Saint Pauli. On suit en parallèle, tout au long du récit, l’histoire de l’amour naissant entre Stuart et Astrid et la gloire émergente du plus grand groupe de rock ayant jamais existé, prémices de la « beatlemania ». Aux feux de la gloire et du rock, et malgré l’insistance de son meilleur ami John Lenon, Stuart préférera ceux, plus feutrés, de l’amour d’Astrid et de la peinture, sa première passion. Amours frémissants et brûlants, qui se finiront comme dans les plus belles tragédies antiques, dans la fureur et la mort. Texte : Editeur.

Scénario
Dessin
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 02 Novembre 2011
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Baby's in black © Sarbacane 2011
Les notes
Note: 4/5
(4/5 pour 1 avis)
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08/07/2015 | Alix
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Par Alix
Note: 4/5
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Je ne suis pas spécialement fan des Beatles, mais j’ai été captivé par cet album racontant les tout débuts du groupe alors qu’ils jouaient la nuit dans des clubs pourris de Hambourg. L’histoire est bien documentée, et raconte entre autre la rencontre entre Astrid Kirchherr (photographe allemande) et Stuart Sutcliffe, cinquième membre du groupe à l’époque. L’auteur a choisi de centrer son récit sur ce dernier, son déchirement entre le groupe et sa passion pour l’art, ses problèmes de santé, sa relation avec Astrid. On y découvre aussi dans une moindre mesure les mœurs allemandes de l’époque. Le dessin en noir et blanc est élégant, même si il faut avouer que les personnages (surtout masculins) se ressemblent tous, et sont souvent uniquement identifiables grâce à leur coupe de cheveux ! Un album passionnant pour le non-fan que je suis. J’imagine que les amateurs des Beatles l’apprécieront à sa juste valeur.

08/07/2015 (modifier)