Dispersés dans Babylone

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Ayant découvert par hasard que de nombreuses chansons reggae faisaient référence au judaïsme, Jérémie décide d’établir un lien entre Juifs et rastas, au cours d’un voyage qui le conduira d’Addis-Abeba au Bronx. Une BD-reportage instructive.


Documentaires Musique Reggae Séries avec un unique avis

Un beau jour de septembre 2011, alors qu’il reprend le refrain d’une des chansons de l’album de reggae qu’il écoute, Jérémie Dres remarque que ce vieux crooner rasta de Desmond Dekker se définit comme « israélite ». Titillé par cette découverte, il parcourt sa collection d’albums reggae pour constater l’évidence : nombre de rastas font référence au judaïsme dans leurs chansons. Du coup, lui qui s’était fait à l’idée d’avoir des ancêtres revêtus d’une chapka fourrée, imagine désormais qu’il pourrait bien « cousiner » avec un barbu à dreadlocks amateur de ganja. Une brève recherche sur Internet le conduit à envisager un tour du côté de l’Ethiopie, terre d’Hailé Sélassié et des Falashas. Il se pourrait bien, peut-être, que ces fameux juifs noirs soit le chaînon manquant entre Juifs et rastas. Ainsi, quelques semaines plus tard, il prend l’avion pour Addis-Abeba, où il a rendez-vous avec Giulia Bonacci au Centre Français des Etudes Ethiopiennes.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 13 Mai 2014
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Dispersés dans Babylone © Gallimard 2014
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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26/07/2015 | Erik
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