Bride of the Death (Shinigamihime no Saikon)
Alicia Faterin est réputée comme étant la « Princesse de la mort » depuis la ruine de sa famille de noble et la mort mystérieuse de son mari en pleine cérémonie. Un jour, la roue tourne en son avantage grâce à Kashvan Raisen, un nouveau riche se traînant une réputation de tyran, et qui décide d’épouser Alicia dans le but d’ajouter la noblesse à la fortune.
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Alicia Faitlin, fille d’une famille aristocratique appauvrie, a été contrainte à un mariage arrangé par son oncle, mais le marié meurt subitement en pleine cérémonie. À la suite de cet incident, Alicia a été surnommée « La princesse de la mort ». … Cependant, malgré sa réputation, on lui annonce qu’un jeune homme d’une riche famille, Kashburn Licen, veut lui demander sa main, ce qu’elle accepte immédiatement. Ce dernier est un noble arriviste dont la famille a été récemment promue au rang d’aristocrate. Alicia est mise en garde par plusieurs personnes contre cet homme appelé « le tyran » pour une raison que l’on ignore encore.
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Date de parution | 21 Août 2013 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
C'est une sorte de Princesse Bride assez gothique. Ce shojo se laisse lire malgré les énormités et les excentricités ainsi que le ton résolument naïf de ce récit. Il y a un certain second degré qu'il faut accepter. Visiblement, notre héroïne aime être vendu à des hommes riches et elle a un goût pour les choses assez macabres. Elle adopte aisément la positive attitude. J'ai failli mettre deux étoiles mais j'ai été quand même embarqué dans ce récit en trois volumes. L'humour fait mouche pour gommer toutes les imperfections scénaristiques. Ce qui énerve le plus, c'est sans doute le too much des situations. Graphiquement, le trait est élégant et les personnages plutôt bien dessinés. Pour autant, l'arrière-plan a été négligé. Les décors ne seront guère visibles ou du moins assez austère dans leur représentation. Bride of the death ne sera pas la série de l'année, loin s'en faut. Cela demeure un agréable divertissement à prendre uniquement comme tel.
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