Elvis (Jungle)
Biographie du King.
1946 - 1960 : L'Après-Guerre et le début de la Guerre Froide 1961 - 1989 : Jusqu'à la fin de la Guerre Froide Elvis Presley Le Rock Les petits éditeurs indépendants Musique Séries avec un unique avis
Quand il pénètre dans les studios Sun en 1954 pour enregistrer son premier single, Elvis est loin de se douter qu’il va révolutionner la musique et le mode de vie de la jeunesse du monde entier. Cet album raconte l’histoire d’un petit gars arrivé de nulle part et qui va devenir la plus grande star du monde. Aujourd’hui encore toutes les personnes qui montent un groupe de rock dans n’importe quel style lui doivent de pouvoir le faire, qu’elles en soient conscientes ou pas. La légende du King brille tout en haut près des étoiles et ne s’éteindra jamais. (texte : Jungle)
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Public
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| Date de parution | 21 Octobre 2015 |
| Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
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Jungle a lancé plusieurs BD sur des légendes du rock. Après Johnny Hallyday, c'est au tour d'Elvis Presley de voir sa vie racontée sur papier. Je ne suis pas forcément un fan du personnage, mais je pensais que l'occasion serait bonne pour en découvrir un peu plus. Hélas, la déconvenue est au rendez-vous. Dès lors qu'Elvis devient un chanteur, avant même d'être majeur, le récit n'est qu'une suite de titres de ses chansons, entrecoupés de ceux des films auxquels il a participé. J'ai d'ailleurs appris qu'il a eu, à défaut d'une carrière remarquable, une grosse présence sur les écrans dans les années 1960. C'est à peu près tout ce que j'ai appris, car de sa vie familiale il est assez peu question, son mariage avec Priscilla Beaulieu est expédié, ses inspirations, ses états d'âme sont entièrement consacrés à la musique. De même, lorsque ses soucis de santé surviennent, on ne nous dit pas de quoi il s'agit, et quand il décède, c'est à la suite de ces "ennuis de santé". Super. Je ne sais pas si cette contraction est due au scénariste ou si c'est l'éditeur qui lui a demandé d'écrire une bio en un seul tome, mais le résultat est un sabordement de l'intérêt de l'album. Bon, il y a quelques anecdotes intéressantes, comme ce réalisateur de télé qui cadre au-dessus de la ceinture d'Elvis, pour qu'on ne voie pas ses déhanchés, mais elles sont rares... A côté de ça, Fabrice Le Hénanff, dont j'avais admiré le boulot sur "Ostfront" et "Westfront", fait une nouvelle fois admirer sa superbe technique, son génie pour planter des ambiances. Il s'est bien sûr inspiré de l'iconographie abondante sur Presley, et le rendu est magnifique. Mais ça ne suffit pas à en faire un vrai bon album. Franchement déçu.
« Ces gens-là ne méritent pas le nom d’éditeur, ce sont des banquiers qui pensent que l’esclavage est une source de revenus. »
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