La Dixième Symphonie (Vanity)
Une enquêtrice sur la piste de dangereux criminels sataniques...
Auteurs africains Esotérisme Les petits éditeurs indépendants
En plein Paris, dans un château historique renommé pour sa collection de chefs d’œuvre évoquent la sorcellerie et le satanisme... Plusieurs vols suivis de crimes horribles à caractère rituel ont été commis. Angela Sanders et Fanny Gennaux vont naviguer aux frontières du fantastique et peut-être découvrir pourquoi "la mort s'appelle Vanity".
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| Date de parution | Juillet 2007 |
| Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
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Je me suis procuré ces 2 albums lors de mon pèlerinage annuel à Angoulême. Pas trop de monde à faire la queue pour une dédicace, et Kash le dessinateur semble abordable et prêt à échanger avec ses lecteurs. Pourquoi pas. J’y vais donc les yeux fermés. Le courant passe. Deux dédicaces du tonnerre. Il ne me reste plus qu’à découvrir le récit. Mauvaise pioche ! Non pas sur le dessin en lui-même plutôt agréable, mais sur l’histoire. C’est trop alambiqué. Trop de personnages. Trop d’invraisemblances. On se perd dans les méandres de ce récit sans queue ni tête. Du coup j’ai failli lâcher dès le premier album. La lecture est pénible. Tu dois revenir régulièrement en arrière pour essayer de comprendre tout en jonglant avec les rituels sataniques. Les révélations explosives s’enchainent mais cela fait pschitt ! Les incohérences se succèdent sans que cela émeuve qui que ce soit. Au final une lecture hachée et ennuyeuse avec une seule envie, que celle-ci se termine au plus vite. Quel dommage.
Vanity est une série policière sympathique avec un scénario à l'ancienne du créateur de Ric Hochet ; André Paul Duchâteau. Le déroulement de l'histoire va à un rythme rapide, ce qui fait que j'ai lu les 2 tomes d'un trait. Il ne faut pas chercher la petite bête, il y a des incohérences et les réactions des personnages face aux évènements sont parfois illogiques, mais on se prend au jeu de cette série qui n'a qu'un seul but, celui de divertir. Le dessin de Thembo Kash est de style moderne, il donne l'impression d'être fait par ordinateur mais le rendu n'est pas désagréable, les personnages sont réussis et les décors collent bien à l’ambiance sombre sans atteindre des sommets non plus...
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