Mickey's Craziest Adventures
Catastrophe, le coffre-fort de Picsou a été dévalisé ! Les responsables ne sont autres que Pat Hibulaire et les Rapetou, ayant réussi à dérober la machine à miniaturiser conçue par Géo Trouvetou lui-même. Pour les arrêter, Mickey et Donald doivent unir leurs forces et partir à leur poursuite. C'est pour eux le début d'une course effrénée, du laboratoire du génial inventeur aux méandres d'une dangereuse jungle, en passant par les ruines d'une cité antique et secrète... Bref, la plus folle des aventures !
Gobelins, l'École de l'Image Journal de Mickey La BD au féminin Lewis Trondheim Walt Disney
Mickey's Craziest Adventures est une histoire oubliée qu'auraient retrouvé par hasard Lewis Trondheim et Nicolas Keramidas ! Une série d'épisodes en une planche qui, mis bout à bout, forment une histoire au long cours... Sauf qu'ils n'ont pas pu en retrouver l'intégralité ! Les auteurs ont donc été contraints de raconter un récit « incomplet » qui, dans un tour de force narratif, nous fait jouer à imaginer les séquences manquantes. Quoi qu'il en soit, ils livrent une histoire qui se lit d'une traite, où humour et aventure se conjuguent à la perfection !
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Date de parution | 02 Mars 2016 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Voilà un exercice de style très amusant, qui rencontre toutefois quelques limites qui l'empêchent d'atteindre parfaitement sa cible. L'album s'ouvre sur un préambule nous faisant croire qu'il s'agit de fac-similés des années 60 qui sont repris ici. Idée très amusante et plutôt bien mise en œuvre, qui se heurte toutefois assez vite à un premier obstacle : on n'y croit pas vraiment. Le travail esthétique est remarquable pour tout ce qui est vieillissement des planches, couleurs un peu passées, mise en page vintage, etc. Là-dessus, rien à redire. Toutefois, premier indice qu'on est face à un pastiche plus récent : le dessin de Keramidas est trop moderne, il n'a pas tout à fait la rondeur et la fluidité qu'on aurait eu dans un authentique Mickey des années 60. Il est loin d'être laid et est même plutôt réussi, mais il lui manque une petite patte qui aurait rendu le pastiche parfait. Ce qui rend le pastiche imparfait, c'est aussi les dialogues de Trondheim. Ceux-ci sont parfois très amusants, mais ils sont également trop modernes dans les formulations ou dans le style un peu hystérique trop marqué XXIe siècle. Après, ces légères critiques sont très relatives, car le plaisir de lecture est bien là. Malgré les petits défauts soulevés, Trondheim réussit brillamment à renouer avec l'aspect feuilletonnesque des comics à l'ancienne. Mickey se balade de l'infiniment petit à l'infiniment grand, il se bat contre araignées, des dinosaures, et des Atlantes, il rencontre Donald, Géo Trouvetou, Pat Hibulaire, les Castors junior... Bref, tout est là pour faire un récit ultra-rythmé, et même complètement échevelé, fait avec beaucoup d'humour, malgré des gags souvent trop enfantins ou pas assez construits. L'artifice visant à nous faire croire qu'il s'agit de pages éparses et qu'on n'a pas retrouvé toutes les pages du récit originel est encore une idée tout-à-fait plaisante qui donne lieu à des raccrocs souvent malicieux et pleins d'humour, mais en même temps, on a parfois l'impression que c'est aussi une justification un peu facile à la paresse scénaristique de Trondheim. Mais bon, indéniablement, on trouve un grand plaisir à lire ces morceaux de récit éparpillés qui forment un tout relativement cohérent, un récit délirant et bondissant qui se lit très agréablement. Rien de très incontournable, probablement pas un album à avoir impérativement dans sa bédéthèque, mais une bande dessinée jouissive et pleine de malice qu'on se prendra peut-être à rouvrir dans un avenir plus ou moins proche.
Je n'ai pas honte de dire que sans les avis précédents, j'aurais cru la fable de Trondheim sur son histoire de brocante. C'est dire si je suis naïf et bon public. C'est dire aussi que je trouve la mise en scène et la réalisation de l'album parfaitement en phase avec l'exercice de style que se sont imposé les auteurs. En effet pour que cela réussisse, même avec moi, il ne suffit pas de sauter quelques planches deci delà. Je trouve que Trondheim a parfaitement réussi à maintenir la cohérence du récit et sa crédibilité quant au public initial visé. Comme les gags sont pour la plupart bons je trouve que c'est une belle réussite. Une réussite qui ne serait pas complète sans le graphisme de Keramidas qui a su être suffisamment convainquant pour me faire croire à l'ambiance vintage et les attitudes rétro de nos héros. J'aime bien cette collection proposée par Glénat. Si ce n'est pas mon opus préféré je trouve qu'il ne démérite pas. 3.5
Je déteste ces bds Mickey ! Les graphismes sont vraiment spéciaux, pas moches, mais horribles pour mes yeux ! Le tout en devient donc assez illisible pour ma part. A chaque fois que ces planches apparaissent dans le journal de Mickey je ne les lis pas. C’est rare que je n’aime pas, voire déteste une BD Disney, mais ici c’est le cas.. j’aime pas du tout! Ça aurait pu être sympa, les personnages ne sont pas vraiment moches, mais voilà je n’ai pas vraiment accroché.
Je fais partie de ceux qui sont un peu déçus par cet album. C'est un bon album que je relirais avec plaisir, mais j'avais peut-être un peu trop d'attente. J'aime bien les BD Disney et voir une histoire mélangeant les personnages de l'univers de Mickey et de l'univers de Donald (ce qui n'arrive pas souvent, du moins du temps où je lisais les magazines Disney) m'a rendu très heureux. J'imaginais déjà le potentiel de voir des personnages qui se croisent rarement ou jamais ensemble. Malheureusement, le gros de l'album met en vedette Mickey et Donald et les autres apparaissent sur quelques pages au mieux. Le pire venant des méchants de l'histoire. Si vous voulez voir une association entre Pat Hibulaire et les Rapetou, eh bien sachez qu'ils sont au final peu présents dans l'album SPOILER (ils apparaissent sur... une page) FIN DU SPOILER. Or j'avais déjà lu quelques histoires avec Donald et Mickey. J'aurais plus aimé voir des trucs comme Dingo et Gontran Bonheur interagir, ça aurait pu donner quelque chose de marrant. Un autre problème que j'ai concerne le scénario. Le fait qu'il y ait des trucs dans l'action ne me dérange pas vu que l'histoire est facile à comprendre : c'est une course poursuite à travers le monde ce qui donne l'impression que ça part un peu dans tous les sens. Par exemple, Mickey et Donald sont dans la jungle et puis après ils sont dans l'espace. L'histoire vaut plus pour les gags qui sont pour la plupart réussis (j'ai beaucoup rigolé) que pour la structure du récit. Le dessin est dynamique et pas mal quoique j'aie eu un peu de difficulté avec la représentation graphique de certains personnages (mention spécial pour la tête de Mickey) vu que pour les comics Disney, je suis formaté à certains styles et du coup voir un truc différent est un peu déstabilisant pour moi. Au final, c'est une aventure sympathique, mais ce n'est pas la BD immanquable que je m'étais imaginé.
J'attendais peut-être un peu trop de cet album et au final j'ai été déçu. Peut-être que Trondheim a été brimé par le cahier des charges Disney et n'a pas osé suffisamment se lâcher, alors que je pensais qu'il ferait une déconstruction en règle du mythe Mickey. Alors certes, le postulat de départ est original, puisque les auteurs nous disent avoir retrouvé des histoires de Donald et Mickey oubliées dans une brocante française. Cependant ils n'ont pas pu acquérir toute la collection. Cela leur permet d'avoir des ellipses à chaque page environ et de se concentrer uniquement sur l'action. Mais passé ce procédé, que reste--t-il du propos ? A mon avis pas grand-chose, hormis une mise en page dynamitant tous les codes et des monstres lovecraftiens. Je n'aime pas trop le dessin de Keramidas et je trouve que les trop nombreuses péripéties entraînent une certaine forme de lassitude ; ça va vite, trop vite, le scénario est mince et on finit par trouver ce bel objet un peu vain. Au final, je conseillerai plutôt de relire l'intégrale de Mickey par Floyd Gottfredson éditée par Glénat, mais qui malheureusement n'a pas eu beaucoup de succès en France à cause de son format particulier.
Mon avis est un peu mitigé, comme une bonne partie de ceux qui l'ont lu ici. Sur la forme, c'est un bel album, avec une maquette superbe, un dessin extrêmement dynamique de Keramidas, des décors vraiment réussis... Le dessinateur a dû s'amuser -mais aussi se prendre la tête- pour réaliser cet album. Sur le fond... On sent bien l'exercice de style, dont Trondheim a fait en quelque sorte sa marque de fabrique, en proposant un récit percé de multiples trous. Du coup l'histoire est décousue, se résumant en effet à une course-poursuite un peu sans queue ni tête, à un florilège de situations "canoniques" de l'univers Mickey/Donald : la voiture de Mickey qui se plante, Donald qui fait n'importe quoi, Picsou qui houspille son neveu, Gontran qui a une chance inouïe... Ça manque de Riri, Fifi et Loulou et de Dingo, mais on ne peut pas tout mettre non plus. Ça manque de profondeur, tout simplement. En résumé, un album attrayant, distrayant, mais guère plus.
J'attendais un peu mieux de cet album. Il comporte des choses que j'ai beaucoup aimées mais j'en ressors quand même légèrement déçu. D'emblée, j'ai apprécié cette idée de faire croire au recueil de planches antiques retrouvées par hasard par les auteurs. Le travail éditorial et visuel pour donner un aspect vieilli et abîmé aux pages est très beau et fonctionne parfaitement avec le graphisme de Keramidas qui pourtant contraste avec son trait plus moderne et plus fantaisie. Et l'idée que toutes les planches n'ont pas été retrouvées et qu'il en manque dans l'album permet des ellipses bienvenues, autorisant les auteurs à se focaliser sur les moments d'action et d'humour principaux sans s'embarrasser de transitions parfois compliquées. J'ai retrouvé au passage les émotions que je pouvais ressentir quand je lisais des séries à suivre dans des journaux comme Mickey, Spirou ou Tintin sans avoir tous les épisodes et que j'imaginais les événements intermédiaires. L'intrigue en elle-même n'est pas intéressante. C'est une grosse course-poursuite où, à la manière des vieux récits d'aventure du début du 20e siècle, les héros parcourent le monde vers des lieux parfois complètement exotiques ou imaginaires. Mais c'est avant tout un prétexte à aligner des gags en une planche, se suivant plus ou moins, exercice dont Trondheim est un grand adepte. Ces gags, s'ils ne m'ont pas trop plu pour les premières planches, m'ont vraiment fait rire à d'autres moments. C'est un peu inégal mais parfois très bon. En définitive, Mickey's Craziest Adventures est un bel album, tant physiquement avec son papier épais et sa couverture toilée, que graphiquement avec le dessin de Keramidas et le travail de vieillissement des planches. C'est aussi un bel album dans l'idée de faire revivre l'ambiance des récits d'aventure du début 20e siècle et de l'univers de Walt Disney tout en leur donnant une touche indéniablement moderne et second degré. Mais le rendu final est un peu trop inégal en terme d'humour et trop peu marquant en terme d'intrigue elle-même pour que je sois complètement tombé sous le charme.
C'est une histoire de faussaire… Trondheim et Keramidas ont dû bien s'amuser à réaliser cet album. Le résultat est probant et la publication de qualité : couverture à l'ancienne, papier épais, jaunis et taché, trames grossières, couleurs à la fois criardes et délavées… On croirait presque à la fable du chef-d'œuvre perdu, retrouvé par hasard et restauré avec amour ! Voilà pour la forme… En ce qui concerne le fond, je suis moins enthousiaste. J'ai lu Mickey et Donald moi aussi quand j'étais môme et que je lisais tout ce qui me tombait sous la main, puis j'ai opté pour la BD franco-belge dès que j'ai été en âge de choisir. L'univers Disney est bien gentil, mais son côté gentillet – pour ne pas dire niais – est tout de même destiné à de très jeunes enfants. Dans le cas présent, les auteurs respectent bien le cahier des charges de la multinationale détentrice des droits : pas de violence, pas de gros mots, rien d'irrespectueux vis-à-vis de quoi que ce soit… Si vous voulez de la transgression, lisez plutôt Rose Profond. Malheureusement, je ne suis pas encore assez vieux pour que la nostalgie me submerge ! De toutes façons, mon Mickey n'était pas aussi vintage, il portait des habits (presque) normaux, pas ce bermuda rouge à boutons, qui me semble bien préhistorique. Quant au choix de Trondheim de ne réaliser que 44 des 82 épisodes supposés (je n'ai pas compris si c'est un gag, de la paresse, ou une volonté de réaliser des économies en limitant le nombre de planches de l'album), il génère de nombreuses ellipses, ce qui n'est pas vraiment gênant pour la compréhension de l'histoire, certes, mais c'est d'abord parce que de scénario, il n'y en guère ! Dans ce crossover, Mickey et Donald s'allient pour poursuivre les Rapetou et Pat Hibulaire et ils passent tout l'album à cavaler dans des décors variés. La « fantaisie la plus débridée » (comme on dit dans les critiques de Télérama) règne dans l'enchaînement des scènes, sans doute, mais l'histoire n'est qu'une suite de scénettes mal articulées. Par exemple, l'enchaînement des épisodes 66-67-68-69, un des rares cas de continuité, est aussi un chef d'œuvre d'absurdité. Chaque planche peut presque se lire séparément, comme un gag indépendant… Ne vous attendez pas pour autant à hurler de rire : sur une échelle de la rigolade numérotée de 1 à 10, je ne donnerais pas plus de 3. Bon, j'admets aussi que l'humour de Trondheim n'a jamais eu mes faveurs… Kéramidas, de son coté, montre une nouvelle facette de son talent. Il fait beaucoup d'effort pour restituer le style désuet des vieux Disney et y parvient totalement. Coup de chapeau également à la coloriste qui participe très efficacement à l'entreprise. En résumé, c'est incontestablement de la belle ouvrage, mais je trouve l'exercice de style assez vain. Pas sûr que je relise l'album, ni que je me penche sur les autres albums Disney que les éditions Glénat envisagent de publier. À réserver aux passionnés et aux collectionneurs nostalgiques, donc.
Lorsque je vais vu cette B.D. dans la liste des nouveautés de mon libraire j’ai tout de suite pensé à Valérian, vu par... et je m’attendais à une histoire du même acabit, une adaptation plus moderne, moins naïve de l’œuvre originale. Dès le premières planches j’ai été déçue, le ton d’entrée est trop naïf, les personnages surtout Mickey sont à la limite de la distribution de baffes, et puis les premières planches sont un peu chaotiques car les transitions entre chaque scènes sont trop franches, au point de ne pas savoir si ce sont des saynètes ou une histoire complète. Heureusement l’histoire arrive un peu plus loin et c’est un soulagement car ce début de récit s’est révélé plutôt morne. J’ai finalement apprécié de plus en plus cette lecture au fil des planches, ceci dit il n’y a rien de transcendant, toutes les idées sont des reprises piochées ça et là, même l’humour c’est du recyclé. La couverture est splendide et donne tout de suite envie de se plonger dans la B.D. Le papier mât met en valeur le dessin qui se veut ancien, avec une base de papier tout en pointillés pour appuyer ce côté vieillot. Les couleurs sont vraiment chouettes et pétantes, hyper joyeuses, elle mettent de bonne humeur. Ce que j’ai trouvé moins pertinent ce sont les tâches et les imperfections du papier pour appuyer encore ce visuel d’ancienne B.D. ayant vécu des tas de lectures. A mon sens ça ce lit une fois ou deux, l'achat étant réservé aux collectionneurs, fans de Mickey ou fans de Trondheim.
Rapide flashback : même si j'en ai très peu parlé ici et là, j'ai lu beaucoup d'aventures des personnages de Mickey ou de Donald dans ma jeunesse. Le journal de Mickey, Mickey Parade et compagnie font partie de mes classiques. Malgré une nette préférence pour les aventures de Donald et de ses neveux ou du célébrissime Picsou, l'univers de Mickey, souvent moins drôle, n'avait aucun secret pour moi.... Puis paf on grandit, on oublie et, et, et.... Quelle ne fut pas ma surprise de voir Trondheim au scénario d'une commande et d'un partenariat de 4 albums Glénat sur la souris la plus célèbre de Disney ! Avec Keramidas aux commandes qui a fait ses armes dans un studio Disney section animation avant de voler de ses propres ailes, c'était déjà l'assurance d'un joli duo pour réanimer la souris au short rouge dans un univers déjanté... Pari tenu car ce joli album toilé est non seulement une madeleine de Proust incontestable mais une oeuvre culte de plus pour les papas de Lapinot et de l'excellente trilogie Alice au pays des Singes !!! Jouant des contraintes imposées par Disney (pas d'alcool ou armes à feu entres autres), Trondheim a du se régaler en concoctant un scénario rythmé et complètement déjanté s'affranchissant même des transitions désuètes puisque son histoire est entrecoupée de pans béants dans sa narration. Une histoire incomplète, comment cela ? Très simple, les auteurs ont fait mine de retrouver un récit incomplet et jamais publié en français qu'ils auraient traduit et réhabilité... En fait chaque planche est numérotée et il en manque pas mal volontairement, libre au lecteur de se constituer lui même les transitions nécessaires. Vous êtes perdu ? Pas du tout ! Il ne faut pas oublier que Trondheim est passé maitre dans le style Oubapo et que l'ensemble n'est que prétexte à une succession de gags de haute volée en une page et dont il est facile de relier les pages manquantes. Sur base d'un traditionnel vol de Picsou par Pat Hibulaire et les Rapetou, Trondheim et Keramidas nous basculent en 44 pages dans l'univers complet, drôle et absurde de Mickeyville ! Ainsi Donald et Mickey forment un sacré duo, toujours en mouvement. Qu'ils soient rapetissés, explorent un temple inca ou aillent même sur la lune, leurs péripéties vont vous rappeler votre jeunesse et vous faire marrer car oui on rit des codes Disney détournés par les auteurs de façon non seulement respectueuse mais référentielle. Pour ma part, Mickey n'aura jamais été aussi drôle sur papier que dans cette aventure où il sera affublé d'un Donald fidèle à lui-même. Keramidas est un auteur complet dont le style dynamique et cartoon s'adapte parfaitement au style rétro et vintage de Mickey. Il faut également souligner le travail exemplaire de Brigitte Findakly aux couleurs "restaurées" et aux nombreuses taches et effets vieillis de la bd (n'oubliez pas qu'il s'agit d'un trésor perdu puis retrouvé) lui donnant un effet "Grindhouse" des plus réussis. Bref, la réussite est totale. On lit d'abord par curiosité forcément puis on tombe sous le charme en à peine 3 pages.... Merci Trondheim et Keramidas de nous offrir un tel bijou sur un univers aussi éculé et balisé que celui de Mickey et de Donald ! Ruez vous vite dessus, vous ne le regretterez pas d'autant plus que le prix de 15 euros est tout à fait inhabituel pour un album de cette qualité éditoriale.
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