Tom Strong
Will Eisner Award 2000 : Best Serialized Story Alan Moore revisite avec humour le mythe du sur-homme
ABC Comics Alan Moore Auteurs britanniques DC Comics Super-héros Vertigo Wildstorm Will Eisner Awards
Tom Strong est grand, fort, courageux. Tom Strong défend la justice, la culture, sa famille et le bon droit. Tom Strong est né sur l'île d'Attabar Teru, en 1900. Et la série permet aux auteurs de revisiter (à leur manière) l'histoire du 20e siècle.. Alan Moore et Chris Sprouse sont les chantres des aventures séculaires de Tom Strong, des jungles d'Attabar Teru aux buildings Millenium City, des sources de la Pangée aux ruines d'un futur qui déchante. Cent bougies pour un siècle d'aventures. Le grand Alan Moore reprend ici l'archétype de base du super-héros : l'homme fort, et le revisite avec humour et distance.
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Date de parution | Octobre 2000 |
Statut histoire | Histoires courtes 4 tomes parus |
Les avis
C'est marrant de penser que des générations qui n'ont jamais croisé les chemins aventureusement désuets de héros presque mythologiques tels le Fantôme (the Phantom) du Bengale ou Doc Savage -l'homme de bronze !-, et même Mandrake, le magicien, peuvent néanmoins, en parcourant les récits "abrégés" de ce Comic Book, expérimenter un peu de la simplicité -pureté ?!- des univers fabuleux dans lesquels ils évoluaient. Moi-même, malgré mon âge (!), et alors que je ne me souvient qu'à peine des exotiques péripéties que j'ai pu lire dans quelques BD de poche miraculeusement tombées du ciel (ou des bouts d'histoires, dans le journal de Tintin !), j'ai pourtant drôlement bien ressenti ce qu'à voulu nous transmettre Alan Moore en nous faisant partager sa nostalgie d'une Ère où tout restait à imaginer, en matière de littérature Fantastique. La science commençait à s'imposer comme LA référence inébranlable de tout ce qui est -jusque dans les domaines variés de la création !- ; et les deux pôles littéraires, en se mêlant gracieusement chez les auteurs les plus avant-gardistes (et les plus talentueux !) allaient nous offrir des œuvres magistrales et visionnaires. ... Il est quand même sacrément culotté de nous priver de ce qui, d'habitude, fait la séduction de l'histoire racontée -son déroulement !- pour ne se concentrer que sur les moments-clé, et nous amener directement aux conclusions de telle ou telle aventure, pour uniquement mettre en avant un aspect de sa réflexion sur cet hommage -du coup très précis !- à ce qu'il a aimé dans ces récits qui ont, vraisemblablement, enrichi son imaginaire à lui, pendant son enfance... J'aurais adoré vivre "en live" les affrontements successifs entre la Strong Family et Modular-Man, par exemple ! Bon, c'est vraiment super-bien fichu. En tous cas les débuts -j'ai un peu perdu pied, par la suite : il semblerait qu'on soit revenu à quelque chose de plus classique -lire "habituel"- , dans la forme... Mais Chris Sprouse est décidément un crack ! Son style, très propre et figuratif, arrive à faire accepter un univers tout de sobriété réaliste dans lequel peuvent évoluer -sans créer d'inconfort visuel !- des personnages aux proportions vraiment "Comicquesques" (!). Sa dextérité à faire exprimer aux héros leurs émotions en quelques traits est un autre aspect de sa virtuosité et, sans imiter personne, il parvient néanmoins à rendre "l'esprit" de ces vieilles bandes ; ne serait-ce que grâce à l'apparente simplicité de son dessin, rejoignant ainsi les intentions de son auteur. Par la suite, les artistes tenteront le même exercice ; mais même l'excellent Arthur Adams, pourtant encore une fois très efficace, ne pourra pas empêcher son graphisme de rendre Tom Strong plus moderne ; et donc moins raccord avec les intentions initiales de Alan Moore. Des débuts qu'on relit toujours avec grand plaisir -et plein d'espoirs pour la suite !- tant est réussi le mélange. Très bel hommage.
Inconditionnel d'Alan Moore, je trouve à Tom Strong une agréable légèreté et une belle cohérence entre les récits. Cependant, tout cela manque d'épaisseur. Et les univers caricaturaux que traverse le personnage le décrédibilisent beaucoup, même si leur caractère désuet est volontaire. Je reste donc sur ma faim et espère être surpris par le deuxième tome de l'intégrale que je n'attends pas avec impatience. Post-scriptum : la relecture a porté ses fruits. Je hausse la note d'un point, car même si le récit n'a pas la gravité de beaucoup d'autres créations d'Alan Moore, les pics surgissants ici ou là pour se moquer des "comics book ordinaires", ainsi que la panoplie de super héros inventés pour habiller l'ensemble, font de Tom Strong une bouffée d'air frais.
3.5 J'ai profité de la republication de la série par Urban Comics pour relire la série qui ne m'avait pas trop plus il y a quelques années. J'ai lu le premier tome de cette réédition qui contient les 19 premiers numéros de la série et surprise j'ai beaucoup mieux accroché que la première fois que j'ai lu ses histoires. Comme souvent avec Moore, cette série est un hommage et celle-ci est un hommage aux vieux pulps et au vieux comics. C'est ainsi que l'on va avoir droit à une ambiance de vieille série du genre Doc Savage. Habituellement, je n'aime pas trop ce genre de vieux récit de science-fiction, mais Alan Moore réussit à rendre les aventures de ce Tom Strong intéressant. Certes, le héros est un peu terne au niveau du charisme, mais j'aime bien l'univers créé par les auteurs et surtout l'intelligence du scénario. Alan Moore fait un bon mélange de premier et de second degré et j'aime comment plusieurs épisodes se conclus avec des solutions logiques qui sont assez original (je pense notamment de la manière dont Strong vain un ennemi qui a téléchargez sa mémoire sur internet). Moore fait bien pleins de clin d’œil et de références, mais contrairement à d'autres de ses séries (genre les derniers épisodes de La ligue des gentleman extraordinaire), cela ne rends pas le scénario incompréhensible et lorsqu'il donne des explications, ce ne sont pas des longs discours qui semblent durer des dizaines de pages pour rien et qui sont chiant à lire. Le but premier de Tom Strong est de divertir et Moore réussit bien dans ce domaine.
Je commence à m'habituer aux séries "hommage/référence/clin d'oeil" qu'Alan Moore voue aux grands classiques américains : La Ligue des Gentlemen Extraordinaires pour les héros d'aventures du 19e siècle, Suprême pour les super-héros classiques, Jonni Future sur les récits de science-fiction aventuresques, et autres Promethea. Tom Strong, pour sa part, est un hommage aux vieux comics d'aventure/action, mélange de Superman, Batman, Tarzan et surtout de Doc Savage (personnage que je ne connaissais pas vraiment en réalité). Je ne sais jamais trop comment aborder ces récits qui sont à prendre à la fois au premier degré car l'aventure et l'action y sont mises en avant, mais aussi au second degré par l'afflux de clins d'oeil, d'humour, de dialogues et de situations désuettes voire naïves pour un lecteur moderne. Au second degré, c'est sympa, ça se lit avec le sourire car l'humour est assez présent. Mais n'étant pas un amateur des comics d'action à l'ancienne (et ignorant Doc Savage), je ne suis pas sensible aux références et à l'hommage ainsi rendu. Au premier degré, c'est idem : c'est sympa, ça se lit bien. L'aspect un peu naïf, voire convenu, m'empêche cependant d'être vraiment captivé car tout est assez prévisible, sciemment téléphoné. Mais l'ambiance est bonne, les récits plaisants, la narration excellente et originale par moment. C'est de la bonne BD de divertissement doté d'un dessin très correct même si assez banal. Je ne suis donc pas mécontent de mon achat mais ce n'est pas un indispensable à mes yeux, même pour quelqu'un qui aime beaucoup Alan Moore comme moi.
"Tom Strong" ? Rien qu'avec le titre, je pensais que j'allais lire une parodie de qualité, Moore oblige. Mais, en fait, j'y ai vu un puissant hommage et si la parodie est certes bien présente c'est, une fois de plus, fait avec tant de délicatesse et d'intelligence par l'auteur que l'on se sent une fois de plus surpris où on ne s'y attendait pas. "Tom Strong" c'est le super héros en question, le mot qui me vient à l'esprit immédiatement pour le définir : BALEZE (encore plus balèze que son nom écrit en majuscule). En plus, c'est totalement assumé. Le personnage n'est pas un béhemot abruti et, en plus d'avoir une force colossale, il est doté d'une intelligence sans failles. On suit donc ses aventures sur un peu plus d'un siècle (dans un ordre pas forcément chronologique mais en aucun cas embrouillé) à combattre ses ennemis, vieux ou nouveaux avec la même aisance. De plus, Tom Strong est une célébrité, respectée par tous. Il a même un club de membres : "les strogmen" qui reçoivent en cadeau d'accueil un comics relatant les aventures de...Tom Strong ! D'ailleurs, l'histoire qui ouvre ce récit nous montre un petit garçon, lisant les aventures de Tom sans se douter qu'à deux pas de lui se trouve son idole. En plus, ce passage précis est trop fort car, même si nous sommes dans la réalité, les dessins sont cartoonisés à fond et les actions de Tom paraissent trop faciles, comme dans une vielle BD, avec des ennemis débiles et inoffensifs face à la puissance et l'ingéniosité du héros. En lisant ces aventures suivantes (réelles ou relatées sur papier ?), le traitement est différent. Les dessins de Sprouse sont fantastiques et les histoires paraissent presque réalistes. Je n'ai lu que le premier volume et je vais très très vite me procurer le second. Une fois de plus, Moore réussit son coup, l'osmose avec le dessinateur est parfaite et ça fait du bien de lire une BD au ton décalé, aux histoires extraordinaires et aux personnages "plus comics que ça tu meurs!".
En tant que « Moore-maniac » je ne suis peut-être pas le plus indiqué pour critiquer avec objectivité une œuvre du « maître », mais je ne peux décemment pas ne pas réagir aux avis négatifs qui sont ici (et laisser une série moorienne sans une moyenne minimum de 4 / 5, c’est, aaaargh, sacrilège !!). Pourquoi Tom Strong, série qui peut paraître futile et déplacée dans l’œuvre du grand Alan, mérite la considération la plus soutenue de tout bédéphile qui se respecte ? Au premier degré, Tom Strong relate les aventures palpitantes d’une sorte de super-héros confronté aux aventures les plus diverses. Sous le trait élégant et très abouti de Chris Sprouse, les péripéties narrées sont un régal pour l’imaginaire : - affrontement d’ennemis les plus variés comme l’homme modulaire ou des conquérants aztèques venus d’une réalité parallèle où ceux sont eux qui ont colonisé la planète, - voyages dans des contrées incroyables, tel ce séjour sur la pangée, ce continent unique et initial - inventions les plus diverses (appareils à traverser les murs, etc…) - et plein d’autres friandises à se mettre sous la dent Rien que l’originalité et le traitement parfait (comme toujours chez Alan Moore) de ces histoires suffisent à séduire. Mais Tom Strong, c’est plus que ça. Car il y un réel soucis de second degré permanent chez Alan Moore. Tom Strong est une parodie : une parodie des pulps d’aventures des années 30-40, en particulier, pour les connaisseurs, ceux de Doc Savage – L’homme de bronze (pour la forme on peut préciser que Doc Savage a été adapté au cinéma dans un film considéré par les spécialistes comme le nanar absolu, à voir absolument). Son héros centenaire permet à Moore de jouer non seulement avec les époques, mais aussi avec le style de narration propre à chacune (ou même différents dessinateurs interviennent). Et c’est un bonheur à chaque fois. Mais le style léger de la parodie peut aussi se révéler grave, car quand Alan Moore fait intervenir Ingrid Weiss et ses « svastika girls », émanations eugéniques tout de cuir vêtues de l’Allemagne Nazi, ce n’est pas sans dessein. A travers son héros et les dérives que peut représenter l’image d’un « être supérieur », ce n’est ni plus ni moins au mythe du « sur-homme » (et la façon dont il été mal digéré par les dignitaires nazis) qu’il s’attaque… (bon, un jour j’écrirais un article entier sur l’intervention du fascisme et le nazisme dans l’œuvre d’Alan Moore, mais aujourd’hui, j’vais vous laisser tranquille) Bref, lisez Tom Strong, et laisser vous guider par le génie de son auteur qui encore une fois ne nous déçoit pas.
Au vu des avis précédents, je m’attendais à un semi-navet à la fois trop ambitieux et compliqué, obscur et chiant. Oui, tout ça. Il faut dire que dans le genre, "Promethea" était pas mal... Eh bien non. "Tom Strong", ça déborde d’ironie, ça suinte de parodie, et ça n'affiche guère de grandes prétentions. C’est au départ tellement outré, la première histoire donne si bien le ton que j’en étais mort de rire. Un petit garçon tout mignon et tout naïf reçoit son pack d’admission aux strongmen of America, avec sa bd de Tom Strong, et est si complètement plongé dedans qu’il ne remarque même pas qu’il croise son héros "en vrai". Le ton est le graphisme sont d’une naïveté parfaite, adorable et vraiment rafraîchissante. Ca n’a l’air de rien, et pourtant c’est très bien réalisé : l’histoire de ce petit garçon encadre deux épisodes des aventures de la vie Tom Strong, et dans un style graphique différent, s’il vous plaît ! Le ton est bon enfant, et pétille de malice. Les deux récits en question sont très ironiques : même si cela se voit moins de prime abord, ils utilisent avantageusement nombre de clichés, et sont bien savoureux. Rien que l’histoire de la genèse du héros, l’arrivée de ses parents sur cette île pseudo-déserte, sa croissance dans une chambre à gravité augmentée (tiens, ça ne vous rappelle pas "Dragon Ball", ça ?), son serviteur robot à vapeur (Pneuman, tiré de von Neuman, sûrement ?), rien que ça c’est tellement gros qu’on en rit. Et ça donne bien le ton pour la suite. "Tom Strong" n’est pas composé d’une histoire plus ou moins monolithique. Au contraire, la narration est nettement éclatée : une histoire prétexte sert de fil directeur, et encadre des fashbacks, des "dossiers secrets", ou des aventures plus indépendantes et loufoques comme ce passage de western-fiction. J’ai particulièrement apprécié ces différents petits épisodes, vraiment savoureux dans leur genre. La grande histoire avec Ingrid Weiss (la nazie super puissante avec un costume en cuir) un peu moins. Mais l’humour, l’ironie, la parodie, la dérision sont tout le temps présents, plus ou moins apparents. Ca devient parfois du grand n’importe quoi (Ingrid, ah ah ah !), et c’est vraiment jouissif. Toujours concernant la narration, Tom Strong bénéficie de l’effet de la racine de Goloka, qui lui assure une longévité exceptionnelle (quelques siècles). Et donc ses différentes aventures se déroulent tout au long de cette période, ce qui fait qu’on passe parfois de 1950 à 2100, avec bien sûr un changement de ton adéquat. Cette façon de faire rappelle assez les "Donjon Monsters", sauf que là le fil directeur est bien plus ténu et qu’on n’est pas obligé d’essayer de tout remettre dans l’ordre. Ah oui, il faut quand même dire que les différents épisodes empruntent leur styles à différentes sortes de vieux comics, avec une adaptation et un graphisme personnalisés à chaque fois. Les différents dessinateurs qui ont participés aux petits épisodes du tome 2 renforcent cette impression, d’autant plus que leur style est bon et n’enlève rien à celui -- vraiment beau -- de Chris Spouse. Bref, moi j’adore. Rien à voir avec "Watchmen", évidemment, mais c’est léger, ironique, décalé, frais, et en plus c’est beau. Et quand on voit ce qui n’a pas encore été traduit et qui a l’air très varié, je bave d’avance ! Entre autres "Tom Strong’s Terrific Tales", qui poursuit la série et traite également de la jeunesse de Tom Strong, avec des graphismes vraiment excellents et d’une variété impressionnante.
Alan Moore version ABC Comics... Sous des dehors de pulp's sans grande originalité, Moore cache son jeu et nous offre un comics qui positionne son héros en tant que héros de fiction proclamé, avec une petite réflexion sur le super héros, un mélange de Superman et de Batman et une réelle interrogation sur le rôle du super héros (avec la présence d'un lecteur de la BD dans la BD). Plein d'idées là dessous, et le dessin de Sprouse bien fidèle à l'esprit du récit. Belle surprise donc, avec un premier tome honnête et un deuxième tome qui m'a nettement moins convaincu. Certainement pas ce que Moore a fait de meilleur mais ça se laisse lire.
Et bien tout génie qu'il est, Alan Moore ne peut pas toujours faire l'unanimité. Tom Strong, tiré de sa récente ligne de comics ABC, ne m'a pas du tout convaincu. Je sais bien que ce personnage et cette série ne sont en fait qu'un gigantesque clin d'oeil à l'industrie et à l'histoire des comics, qu'Alan Moore y fait référence aux différentes époques et modes qui ont traversé la BD anglo-saxonne le siècle dernier, mais malgré tout, je trouve tout cela au mieux inintéressant, au pire indigeste. Que voulez-vous, on peut idôlatrer un auteur pour ses chefs d'oeuvres (Watchmen et V for Vendetta en tête) sans pour autant adorer tout ce qu'il fait. D'un point de vue purement théorique, cette série est ambitieuse et originale, mais dans les faits, je dois avouer m'être ennuyé au cours de la lecture. Les multiples références historiques qui jalonnent la série n'ont rien éveillé en moi, ni curiosité ni émotion. Il est très possible que ce soit moi qui "passe à côté" de cette série et que d'autres y verront plus de points positifs, mais force est de constater que ni les scenarii ni le dessin de Chris Sprouse (pas mauvais d'ailleurs, très rétros) n'ont eu d'intérêt à mes yeux. À conseiller donc aux fans de Moore qui désirent avoir l'intégralité de ses oeuvres.
Des séries de Moore appartenant à la ligne ABC comics (Tommorow Sories, Top Ten, Promethea...), Tom Strong est peut-être la moins passionante. On sent que le grand scénariste s'amuse, mais il faut reconnaître qu'il manie ici le double-sens d'une manière beaucoup moins subtile que dans Watchmen. Parce que lorsqu'un super-héros se bat contre des vamps nazies aux bas résilles afutés, on frise la faute de goût. Je dis "frise" parce que l'on est bien sûr dans la citation et dans l'auto-parodie d'un genre, Alan Moore a beau jouer les bourrins tant qu'il veut, on le croira plus intelligent que ce qu'il nous montre. Mais au-delà de l'exercice, cette bd ne passionne pas vraiment. Le dessin, en revanche, est très beau, superbe même. A réserver au fan absolu de Moore, tout de même. Si vous voulez lire du Alan Moore divertissant moins prise de tête que ses pièces maîtresses (V for Vendetta, Watchmen), allez plutôt voir du côté de "Top ten".
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