Les Cahiers d'Esther

Écrits d'après les histoires vraies d'Esther A. (nom modifié), Les Cahiers d'Esther nous plongent dans le quotidien d'une fille de 10 ans qui nous parle de son école, ses amis, sa famille, ses idoles.
Ecole Pivaut, Nantes Enfance(s) Gobelins, l'École de l'Image Les petits éditeurs indépendants
Esther est une petite parisienne de dix ans, qui cache derrière sa frange la vie à la fois ordinaire et trépidante d'une écolière de CM1, entre ses copines, ses parents et son frère adolescent. Comme toutes les fillettes de son âge, elle se pose également mille questions par jour, futiles ou métaphysiques... Dans la « vraie vie », Esther ne s'appelle pas Esther, mais elle existe vraiment. Un jour, avec ses parents, elle est venue dîner chez leur ami Riad Sattouf, dessinateur (Pascal Brutal, L'Arabe du futur,...) et réalisateur (Les Beaux gosses, Jacky au royaume des filles). Elle lui a alors confié toutes ces choses qui font son existence : ses rapports avec ses amies et les autres élèves de son école, ses préférences et ses détestations, ses interrogations sur des sujets graves ou plus légers, son regard sur la société d'aujourd'hui. Immédiatement, l'auteur entrevoit un extraordinaire terrain de jeu. Après avoir donné sa vision, drôle mais plutôt déprimante, des adolescents dans La Vie secrète des jeunes, il peut raconter l'enfance, selon le point de vue de quelqu'un qui est encore en plein dedans. Cela va rapidement déboucher sur une série ambitieuse, prépubliée dans L'Obs à partir d'octobre 2014. Son objectif ? Suivre Esther jusqu'à ses dix-huit ans, à raison de 52 histoires en une page chaque année.
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Date de parution | 21 Janvier 2016 |
Statut histoire | Série terminée 9 tomes parus |
Les avis


Un gros bof pour cet album, auquel je n’ai pas du tout accroché. Ce n’est pas nul, mais cela ne m’intéresse pas. Et cela confirme mes réticences à propos des séries de Sattouf tournant autour des jeunes, de leurs relations aux autres, de leur scolarité (j’avais été déçu par la lecture de Retour au collège par exemple). J’ai emprunté cet album en pensant y trouver ce qui m’avait plu chez L'Arabe du futur : le même éditeur, la même utilisation de la bichromie, j’en attendais le même plaisir de lecture. Hélas c’est une déception. En effet, je n’ai pas réussi à m’intéresser à cette gamine et ses questionnements, dialogues et péripéties me laissant indifférent. Rien de drôle non plus, rien de l’autodérision présente dans L'Arabe du futur. Je ne sais pas à quel public s’adresse ces « Cahiers d’Esther », mais je n’en fais visiblement pas partie.
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