Shangri-La
Ce qu'il reste de l'humanité vit à bord d'une station spatiale dirigée par une multinationale à laquelle est voué un véritable culte
Ankama Anticipation Label 619
Ce qu'il reste de l'humanité vit à bord d'une station spatiale dirigée par une multinationale à laquelle est voué un véritable culte Les hommes mettent en place un programme pour coloniser Shangri-la, la région la plus hospitalière de Titan, afin de réécrire la genèse à leur manière. Mais cette opération ne fait l'unanimité parmi les habitants de la station spatiale
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Date de parution | 02 Septembre 2016 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Alors alors... Souvent méfiant quand il s'agit de science-fiction, je me suis lancé dans cette bd après avoir lu et énormément apprécié Carbone & Silicium du même Mathieu Bablet. Je suis assez vite entré dans le récit et j'ai beaucoup apprécié cet univers où les humains vivent dans une navette spatiale, contrôlée par une entreprise qui est en situation de monopole et en profite pour leur vendre tous les produits imaginables et "indispensables" à leur vie, genre le dernier smartphone. J'ai aussi bien aimé la présence d'animoïdes avec les problématiques qui en découlent, le racisme, les violences, l'intimidation permanente, etc. Bref j'ai beaucoup apprécié cet univers, les luttes de pouvoir qui en découlent, avec le pouvoir en place d'un côté, la révolution et les scientifiques, ça fait très 1984 version futuriste. Donc j'ai beaucoup aimé l'univers développe par Bablet. Le problème, c'est que toute l'histoire autour ne m'a que très peu emballé. Je n'ai pas du tout été pris par l'histoire du héros, ni de son frère. Ce truc avec les expéditions pour trouver des sphères d'antimatière m'a aussi laissé de marbre, et je n'ai ni bien compris ni accroché à la fin et, globalement, à toutes les missions du héros (qui m'a tellement peu marqué que je n'ai pas retenu son nom). Seul le personnage de John m'a plus intéressé, et il est très secondaire. Vraiment, toute l'histoire du héros m'a profondément ennuyé, et cela est assez réceptif car comme je l'ai dit, je trouvais l'univers super intéressant. J'ai aimé toutes les parties plus générales (les luttes de pouvoirs, les révoltes, etc.) mais pas du tout les expéditions et le début ni la fin. Bref, dommage car j'aurais clairement pu me passionne pour une histoire différente au sein de cet univers. Quant au dessin, qui est si particulier et que j'avais beaucoup aimé dans "Carbone et Silicium", si le style est déjà reconnaissable, je l'ai trouvé moins abouti et j'ai souvent trouvé que les personnages avaient des expressions un peu vides. Après, j'aime bien le style élancé des personnages, et l'immensité de l'espace est très bien rendue. Mais comme pour le scénario, j'ai trouvé le dessin en dessous de celui de sa dernière création, que j'avais beaucoup aimée. Après, je trouve que c'est quand même une bonne bd qui, je pense, plaira beaucoup aux amateurs du genre, dont je ne fais pas partie.
Voici un album que je voyais dans de nombreux classements mais sur lequel je ne me suis pas précipité parce que pas vraiment fan de SF en BD. Je suis resté sur un goût très mitigé. D’un côté, le cadre est intéressant, une station spatiale où une giga entreprise règne en maître et où l’humanité, réduite à un cycle de consommation et de travail, est asservie à une technologie omniprésente. On sent l’influence de récits classiques de la SF dans cette dystopie, et les ambiances spatiales de Bablet sont magnifiques. J’ai été vraiment séduit par ces paysages. Mais alors, le dessin des personnages… c’est la première chose qui m’a fait décrocher. Tous trop similaires, trop rigides. À chaque page, je me suis retrouvé à confondre les protagonistes, incapables de vraiment m’y attacher. J'ai aussi eu du mal à accrocher au scénario, qui fait un peu vu et revu et qui aligne les clichés les uns après les autres. L’oppression des animoïdes, cette caste de chiens et chats humanoïdes, pas vraiment subtile tout comme la critique du consumérisme. Bablet nous rappelle constamment à quel point cette société est aliénante, avec des slogans et des références directes aux téléphones, aux marques, et à la consommation de masse. Il y a peu de place pour l’interprétation ou la réflexion. Tout est livré de manière frontale, et c’est ce qui rend l’ensemble trop caricatural pour moi. J'ai eu l'impression d'être pris par la main pour comprendre un propos pas vraiment fin ni profond. Ce manque de nuance dans la manière d’aborder un sujet pourtant pertinent finit par étouffer la profondeur recherchée. Le message, aussi pertinent soit-il, aurait mérité d’être traité avec plus de finesse et moins d’insistance Plutôt frustrant, l'histoire avait du potentiel, avec un univers riche et des décors magnifiques, mais je me suis retrouvé bloqué par des personnages fades et une narration qui s’embourbe dans son manque de finesse.
... Pas bien compris le but de la manœuvre ?! Le début pique la curiosité mais la fin n'apporte pas vraiment de réponses, sinon une version très joliment illustrée de : "plus ça change, plus c'est la même chose...". Ou alors je n'ai rien compris. C'est effectivement très proprement dessiné, même si le parti-pris de stylisation des personnages humains limite un peu notre sympathie à leur égard : assortis qu'ils sont à leur environnement tout en angles, ils en deviennent difficilement "séparables"... Leur quête de "Liberté" n'est pas vraiment intéressante tant l'humour, ou toute autre forme d'expression émotionnelle favorisant l'empathie, ne vient à aucun moment au secours de l'usure du sujet, redoutablement basique. Mais -surtout !- le racolage autour du concept des "animoïds", outrageusement exposé et donc assez questionnable au niveau de l'honnêteté de la démonstration (même si carrément explicité via les dialogues !) donne un peu/beaucoup la nausée : c'est aussi perversement amené -et rentabilisé !- qu'un Disney de la grande époque... Salut Bambi ! Beaucoup de talent au service de peu de chose. Il y a certes une volonté de dénonciation salutaire (et toujours bienvenue) à l'origine de l'exercice ; ne reste plus qu'à trouver, pour la prochaine fois, un scénariste suffisamment doué pour soigneusement nous épargner la laideur de la facilité dans l'argumentation.
Manichéen, moralisateur... En seulement quelques pages le politique prend déjà le pas sur le scénario et l'univers, c'est lourdingue ! On voit tout de suite où sont les priorités de l'auteur... Bref, inintéressant ! Dommage parce que graphiquement c'était assez joli, mis à part le design des personnages qui du coup se ressemblent trop et son difficilement identifiables.
Quand l'Homme veut devenir Dieu, il ne peut que se brûler les ailes. Après avoir découvert Mathieu Bablet avec Adrastée et la mythologie, voici un space opéra qui fera date dans le domaine de la science-fiction. Un récit qui sur le fond reste classique mais qui a su maintenir mon intérêt de la première à la dernière page. Une narration maîtrisée qui visite le racisme avec les animoïdes et la publicité très sexualisée. Une dystopie réaliste qui fait réfléchir sur l'intérêt de protéger notre belle planète. Une relecture toujours aussi jouissive. Parlons du dessin maintenant, là où il fera consensus, c'est dans les décors, on est véritablement plongé dans l'espace, dans ce grand vide. Bablet utilise un appareillage numérique pour les couleurs et ainsi reproduire un effet photographique du plus bel effet. Bluffant ! Son trait précis, minutieux et détaillé pour la représentation de la station orbitale apporte du réalisme au récit. Remarquable ! Par contre, là où son dessin fera débat c'est sur les personnages aux visages disgracieux et aux petits "pieds bandés" issus d'un Japon d'un autre temps. Alors oui, cela ne permet pas toujours de différencier les personnages, il faut rester concentré, mais ce petit effort en vaut la peine. Je suis fan du style Bablet. Toujours coup de cœur.
À la lecture des très bons avis je me suis lancé avec confiance dans ce pavé de 220 pages même si la couverture ne m'engageait pas trop. En effet je ne suis pas trop gourmand des histoires d'espace et de fusées. J'ai bien vite déchanté sur tous les plans. J'ai trouvé le scénario pesant, brouillon, long et indigeste et le graphisme pas du tout à mon goût. En effet à mon avis Bablet utilise le prétexte d'un récit d'anticipation pour régler un certain nombre de griefs avec des thématiques purement fin XXeme ou début XXIème siècle. En vrac on trouve l'addiction à la nouveauté, la dictature du consumérisme, le racisme et la xénophobie, les expérimentations animales ou la surpopulation. Tout cela est encadré dans une atmosphère de dictature des esprits dans un style de Big Brother. Le langage qui supporte le récit fait appel à du vocabulaire scientifico-philosophique (tendance Nietzsche) saupoudré de doctrine révolutionnaire (tendance Che). C'est bien trop compliqué pour moi et au bout de 130 pages j'ai simplement feuilleté le livre en pensant au bois qui avait servi à ce pavé puisqu'il est aussi question d'épuisement des ressources dans le livre. Je place le graphisme au même niveau de mon goût. Je n'ai pas encore pu définir si les habitants (presque tous entre 25 et 40 ans) portaient des masques ou pas. Seuls les chiens ou chats étaient dessinés avec un soin que j'apprécie. Quant aux extérieurs j'ai cru me retrouver dans un centre commercial crasseux ou sur les tapis roulant de la station Montparnasse. Pour des gens qui sont censés maîtriser une technologie de pointe qui envoie des astronautes dans tous les coins de l'univers, je trouve cela assez ringard (comme les studios TV dignes des années 80). De toute façon, ces décors de boîtes de conserves, qui évitent de se pencher sur une documentation architecturale d'époque, ne me conviennent pas. Je passe mon tour.
J'ai enfin lu Shangri-La, un album dont on m'a beaucoup parlé et plutôt en très bien. Et après l'avoir refermé, le premier mot qui me vient malheureseument est frustration. J'aurais vraiment voulu adorer cet album car il y a beaucoup de bonnes choses dans le scénario. Certes, il y a probablement pleins de trucs déjà vus ici et là, dans d'autres histoires de SF ou d'anticipation. Mais peu importe, parce que ça s'imbrique très bien ici : Des humains (du moins ce qu'il en reste) confinés dans une station spatiale, une société faussement idyllique qui cache en fait une sorte de dictature. La critique de la société de consommation, c'est aussi du déjà vu, mais ce monopole de Tianzhu tv / phone / tab / burgers etc... ça pique notre société juste ce qu'il faut. Bien vus aussi le devenir des chiens et des chats qui sont devenus des animoïdes. Au delà de ce background, il y a surtout pour moi dans ce scénario quelques péripéties excellentes. Bref ça aurait pu (aurait du) être franchement très bien. Sauf que j'ai vraiment bloqué au niveau du dessin, et en particulier des personnages. Un style basique et anguleux, qui donne aux personnages des gueules un peu moches et surtout pas variées du tout. La colorisation des combinaisons avec une palette à 2 couleurs n'aide pas non plus. Résultat des personnages qui se ressemblent trop, tous, et qu'on ne différencie pas. Aïe, que c'est dur. On a parfois du mal à savoir si c'est un homme ou une femme qu'on a sous les yeux, c'est dire. J'arrive en général facilement à me plonger dans une bonne histoire même si je ne suis pas fan du dessin. Mais ici, je ne sais pas qui est qui, ni qui dit quoi, et ça a gâché ma lecture. Je ne compte pas le nombre de retours arrières pour être sur de comprendre ce que je suis en train de lire. Ajoutons à cela certaines bulles écrites vraiment petites où il a fallu m'arracher les yeux pour les déchiffrer. Et enfin quelques séquences pas bien lisibles, notamment dans le chaos général de la dernière partie. Quelques scènes d'une page qui s'intercalent au milieu d'autres sans que je comprenne pourquoi ce passage avec un personnage que je n'identifie pas, vient hacher la scène principale que je suis en train de lire. Vraiment dommageable. Bref un super potentiel niveau scénario, gâché par un manque de lisibilité trop important. Une lecture dont je ressors frustré. 2,5/5
Choix graphique étrange : une mise en image résolument moderne avec des polygones structurant les paysages ou les intérieurs, une colorisation parfaite qui colle aux environnements et des personnages aux gueules étranges. Ils sont effectivement difficiles à différencier mais c'est un choix risqué qui est à saluer et permet à l'auteur de créer sa marque. Le scénario mêle SF, anticipation, critique sociale... avec un bon tempo entre scènes contemplatives ou du quotidien, dialogues et tension. Petit avertissement aux vrais fans de SF et d'anticipation : n'attendez rien de révolutionnaire, c'est finalement plus une transposition du monde actuel dans le monde cloisonné d'une station orbitale. Merci à Ankama qui comme à déjà plusieurs reprises, nous offre un bel album joliment relié à un super rapport qualité-prix et permet à des personnes hésitantes quant au coût (moins que 2 albums traditionnels pour une pagination de 4) de se glisser dans la station.
Difficile de ne pas tomber amoureux de Shangri-La dès qu'on a l'objet en main... Magnifique bande dessinée épaisse (220 pages) au dos relié en toile et à la couverture majestueuse, doté d'un excellent rapport qualité-prix, l'œuvre de Mathieu Bablet hypnotise avant même d'avoir été ouverte. L'impression de grandeur renvoyée par la couverture nous happe déjà. Et quand on l'ouvre, on n'est pas déçus... Chaque page est l'occasion pour Mathieu Bablet de nous offrir des compositions somptueuses, aux décors colossaux, et au trait extrêmement maîtrisé. Et de fait, la patte graphique de l'auteur-dessinateur est sans aucun doute ce qui séduit le plus. On est emportés, entraînés, envoûtés par Bablet et on découvre à sa suite les tenants et les aboutissants d'un monde futuriste aussi terrible que fascinant. Deux maladresses majeures subsistent néanmoins. Comme cela a été dit par la majorité des lecteurs, le dessin des personnages est très douteux. Autant les décors sont d'une rigueur et d'une majesté qui en imposent, autant les personnages sont simplistes, schématiques ; ils se ressemblent tous, ce n'est pas à la hauteur de ce qui les entoure. L'autre maladresse est peut-être plus grave : en voulant s'immiscer (et nous avec) dans les codes de l'anticipation, Bablet tombe dans tous les poncifs où on espère ne pas le voir tomber. On a donc droit à une situation qu'on a déjà vu dans des centaines de récits d'anticipation : humanité réduite à vivre entassée dans des espaces métalliques et restreints, grande organisation surpuissante qui dirige le monde (ou ce qu'il en reste), rébellion qui essaye de s'organiser en secret, (anti ?)-héros qui accomplit sagement sa mission sans en connaître tous les aspects, description au vitriol d'une humanité décérébrée, qui discrimine et martyrise les plus faibles pour mieux asseoir son orgueil... Tout cela n'est pas déplaisant en soi, mais c'est du réchauffé, et Bablet prend le risque de se confronter aux plus grands œuvres de science-fiction qui ont déjà fait tout ça en mieux. Et pourtant... Plus le récit avance, plus on se rend compte que Mathieu Bablet ne fait appel aux poncifs de la SF que pour mieux les détourner. Ainsi, il rebat peu à peu les cartes qu'on croyait avoir en main, et de là, développe une réflexion étonnamment puissante sur l'humanité, sur la frontière entre le Bien et le Mal, et surtout, sur la servitude volontaire. Décrivant une forme de totalitarisme bien moins héritier d'Orwell que d'Huxley (voir son brillant Le Meilleur des mondes), Bablet décrit la pire forme de totalitarisme qui soit, une forme de totalitarisme consenti où la population serait consciente de sa servitude, mais l'accepterait sans problèmes tant que celle-ci servirait son confort individuel. Certains dialogues sont ainsi d'une remarquable intelligence, en refusant d'opposer systématiquement le gentil peuple qui n'a rien demandé et les quelques personnes avides qui le dominent sans aucune empathie. Ici, les choses sont présentées d'une manière bien plus subtile et aussi bien plus noire, car montrer les humains participant à leur propre esclavage est sans doute une des visions les plus noires du futur que l'on puisse imaginer... mais peut-être aussi une des plus réalistes, tant j'ai l'impression, en regardant autour de moi, que nous y sommes parfois déjà ! Ainsi, malgré le simplisme apparent de la première moitié du récit, la deuxième moitié pousse les curseurs beaucoup plus loin, donnant à l'œuvre une portée philosophique, sociale et politique extrêmement captivante, fine et nuancée. Cela occasionne d'ailleurs quelques scènes d'une noirceur assez pénible à supporter (je ne me suis pas encore tout-à-fait remis de la séquence dans l'Arche), mais de ce fait, d'autant plus percutante. A ce titre, la mise en scène de Mathieu Bablet renforce le côté épique de ce space opera, qui ne manque pas de morceaux de bravoure. Que ce soit lors des moments tragiques ou des moments héroïques, le montage des planches, les jeux de couleur (le sang qui gicle lors de la révolte, brisant l'harmonie d'images presque toutes bleues), l'impression de grandeur et de vide accentuent les sensations presque physiques du lecteur, ébahi devant une telle intensité. Certes, la mise en scène est parfois un peu confuse (le combat entre les trois mékas) tout comme la narration (la fin est un peu absconse), mais elle est toujours à la hauteur de la narration : ample et grandiose. Elle nous prend aux tripes pour nous immiscer dans la peau et dans la perception des personnages. Alors certes, Shangri-La possède trop de légers défauts pour être hissée au rang de chef-d'oeuvre, mais elle revêt une telle puissance qu'on peut tout de même y voir une grande œuvre de science-fiction, qui se donne les moyens d'être l'épopée humaine et spatiale qu'elle cherche à être. On n'a plus qu'à attendre qu'un grand réalisateur s'empare de l'affaire pour donner à ce récit l'adaptation qu'il mérite...
Enfin lu, un album qui prenait la poussière sur ma pile depuis bien trop longtemps. C’est pas sans menus défauts mais j’ai beaucoup aimé. Déjà je me suis pris une claque sur la partie graphique, certaines vues (extérieures comme intérieures) sont magistrales et les couleurs sont vraiment superbes, le dessin fourmille de détail et les planches sont très bien construites. Le tout est très immersif, le physique ou la représentation des différents personnages personnages ne m’a pas gêné outre mesure. Matthieu Bablet possède une patte et un style bien à lui qui n’est pas pour me déplaire. Niveau scénario, c’est un peu plus confus, l’auteur brasse énormément de thématiques, certaines passent mieux que d’autres, il y a quelques maladresses/lourdeurs mais le tout reste compréhensible, et surtout distrayant. L’auteur nous propose un univers sf solide. Une œuvre dense mais fluide malgré les plus de 200 pages, j’ai beaucoup aimé l’introduction et la conclusion. Un chouette album (en plus d’un bel objet). Un auteur à suivre, prochaine étape pour moi « Carbone & Silicium » (également sur ma pile).
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