La Guilde des voleurs
Sous le commandement de Randal, dit le Hibou, la toute nouvelle guilde des voleurs s’attaque aux nantis de la ville haute, à la veille de la visite de l’envoyé du roi.
Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis
Un homme encapuchonné se faufile sur les toits de la ville endormie. Il s’approche d’une fenêtre éclairée, la fracture d’un crac peu discret et… reçoit un direct qui provient de l’intérieur. « Dégage vermine » lui crie le propriétaire des lieux, alors qu’il chute au pied d’une patrouille de nuit. Les gardes embarquent le voleur sous les yeux d’un homme qui le traite d’amateur. Il sait de quoi il parle, c’est « le Hibou », une légende parmi les montes en l’air. Son retour en ville augure d’une prochaine hausse des cambriolages, son ami Gus en est convaincu. Tout en devisant, en affirmant haut et fort être rangées des affaires, les deux canailles préparent mine de rien un rendez-vous avec d’autres amateurs de capuches. Plus tard, dans l’atelier « d’honnête forgeron » de Gus, ce dernier présente Alea Tercia et son complice (dont il a oublié le nom) à son ami Randal. Ce dernier explique son intention de fonder une guilde des voleurs, parce qu’ensemble, en respectant un code établi, ils seront plus forts contre les riches de la ville haute qu’ils s’apprêtent à piller. Pour commencer, il faut une base opérationnelle. Le temple des portes, depuis longtemps déserté par superstition, semble être l’endroit idéal. Ailleurs, dans la cité, le duc d’Obarrion prépare la prochaine hausse des taxes. Il faut remplir les caisses avant la visite du plénipotentiaire royal…
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | 29 Octobre 2015 |
Statut histoire | Une histoire par tome 2 tomes parus |
Les avis
La guilde des voleurs est un peu bâtie pour être une série. Or au final, c'est juste un one-shot qui ne réussit pas à développer tout son potentiel autour d'une idée simple comme une guide de voleurs après celle des assassins. Nous sommes dans un Moyen-Age composé d'humains, d'orcs, d'elfes et de gobelins. Le ton est très souvent léger avec un humour omniprésent. Il est dommage que ce récit soit si linéaire et si manichéen avec des personnages qui ne marqueront pas les annales. Pour autant, d'un point de vue graphique, rien à redire notamment dans le soin apporté aux petits détails. Pour le reste, cela reste divertissant mais sans plus.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site