Olympus Mons
Des extra-terrestres sont-ils venus à notre rencontre ? Quelques indices existent, sur Terre, mais aussi sur Mars...
Auteurs italiens Christophe Bec École européenne supérieure de l'image Lanfeust Mag Mars
2026. D’étranges phénomènes se produisent simultanément en différents lieux. Dans les profondeurs de la Mer Baltique, des chasseurs de trésors sous-marins découvrent ce qui semble être les vestiges d’un artefact inconnu ; dans l’Iowa, un medium est hanté par d’étranges visions dans lesquelles il visite une épave mystérieuse au fond de la mer. Sur un écran, un message adressé aux habitants de la Terre ; sur Mars, des cosmonautes trouvent une série d’objets énigmatiques. En suivant leur piste, ils arrivent sur les pentes de la plus haute éminence de Mars : le Mont Olympus, où ils découvrent la carcasse d’un vaisseau spatial. L’énigme est totale mais aucun doute : ces différents phénomènes sont bien liés entre eux. (site éditeur)
Scénario | |
Dessin | |
Couleurs | |
Editeur
/
Collection
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | 24 Janvier 2017 |
Statut histoire | Série en cours - cycle(s) terminé(s) (Premier cycle de 6 tomes terminé) 9 tomes parus |
Les avis
Une belle série aux thèmes certes bateaux, mais les dessins sont très sympas. Pas forcement mind blowing, mais somme toute agréable à lire.
Olympus Mons est une série commencée en 2017, scénarisée par Bec, surtout connu pour la fameuse série Prométhée. L'histoire nous raconte au départ deux intrigues parallèles : d'un côté l'épopée d'une expédition russe sur Mars, qui se retrouve coincée sur la planète rouge, à proximité d'un vaisseau extra-terrestre, de l'autre les tribulations d'un authentique voyant sur terre qui tente de s'interposer entre différentes nations qui se disputent la propriété d'une épave extra-terrestre au fond de l'océan. Évidemment, les deux intrigues vont se rejoindre, et dans les tome 1 à 6, on découvre les ramifications d'une guerre entre deux civilisations extra-terrestres, avec les humains au milieu risquant l'anéantissement en tant que victimes collatérales. C'est joli, bien écrit...MAIS : Olympus Mons souffre à mon avis des même tares que Prométhée. A savoir, la série aurait dû s'arrêter à un certain point (ici le tome 6), la série avait une vraie conclusion. Mais Bec a voulu jouer au plus malin (probable qu'il ait des impôts à payer), nous ouvre un nouveau cycle aussi inutile qu'inintéressant, qui se termine in fine par, devinez, je vous le donne en mille? La destruction de l'espèce humaine, mal amenée et totalement gratuite, comme si Bec voulait donner le sentiment qu'il ose, alors qu'en fait il fatigue. Si il fallait juger les tomes 1 à 6, alors la série aurait sans problème 4 étoiles minimum. Si il faut juger la série dans son ensemble, avec les tomes 7 à 9 qui gâchent tout, ce que je fais, alors la note descend en flèche car on a le désagréable sentiment de s'être fait totalement avoir.
Olympus Mons C’est donc avec une certaine crainte que j’ai entamé la rédaction de cette chronique il y a quelques semaines. Car malgré mes années d’expérience de lecteur BD et maintenant de chroniqueur BD, j’ai rarement été capable de schématiser ma pensée pour écrire un truc correct quand ça implique Christophe Bec, un de mes scénaristes favoris. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Peut-être parce qu’il est parmi les auteurs qui fait vibrer mon amour de la SF à un rare degré. Peut-être parce que ses histoires combinent tous les éléments qui me plaisent dans ce genre. Mais c’est surtout parce qu’il est doué et qu’il m’intimide un peu, je crois ! Dans le bon sens ! Bref, cette fois je me suis lancé et je vais vous parler de la série Olympus Mons, qu’il a réalisé avec Stefano Raffaele aux dessins. Je vais essayer en tout cas ! Au commencement, en 2017, il y a eu l’Anomalie un. Premier tome de la série. Tome d’introduction, mais avec Bec, l’introduction n’est jamais très longue ! L’auteur nous plonge immédiatement dans son histoire qui mélange les thèmes qui lui sont chers : les phénomènes inexpliqués, la présence de visiteurs d’ailleurs, l’incompréhension humaine, le complot gouvernemental, le mensonge, des énigmes et un brin de fantastique. Sans oublier la réaction humaine face à tout ceci. Bref, un savant mélange de tout ce que j’aime et qui me fait penser un peu à X-Files ! Ça commence donc en 2026 quand des phénomènes inexpliqués se produisent sur la planète. Parallèlement, une équipe de chasseurs d’épaves trouve un artefact inconnu dans le fond des mers. Un médium a des visions d’une mystérieuse épave sous-marine, voit un message adressé aux humains sur un écran et des cosmonautes trouvent, sur Mars, un vaisseau spatial en ruine. Et là tout commence et attachez-vous, car ça va vite par la suite ! Les huit tomes suivants, publiés entre 2017 et 2022, viendront développer cette histoire de phénomènes inexpliqués. Dur d’en dire plus pour ne pas divulgâcher votre plaisir de lecture. Sachez seulement que cette histoire prendra un tournant qui verra un retour à une certaine guerre froide entre les Russes et les Américains. Que les secrets seront bien gardés, et ça à tout prix ! Que les gouvernements en savaient beaucoup plus qu’ils le laissaient voir ! Que tout cela aura de fortes répercussions sur l’existence même de l’humanité ! Et que la vie éternelle, ah non, je n’en dis pas plus ! Si vous connaissez un peu Christophe Bec, vous devinez que l’auteur joue sur son terrain favori. Il nous a habitué à ce genre d’histoire dans le passé avec des séries comme : Bunker, Carthago, Sanctuaire, Prométhée, Zéro absolu et plus ! Olympus Mons est pour moi une synthèse de toutes les idées de Bec en une série et c’est pour ça que je la considère comme l’une de ses meilleures. L’auteur démontre tout son talent pour arriver à tenir ses lecteurs et lectrices en haleine tout au long de leur lecture. Il le fait aussi par la cohérence de son scénario, car il va loin dans cette histoire et les tenants et les aboutissants sont complexes. Il joue avec l’histoire de l’humanité, il ne se limite pas à une seule époque. Il divise son histoire sous plusieurs arcs narratifs qui pourraient s’emmêler, mais jamais cela ne se produit. Il développe nombre de personnages qui viennent graviter autour des personnages principaux, qui eux sont très bien développés avec un passé, un présent et un futur, mais surtout des motivations que l’on comprend et accepte. Il s’amuse aussi avec des concepts scientifiques et les voyages spatiaux ce qui rapproche sa série de la hard SF, mais le fait qu’il insère des éléments futuristes extraterrestres fait en sorte que nous sommes devant une série très difficile à catégoriser ! S’il fallait le faire, je dirais que c’est une série de science-fiction et toute une, voilà ! Maintenant, quoi dire sur l’univers graphique de la série ? Dessinée par l’artiste Stefano Raffaele, qui est aussi le maître d’œuvre de la série Prométhé avec Bec. Les couleurs sont du Digikore Studios et les neuf couvertures de la série sont signées par Pierre Loyvet. C’est donc un travail d’équipe qui est de mise à la conception visuelle qui donne vie à l’histoire de Bec. Le dessinateur a dû jongler avec divers décors. Une partie dans la mer, une autre sur Mars, une dans la froideur des vieilles bâtisses gouvernementales, d’autres dans les vaisseaux d’un passé éloigné, mais d’une technologie futuriste. Sans oublier les sauts temporels ! Bref, beaucoup de travail pour le dessinateur pour appuyer le scénario de l’auteur. Et c’est fort bien réussi je dois dire. L’ambiance y est et les décors y sont somptueux. Les personnages aussi sont bien faits et très réalistes. Le dessin est au service de l’histoire et en ce sens, c’est une réussite. Les couleurs sont lisses et bien exécutées. Elles représentent bien le moment et le lieu, froides comme la mer, l’espace. Éclatantes comme une Mars d’un rouge spatial. Bref, elles viennent magnifier le dessin de Raffaele. Et les neuf couvertures de Loyvet sont magnifiques et donnent le ton à chaque tome ! Bref, c’est une belle et longue lecture que vous avez devant vous avec Olympus Mons. Neuf tomes d’une histoire incroyable. De longs dialogues vous attendent. C’est des révélations, des secrets, des conspirations, de l’action que vous allez trouver dans chacun des tomes. Bien entendu, nous sommes dans des chemins connus si vous êtes déjà lecteurs et lectrices de Bec. Des chemins connus certes, mais qui n’ont pas fini d’être défrichés. Pour les autres, qui découvriront l’auteur avec cette série, je vous avertis, préparez-vous, car ça développe une certaine dépendance et surtout ça reste dans votre tête longtemps et même à jamais ! Bonne lecture ! Olympus Mons Neuf tomes parus Scénario par Christophe Bec Dessiné par Stefano Raffaele Ed. Soleil Productions
Alors voilà donc le dernier Bec... Toujours curieux de voir ce que cela donne... et ma fois, ba c'est du Christophe Bec... En effet, notre scénariste des grands mystères ne s'aventure pas bien loin des sentiers battus qu'il nous propose depuis maintenant pas mal de temps. On reprend des vestiges monumentaux et mystérieux, on compose avec un découpage de l'histoire à travers différentes périodes et différents lieux, on ajoute des journalistes curieux, des organismes ou des états jamais très loin pour cacher tout ça et ça nous donne un récit qui tient bien la route mais qui ne nous dépayse pas trop de ce que Christophe Bec nous sert depuis quelques temps. Côté dessin, là non plus on ne change pas une équipe qui gagne et c'est de nouveau Stefano Raffaele qui s'y colle. Efficace, avec un trait se prêtant à merveille avec ce genre d'histoire, c'est une affaire qui roule. Alors, ce premier tome introductif sent le savoir faire et donne très envie de lire la suite malgré un manque d'une certaine originalité. J'aurais aimé me faire davantage surprendre par ce duo qui repart sur des sentiers peut être un peu trop rebattus. Mais attendons de voir ce que la suite donnera avant de porter un jugement définitif. *** Tome 2 *** Après un premier tome introductif construit façon puzzle mystère, comme l'affectionne Chritophe Bec, restait donc à voir ce que cette suite allait apporter comme clés pour tisser les liens nécessaires entre cette myriade de lieux, de périodes et de personnages pour y voir plus clair... Notre histoire avance bien et on en apprend donc un peu plus sur ces mystérieux artefacts géants disséminés entre Mars et la Terre, mais leur origine et leurs buts restent abscons ; la tension monte et les puissances mondiales ne sont pas loin de rentrer en conflit à cause de ceux-ci... On appréciera la montée en puissance de cette dramaturgie. Ce deuxième album plutôt bien ficelé sait nous tenir en haleine, toujours soutenu par le dessin efficace de Stefano Raffaele. Reste maintenant à voir comment tout cela va évoluer et se conclure... J'attends donc la suite avec curiosité... *** Tomes 3 & 4 *** Après un troisième tome qui malgré ses 43 pages et quelques révélations n'avait pas fait avancer le schmilblick de grand chose, le 4e tome renoue un peu plus avec le fil présent du récit et relance l'intrigue principale concernant l'anomalie qui menace la planète au fond de l'océan. Ce recentrage m'a replongé dans l'intrigue car j'avoue que même si toutes ces digressions historiques chez les vikings, les Croisés ou la découverte de l'Amérique ont un sens, pour moi leur nombre nuit à la narration trop éclatée. Du coup, le plaisir de lecture remonte et j'espère que la suite continuera sur la même pente ascendante pour conclure cette série de la meilleure des façons possible. *** Tomes 5 *** Rien de bien neuf côté dessin pour ce 5e opus, maintient le cap avec son style efficace et quelques belles planches, mais côté sStefano Raffaelecénario l'histoire continue à reprendre un peu de poil de la bête, comme je l'avais déjà fait remarquer pour le 4e. L'intrigue dévoile enfin quelques faits nouveaux et la tension monte en tête d'épingle, il ne faudrait pas que la sauce soit trop délayée pour garder un peu de sa saveur. Alors Mr Bec, j'espère que le 6e et prochain tome sera le dernier et qu'il conclura en beauté cette histoire ! *** Tomes 6 *** Voilà, c'est fini ! Bon, et bien on va dire que je m'attendais à pire. Non pas que la série soit mauvaise, loin de là mais la conclusion assez ouverte de cet album aura eu le mérite de me surprendre ; je me suis même demandé si c'était la fin. Christophe Bec retombe astucieusement sur ses pattes avec une pirouette finale qui m'aura fait lâcher un "pourquoi pas" une fois intégré que ce 6e opus clôturait cette saga. Côté dessin, Stefano Raffaele garde le cap et assure le taff dans ce style réaliste qui porte bien cette histoire qui oscille entre SF et fantastique. Alors, les amateurs de dessin réaliste, de fantastique, de SF et de complots globaux devraient s'y retrouver, moi j'aurais passé un moment de lecture agréable qui se traduit par ce "pas mal" en notation, mais guère plus.
Ce Christophe Bec est fort, très fort, il possède l'art de vous refourguer toutes ces bonnes vieilles théories, jadis explorées dans cette collection de romans aux couvertures noires qui vous expliquaient la construction des pyramides Mayas par les extraterrestres, les derniers descendants de l'Atlantide et la projection du corps grâce à une aura de belle couleur forcément. Je vous mets tout ça au shaker puis grâce à un habile comparse je te vous projette l'ensemble en dessin et si possible sur un nombre conséquent de volumes. Ben oui parce qu'il a trouvé le créneau, le bon gros filon notre gars, ça se vend et sans doute plutôt bien, d’où la foultitude de tomes. Déjà quatre pour Olympus Mons, 16 pour Prométhée, je prends les paris ici même, Prométhée ira jusqu'à 20 et Olympus Mons jusqu'à 10. Vous l'aurez compris je n'ai pas grand chose à dire sur le truc, si j'ai lu ces quatre premiers tomes c'est grâce au prêt d'un généreux camarade. A vrai dire l'on ne s'ennuie pas à la lecture du premier tome mais ensuite c'est du délayage, du remplissage. Les Vikings, les Russes en 1949, des manœuvres de l'OTAN en je sais plus quand, etc.., etc.. La suite se fera sans moi, à trop vouloir tremper son pain dans la même soupe le goût s'en ressent. J'ai mis une option d'achat, mais au final faites comme bon vous semble, en fait le devenir de cette histoire je m'en fous un peu.
Bon, voilà la dernière série en date scénarisée par Christophe Bec. Ses fans y retrouveront tout ce qui les a attirés dans ses précédentes productions. En effet, Bec multiplie ici, dans ce tome introductif, les énigmes. Si l’essentiel de l’album se déroule autour d’une mystérieuse découverte en mer de Barentz, en 2026, on suit en parallèle l’exploration de Mars par les Russes, la même année (avec là aussi une découverte surprenante : c’est elle qui illustre la couverture, et le titre de la série, puisque ce « Mont Olympe » se trouve sur Mars), mais aussi, de manière plus surprenante, l’arrivée de Colomb dans les Antilles en 1492, avec une dernière case qui là aussi pointe un mystère que nous sentons lié aux événements de 2026. Colomb, les explorateurs de la mer de Barentz, les cosmonautes russes, mais aussi un médium américain, voilà les protagonistes de cette histoire. Le dessin de Raffaele est plutôt bon, avec quelques belles planches, mais ses visages ne sont pas toujours très détaillés, et décors et arrière plans sont eux-aussi parfois décevants. Si Bec multiplie les rebondissements, et cherche à faire monter la pression, avec des fortes allusions à une présence extra-terrestre, il use et abuse de recettes déjà souvent utilisées (par lui entre autres), et du coup on est quand même un peu blasé. Comme en plus ce tome ne fait que lancer des pistes, il faudra attendre la suite pour voir ce que Bec va en faire, et s’il va relier intelligemment les phénomènes se déroulant sur des lieux et à des époques très éloignés, mais aussi si cela va sortir d’un sentiment de déjà vu qui guette quand même. Pour ma part, je ne suis pour le moment pas conquis. A voir ce que cela va donner… Note réelle 2,5/5. ********************* Maj après lecture du deuxième tome: Un passage chez les Vikings s'ajoute aux précédents indices, et Bec développe un peu l'intrigue de départ (autour des extra-terrestres), la faisant partir dans tous les sens: on en sait un peu plus, mais comme il prend soin de distiller le suspens, on a un peu l'impression de ne pas avancer tant que ça. J'espère qu'il ne fera pas une énième série à rallonge et qu'il arrivera à retomber sur ses pattes, assez rapidement. Cela se laisse toujours lire, avec le sentiment toutefois de suivre toujours les mêmes grosses ficelles. ******************** Maj après lecture du troisième tome: Bon, ben Bec continue à faire du Bec. C'est à dire que plus l'intrigue avance, moins on a l'impression qu'elle avance ! Un peu comme la flèche de Zénon, qui avance sans atteindre sa cible ? J'exagère sans doute un peu. On est encore balancé d'un lieu et d'une époque à un/une autre (Colomb, les Vikings, la Turquie au début de la guerre froide, la Russie durant la grande terreur stalinienne, la mer de Barentz et la Lune dans les années 2020, etc.). un médium américain sert à faire monter la tension, ses visions jouant ce rôle, tout en nous distillant des infos sur ces extraterrestres et leur vaisseau. Ca avance quand même un peu, et la mission russe sur Mars est davantage liée au reste de l'intrigue. Mais Bec multiplie trop les aller-retours entre les différents lieux, sans faire suffisamment avancer l'intrigue. Un tome est au moins prévu encore, et cela sent la série à rallonge, pleine d'esbroufe, mais finalement pas si originale, et perdant au fur et à mesure de son avancée le rythme de la lancée initiale.
Olympus Mons est en ce qui me concerne la série de trop pour Christophe Bec qui reproduit exactement le schéma de Carthago et surtout de Prométhée. Mon gros reproche concerne le manque de créativité pour changer de style. Il semble tirer un peu trop sur la corde. Il use de ses séquences situées à des époques différentes pour souligner tel ou tel mystère qui sont inspirés quand même de faits réels. A la fin, on arrive à la conclusion que nous ne sommes décidément pas seul dans cet univers et qu'il est probable que notre monde ait été visité depuis des milliers d'années par d'autres civilisations extra-terrestres. C'est passionnant comme thématique mais déjà fortement utilisé par l'auteur. Bref, il va soulever plus de questions qu'il n'apportera de réponses comme à son habitude. Ce premier tome introductif est réellement passionnant par rapport à la grosse masse de série qui existent actuellement. Un public plus jeune peut se laisser tenter sachant que c'est certainement parti pour plus d'une dizaine de tomes. C'est d'ailleurs actuellement la vente n°1 sur le site Amazon ce qui n'est guère étonnant. Et puis, il faut dire que c'est diablement bien réalisé et très efficace. Pour autant, la lecture du second tome confirme mon impression première. J'aurais quand même envie de rajouter que c'est trop proche de la série Prométhée dans son approche et son concept avec la diversité des lieux (Mars, la mer Baltique...) et de temps (Antiquité, époque moderne...). J'ai tout de même l'impression d'avoir droit à un remake avec ces découvertes étonnantes sur fond de civilisations extraterrestres plus avancées. Point d'avancée avec ce tome qui se situe dans la même veine que le premier à savoir une compilation des mystères et des anomalies. On aura droit également à un épisode digne du film Seul sur Mars avec un certain Matt Damon. Trop, c'est trop. Mais le public en redemande toujours. Alors, allons-y pour la suite.
Une nouvelle série fantastique avec comme maître scénariste… Christophe Bec. Nouvelle histoire qui reprend les ficelles de « Prométhée ». Ce premier opus décrit d’étranges phénomènes en différents lieux pour in fine vous l’avez compris … les aliens sont parmi nous ! Youpi ! Je recommande l’achat sans modération. Ce premier tome augure d’une suite palpitante. Du Bec pur jus avec un dessin de Stéfano Raffaele plutôt précis et fouillé. J’espère juste que cette nouvelle saga sera moins prolifique que la précédente.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site