Le Prince des ténèbres (Maô - Juvenile Remix)

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Les aventures d’Andô, un lycéen qui découvre qu’il possède le pouvoir de faire dire ce qu’il veut à n’importe qui se trouvant à trente pas de lui.


Séries avec un unique avis Shogakukan Shonen Super-pouvoirs

Andô est un jeune lycéen qui possède des facultés semblables à la ventriloquie. En effet, il peut faire dire ce qu'il veut à n'importe qui se trouvant à 30 pas de lui. Aidé par son pouvoir, il va enquêter pour le journal de son lycée sur une mystérieuse milice de proximité semblable à une secte. Son leader charismatique se révèlera être un personnage calculateur animé d'intentions politiques, que seul Andô et son étrange don pourront stopper !

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 02 Juillet 2009
Statut histoire Série terminée 10 tomes parus

Couverture de la série Le Prince des ténèbres © Kurokawa 2009
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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31/01/2017 | Erik
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Par Erik
Note: 3/5
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Est-ce que tout le monde connait le Prince des ténèbres ? En tout cas, ce titre n’avait pas encore été utilisé jusqu’ici. Il est clair qu’on aimerait ne pas trop faire sa connaissance pour peu que l’on y croie. Ceci dit, nous avons encore un maga sur un lycéen qui se découvre le pouvoir de manipuler les gens en leur faisant dire des choses qu’ils ne voulaient pas forcément dire. C’est pratique par exemple pour faire cracher le morceau à ceux qui ne veulent pas avouer leur crime comme par exemple pour un vieux sadique toucher les fesses dans un métro bondé à une jeune et innocente collégienne. Ce pouvoir est utilisé pour faire le bien. Mais voilà qu’un mystérieux individu semble également doter des mêmes pouvoirs mais l’emploiera à d’autres fins moins humanistes. Le cadre ne colle pas du tout avec le monde des ténèbres. Le côté fantastique apparaît par petite touche ce qui m’a plu dans ce récit. Il y a comme une montée en puissance qui se fait dans une pseudo-discrétion. Par la suite, cela en devient un peu ridicule. Il faut dire que les dés étaient pipés à l’avance. Il faut entrer dans le récit. Pour autant, le scénariste fait des efforts et cela se remarque. Au niveau graphisme, rien à redire. Même l’édition semble soignée. Nous n’avons pas le meilleur manga mais pas le plus mauvais non plus. L'évolution sur plusieurs tomes va nous faire prendre conscience que c'est un peu plus élaboré qu'il n'y parait. Cela prendra même une dimension politique. Bref, on sait où le mal se situe. A noter également une fin très ouverte.

31/01/2017 (modifier)