Lady Mechanika
Lady Mechanika raconte les chroniques d’une jeune héroïne forte mais tourmentée. Une véritable quête d’identité dans une Angleterre victorienne revisitée et très steampunk, où la magie et la superstition se confrontent aux découvertes scientifiques.
La BD au féminin Steampunk
Elle est l’unique survivante d’une terrible expérience qui l’a laissée avec deux bras mécaniques. N’ayant aucun souvenir de sa captivité ou de son existence passée, elle s’est construit une nouvelle vie d’aventurière et de détective privée. Elle use de ses capacités uniques pour agir là où les autorités en sont incapables. Mais la quête de son passé perdu ne s’arrête jamais. Les journaux l’ont appelée : “ Lady Mechanika ” !
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Date de parution | 01 Juin 2016 |
Statut histoire | Série en cours - cycle(s) terminé(s) (Premier arc de 2 tomes puis histoires indépendantes) 8 tomes parus |
Les avis
J’ai lu les 3ers tomes attentivement, puis survoler les 2 suivants, je vais m’arrêter là pour cette série. L’univers steampunk et le dessin m’ont attiré, il y a de la qualité mais finalement je n’ai jamais été transporté. Je me contre fous de l’avenir des personnages. Lady Mechanika est séduisante et joliment croquée, ça a été finalement le seul attrait de ma lecture. Les péripéties comme les autres personnages m’ont laissé de marbre. La quête de notre héroïne sur ses origines entre 2 missions m’a semblé trop étiolée pour m’accrocher, avec une impression de vide remplie de scènes d’action pour combler entre-temps. J’en attendais plus, vraiment peu mémorable, du comics lambda qui ne vaut le coup que pour son univers steampunk, pas bien approfondi mais joliment mis en images. Un truc que j’ai quand même bien apprécié, ceux sont les couvertures et les différentes tenues de notre héroïne (ce dernier point me fait penser à Buchet avec Nävis), malheureusement le reste m’a semblé bien vide. 2,5
J’ai lu l’intégrale reprenant les deux premiers tomes (c’est-à-dire les 5 premiers épisodes d’origine), qui constitue une sorte de premier cycle. J’avais été attiré par la couverture, vraiment jolie. D’ailleurs, si j’ai trouvé le dessin plutôt bon (voire très bon), la colorisation des pages intérieures m’a quelque peu déçu (je ne suis pas fan de ce genre de colorisation informatique). En effet, je pense que l’auteur aurait pu et surtout dû faire un traitement en Noir et Blanc (ou alors avec des tons marrons gris légers, aux reflets métalliques, qui rendent mieux grâce à son dessin). Bon, lady Mechanika reste quand même séduisante et sexy dans son attirail steampunk… Pour ce qui est de l’intrigue et de son déroulé, je reste là clairement sur ma faim. En effet, une fois l’habillage steampunk planté (c’est le principal, voire le seul atout de la série je trouve), il ne reste pas grand-chose : un peu de mystère concernant l’origine de lady Mechanika, un savant fou, un industriel sans scrupule, une famille de romanichelles, une belle blonde ennemie jurée de l’héroïne, etc. Mais tout ceci est traité sans nuance. Personnalités peu fouillées et intrigue qui privilégie la castagne, c’est peut-être bien fait, mais je n’en raffole pas. Je ne suis pas fan non plus de l’augmentation de l’aspect fantastique sur la fin. Bref, un potentiel esthétique sous exploité, et une intrigue pas hyper originale, je m’arrêterai là, et sans regret. Note réelle 2,5/5.
En grand amateur de cosplay et d'univers fantastique que je suis, je ne pouvais qu'aimer cette BD ! Je surnote peut-être un poil, mais ça fait vraiment plaisir de voir une BD sortir sur du Steampunk où l’héroïne (car c'est un genre qui le privilégie souvent) n'est pas une simple paire de seins bien exposée par le décolleté plongeant. Bon, certes elle a une devanture bien aérée, mais l'essentiel de la BD ne se base pas dessus. L’héroïne est ici une femme forte et indépendante, cherchant pour son propre compte dans les mystérieuses découvertes. Ce que j'ai apprécié, outre le soin évident apporté aux dessins par un auteur visiblement enthousiaste, c'est les incartades dans les différents domaines, de l'Afrique au Mexique, avec chaque fois d'autres représentations de costumes qui font plaisir à voir. Rien que ce style visuel est tout à l'honneur de la BD. Niveau histoire on reste sur quelque chose de classique, mais d'efficace. Je ne me consume pas d'impatience pour lire la suite, mais j'ai bien envie de découvrir le prochain tome à sa sortie. Actuellement c'est plutôt rare pour des sorties récentes, et je tiens à le préciser. J'ai bien envie de découvrir ce qu'il va en être de cette Lady Mechanika. Une série qui reste dans les codes du genre, mais qui exploite très bien le steampunk et est un vrai régal visuel pour toute personne adepte du genre. Pour un peu, ça donne envie de se remettre à sa machine à coudre pour en faire un cosplay. Bref, une série que j'ai bien aimé !
J'ai découvert le steampunk grâce a Le Régulateur et quelques cos play vu ici et là à l'occasion de festivals. Le look est sympa quoique un peu chaud en ces périodes de canicule et quelques jeunes femmes portaient fort bien le corset (fantasmes, fantasmes). Bien que n'étant pas un grand connaisseur du genre je dois avouer qu'il se prête bien à une interprétation graphique et il est donc normal que la BD s'en empare. Alors notre lady Mechanika ? Belles couvertures, l'intérieur propose des dessins de belles factures, une colorisation comics c'est donc encore une fois vers le scénario qu'il faut se tourner pour voir les petits trucs qui ne fonctionnent pas au poil. Du texte, du texte pas très loin du verbiage qui au final paume le lecteur. Enfin il y a le look de la dame, peut être affole t'elle l'ado prépubère mais moi elle m'a gavé plus qu'autre chose. Attention que l'on ne me prête pas d'obscures intentions mais le plan du chemisier tendu à se rompre, le dit chemisier déchiré de partout sauf "là". Allez m'en irais sans doute pas voir la suite moi
Trois premiers tomes. Lady Mechanika c’est avant tout un très beau graphisme qui attire l’œil tout de suite et donne envie de lire la série pour peu qu’on apprécie le style steampunk. Le dessin est extrêmement riche et fourmille de détails, les couleur informatisées ont un bon rendu. Concernant l’apparence bimbo assez stéréotypé de Lady Mechanika, gros seins, taille de guêpe et petit cerveau, sa personnalité bien trempée fait oublier ce visuel prêtant à confusion. Niveau scénario j’ai préféré les deux premiers tomes qui s’axent plus sur la recherche du passé de Lady Mechanika, le dernier concerne une autre de ses enquêtes mais sans revenir sur la sienne, malgré tout j’ai bien apprécié le dépaysement de ce voyage en Afrique. Par ailleurs il n’y a pas que la petite Lady qui est intéressante les autres personnages sont dotés d’une bonne psychologie et les « gentils » se révèle très attachants autant que les « méchants » gravement cons et désagréables. L’histoire touche à plusieurs thème, le steampunk évidemment mais aussi le fantastique qui peu expliquer quelques détails un peu difficiles à avaler malgré la part de steampunk. Un petit bémol que pas mal de lecteurs ont notés, le trop grand bavardage des personnages, certes certaines bulles sont de trop, mais je trouve au final qu’ils enrichissent la personnalité des personnages. La seule chose qui m’ait réellement dérangée c’est le lettrage un peu petit des deux premiers tomes, heureusement le troisième règle le problème. Je ne sais pas ce que réservera la suite ni combien de tomes il y aura mais je pense prendre grand plaisir à lire la suite de cette série.
Dans un monde uchronique et steampunk fait de magie et de science, une femme enquête sur son passé. Il est question d'androïdes qui coexistent avec les humains dans une Angleterre victorienne totalement revisitée. J'ai bien aimé la préface où l'auteur inconnu en France se présente ce qui permet de retracer son difficile parcours dans le monde des comics. Il faut percer pour y arriver. L'accent est mis sur le dessin qui frappe fort surtout au niveau des couleurs et de la précision de la galerie de personnages. Il est vrai que le scénario se laisse suivre au milieu d'un verbiage sans grand intérêt qui veut coller absolument au XIXème siècle. Cependant, au vu des technologies employées, on n'y croit guère. De plus, il y a quelques longueurs ce qui n'arrange rien. Quelques faiblesses mais également quelques qualités font de ce comics quelque chose d'à la fois sophistiqué et original dans l'univers des comics steampunk.
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