La Pharmacienne
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Une famille débauchée dans un vaudeville d'une rare intensité érotique !
Adaptations de romans en BD Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Les petits éditeurs indépendants
Pharmacienne de profession et soumise dans l'âme, Laura Desjardins tombe la blouse dès que Beau P', son nouveau compagnon, le lui ordonne. Notre héroïne est loin de se douter que l'appétit sexuel est héréditaire : jeune femme en apparence naïve, sa fille Bébé en connaît déjà un rayon sur les hommes ! Quand Beau P' surprend l'effrontée entre les jambes d'un camarade et décide de la faire chanter, tout bascule dans ce foyer de province. Et l'arrivée d'Ernest, un cousin et voyou repenti qu'on héberge pour quelque temps, ne fait qu'accélérer la débauche de la charmante famille...
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Date de parution | 08 Juin 2017 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Comme l'ont souligné d'autres aviseurs, c'est pas du subtil ! La BD est pornographique dans la moindre de ses planches, le tout dans un mélange de scènes entre les différents personnages (mais sans jamais déborder du cadre hétéro) qui culmine dans la scène finale. C'est aussi un scénario classique de vaudeville, avec tromperie, chamaillerie, cousin éloigné qui débarque etc ... Soyons honnête, c'est trop peu subtil pour moi. L'intrigue ne vole pas haut et s'ingénie à enchainer les scènes de sexe avec un manque de crédibilité qui frise la parodie, le tout dans des dialogues à la subtilité digne d'une bonne série Z. J'ai beau voir que c'est semi-sérieux, cette histoire m'a franchement laissé sur ma faim. Aucun intérêt pour tout ce qui se déroule, aucune envie de voir l'histoire se conclure. J'ai fini la BD parce qu'elle est courte, mais j'ai clairement zappé la lecture des dialogues dans les dernières pages. Je pense que ce n'est franchement pas pour moi !
Je me gausse de la description et du thème « érotique » … je n’en ai trouvé aucune trace. Ici on est plutôt dans le genre tac tac badaboum et gros sabots !! Amis de la poésie vous pouvez clairement passer votre chemin. Les auteurs nous proposent un vaudeville des plus hard, comme le souligne Yann il n’y a que 2 planches « propre », le reste est consacré à la gaudriole des plus brut et en grande partie au coït anal. Nous aurons droit à toutes les situations hétéros possibles entre nos 4 personnages : la pharmacienne, sa fille, le beau-père et son cousin. Un rendu un rien redondant mais j’ai trouvé le côté vaudeville relativement réussi, je suis plus dubitatif sur les personnages (déjà rien que les noms beau-p’ et bébé ?!) et les dialogues dignes de romans de gare ou de mauvais films. Les auteurs ne s’en cachent pas, ils vont droit au but et ne s’encombrent pas de subtilités. Une lecture efficace et bien mise en images mais bien trop directe, c’est vraiment trop cru à mon goût pour relever.
C’est après avoir lu l’avis de Noirdésir que je me suis décidé à me procurer cette bande dessinée. J’avais un alibi ! Direction ma librairie et la partie BD pour les adultes. La BD est sous blister ! Je ne peux pas la feuilleter. Ça augure du lourd ! Et c’est vraiment du lourd ! Une BD bien hard. Il n’y a que 2 planches « propres » sans dessins pornographiques. La première et la dernière. Pas de scénario alambiqué. C’est du cul et du cul. Un plan à 4. La mère et sa fille et deux cousins. Amis de la poésie et de la délicatesse, ce n’est pas pour vous. Vous pouvez passer votre chemin. Ici c’est sodomie party à tous les étages. Du porno pur et dur, sans tabous avec des dialogues lubriques et des râles sauvages. Le graphisme érectile et gonflé d'Igor et Boccère est plutôt pas mal même si il est un peu gluant ! Les couleurs sont acidulées et criardes mais cela ne m’a pas gêné. Ce qui est sûr, je ne verrai plus ma pharmacienne du même œil ! A ne pas mettre dans toutes les mains.
Cul cucul. Pas d'histoire ou presque.... Les situations scabreuses s'enchaînent sans queue ni tête (le comble ! ). Reste le dessin, excellent, et la mise en couleur somptueuse. Cette pharmacienne ne fait vraiment pas dans l'homéopathie...
L’auteur de Chambre 121 et de Suite 121 adapte ici un des romans d’Esparbec, publié chez le même éditeur. Il garde la même couverture que le roman (seule change la couleur de cheveux de « la pharmacienne » - même si, honnêtement, ce n’est pas forcément ce que l’on regarde d’elle en premier lieu ici !), élague quelques détails, pour se concentrer sur les relations à quatre entre notre pharmacienne, son nouveau jules, sa fille et un cousin récemment sorti de taule et venu se ressourcer. Esparbec n’est pas un auteur à s’encombrer de faux semblants, de prétentions artistiques, et va directement à l’essentiel (le cul), pour s’y attarder longuement. Comme l’a fait remarquer hervé, cet aspect a justement été reconnu par Pauvert dans son excellente anthologie des lectures érotiques (dont la lecture est hautement recommandable à divers titres). Et donc ici, à part quelques rares moments reliant les personnages entre eux, nous suivons une sorte de vaudeville à la Labiche ou Feydeau (quiproquos, personnages sortant et entrant d’une pièce à l’autre, maitresse dans le placard (Esparbec a plusieurs fois repris dans ses romans cette idée du vaudeville pour ses coucheries), amant coincés sur le balcon, etc. Mais, bien évidemment, tout est ici perverti, et rapidement chacun des protagonistes couche avec les autres, successivement, puis ensemble, dans une scène orgiaque finale. On n’est pas volé sur la marchandise, on sait d’entrée (du fait des auteurs, mais aussi d’une entrée en matière – et dans notre pharmacienne ! – que le langage va être aussi fleuri que le scénario sera linéaire. Et le dessin est plutôt bon, nous montrant deux femmes aux formes généreuses, dans des positions des plus scabreuses. Les amateurs ne recherchant pas forcément l’originalité trouveront sans doute leur plaisir à la lecture de cet opus brut de décoffrage.
C'est un roman de gare un peu porno qui est adapté. Le dessin est franchement de toute beauté dans un style très réaliste. En ce qui concerne le récit, je serai moins élogieux. Je n'ai pas trop apprécié cette histoire de famille autour d'une pharmacienne. Il y a un côté presque incestueux et amoral qui m'a mis assez mal à l'aise. Certes, c'est un porno qui s'assume avec des scènes de sexe plutôt torrides qui s'enchaînent assez rapidement. C'est réalisé pour divertir avec ses nombreux coup de théâtre et amant dans le placard et le but est clairement atteint. Pour le reste, il me faudra sans doute plus de douceur, de charme et de subtilité que cette débauche familiale.
Avec « la pharmacienne », Igor et Boccère (qui ne font qu’un) adaptent un des romans les plus connus, voire le meilleur (avec « la foire aux cochons » et plus récemment « le fruit défendu ») d’Esparbec, écrivain que j’adore. Ce roman est même repris dans l’anthologie des lectures érotiques de Jean Jacques Pauvert. Après l’inoubliable Chambre 121 (et sa Suite 121) et le moins bon "Voyage en profondeur", Igor & Boccère ont enfin eu l’honneur de décrocher un grand format couleur aux éditions"dynamite". Rien que la couverture, qui reprend celle du roman publié en 2003 vaut le détour ! Igor & Boccère adaptent avec (presque) fidélité le livre d’Esparbec (encore que certains personnages passent à la trappe, comme le frère de Bébé, ou encore le cousin Jérôme qui est remplacé ici par un copain de fac, ou certaines situations – comme l’inceste et une scène homosexuelle entre Ernest et le frère, disparaissent purement et simplement dans la bande dessinée) et nous offrent une fin originale et drôle non présente dans le livre. En tout cas, on y retrouve l’ambiance du livre où, au final, tout le monde couche avec tout le monde, et dans toutes les positions. Evidemment, les courbes généreuses et avantageuses de la belle pharmacienne sont parfaitement mises en valeur, comme je l’imaginais à la lecture du roman. C’est un ouvrage franchement pornographique, assez réussi, à ne pas mettre entre toutes les mains, servi par un dessin qui sans nul doute aurait gagné à être un peu plus soigné au niveau des visages des deux femmes. En effet, on confond parfois Laura, la mère, avec Bébé, la fille... un peu comme les deux lascars de la maison, Beau et Ernest, en fin de compte ! Bref, une très belle adaptation que je recommande vivement.
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