Les Seigneurs de la terre

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Les aventures d'un fils d'agriculteur en quête de ses racines et d'un lien à la terre (ce qui revient fondamentalement au même).


Agriculture et élevage Auteurs italiens Bouffe et boisson

Fabien Rodhain, écrivain et conférencier spécialisé dans le domaine, et Luca Malisan signent avec Les Seigneurs de la terre une saga familiale placée sous le signe de l’agriculture, décrivant les rouages de ce secteur, son implication dans notre société et son évolution au sein des mentalités. Suivez le parcours initiatique d’un jeune avocat à la découverte d’un monde nouveau et impitoyable, avec en point d’orgue la confrontation entre agriculture biologique et intensive. (texte de l'éditeur)

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 10 Février 2016
Statut histoire Série terminée (un cycle de 4 tomes + un cycle de 2 tomes) 6 tomes parus

Couverture de la série Les Seigneurs de la terre © Glénat 2016
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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19/09/2018 | Mac Arthur
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Par Gregory
Note: 1/5

J'avais acheté les 3 premiers tomes puis revendu tellement on tombait dans les clichés bobo qui finit en Inde.... Puis cette année j'ai vu que la série était arrivée à la bibliothèque de la commune. J'ai tout relu puis arrivé à la finir. Mouais.... Trop cliché et le pire c'est le dernier cycle où on sent bien que les auteurs en avaient marre. Avec le dernier tome qui finit à toute vitesse... Bref très très déçu !

25/04/2023 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Bien dans la lignée d’un Châteaux Bordeaux, avec ce petit goût de feuilleton français bien formaté, avec un personnage principal jeune, beau et séduisant, des héroïnes qui toutes auraient pu être d’ex miss-France… ce goût un peu aseptisé qui permet de plaire au public le plus large possible, cette nouvelle série entre bien dans la ligne d’édition de Glénat. Alors, j’ai l’air de me moquer, comme ça, mais dans son genre, cette série est bien faite. Elle est soignée, permet d’aborder la problématique de la prise de pouvoir des multinationales sur la production alimentaire tout en offrant avant tout un récit d’aventure (et de déboires sentimentaux et familiaux) accessible à un large public. Le genre de récit qui donne bonne conscience au peuple mais pas l'envie de faire bouger les choses (genre on se dit "ouhhh, c'est mal, ouhhh, ça va pas, ouhh, il faut que ça change"... et on passe à autre chose en regardant des vidéos de chatons sur notre i-phone). On y croise des personnages réels au détour d’aventures purement fictionnelles. L’intrigue est régulièrement relancée (mais bon, ça tourne parfois un peu en rond avec les relations familiales du héros et un pathos parfois maladroitement appuyé), le dépaysement est au rendez-vous (l’inverse serait malheureux lorsqu’on se déplace en Amérique du Sud ou en Inde). Le dessin est bon mais certaines grandes cases ont un peu de mal à camoufler le vide du scénario. Les petits textes explicatifs (qui permettent de comprendre à quoi, dans la réalité, la série fait référence via des sociétés et autres organismes fictifs) tombent parfois comme des cheveux dans le waterzooï, cassant le rythme narratif qui n’avait vraiment pas besoin de ça (un petit lexique en fin d’album me serait apparu plus judicieux). Vous l’aurez compris : ce n’est pas ma came MAIS c’est bien fait dans son genre. Ce type de série peut plaire à beaucoup de lecteurs et mérite que vous vous y intéressiez… si vous aimez ce genre. C’est pourquoi j’accorde tout de même un 3/5 mais je n’oserai vous en conseiller l’achat. … Et puis bon le coup du cousin rival, ça fait vraiment roman-photo des années ’80 !

19/09/2018 (modifier)