Togari - L'épée de justice
Tôbé fut un criminel à l'époque des samourais. A cause de ses actes, il dut passer les trois siècles suivants à errer misérablement en Enfer. Un jour, il est abordé par le seigneur d'Emma, une des ravissantes "intendantes" des mondes souterrains, qui lui propose un bien étrange marché pour quitter ces lieux de perpétuels tourments. Il doit retourner sur Terre et y anéantir cent huit péchés en cent huit jours.
Akata / Delcourt Shogakukan Shonen
Tôbé fut un criminel à l'époque des samourais. A cause de ses actes, il dut passer les trois siècles suivants à errer misérablement en Enfer. Un jour, il est abordé par le seigneur d'Emma, une des ravissantes "intendantes" des mondes souterrains, qui lui propose un bien étrange marché pour quitter ces lieux de perpétuels tourments. Il doit retourner sur Terre et y anéantir cent huit péchés en cent huit jours. Pour l'aider dans cette quête, Emma lui fournit l'épée Togari. Cette arme a le pouvoir d'anéantir les mauvaises énergies qui poussent les hommes à agir de manière malsaine. C'est elle seules qu'il devra combattre s'il veut se purifier et quitter définitivement l'Enfer. Tôbé réussira-til à affronter autant de démons sanguinaires ? L'intrigue de ce manga est construite sur la connaissance des pratiques spirituelles bouddhistes et elle utilise la symbolique numérologique la plus universelle. En accomplissant 108 tâches en 108 jours, Tôbé et le lecteur qui s'identifie à lui, vont participer à un rituel de purification. Les épreuves se succèderont comme les grains d'un chapelet sous les doigts agiles du chercheur, Togari, un imaginaire enraciné pour redécouvrir intuitivement les secrets de la nature humaine.
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Date de parution | Août 2002 |
Statut histoire | Série terminée 8 tomes parus |
Les avis
Du potentiel mais mal exploité, un dessin plutôt correct et dynamique, mais une fin en queue de poisson (peut-être parce que l'auteur a dû conclure son récit, son classement auprès des lecteurs ne lui permettant plus de continuer, la dure loi des séries au Japon). Le personnage principal est bien cerné, intéressant, mais les autres sont des clichés vus et rata-revus. Une petite exception pour Amy qui tire quand même son épingle du jeu. Les règles qui régissent le comportement des protagonistes sont étranges, et sont parfois parachutées en plein beau milieu de l'histoire, ce qui fait tache. On sent du bricolage en court de route. N'empêche : tous ces personnages (très) puissants qui se contentent de jouer les spectateurs, alors qu'en un claquement de doigt, ils pourraient tout résoudre. Au bout de 8ème volume, quelques questions restent en l'air et ne seront jamais résolus, c'est frustrant. Le dessin ne démérite pas, gras et noir comme l'exige ce type d'histoire. Des erreurs de proportion parfois, quelques soucis de lisibilité, mais globalement, ça tient la route. Vers la fin, je me suis demandé si le dessinateur n'avait pas été remplacé pour un chapitre, je ne reconnaissais plus trop son style initial. Moi aussi, j'ai eu la sensation que l'auteur avait un peu trop lu "Ryo"... Soyons clair : ça se lit, mais ne pas en attendre des miracles.
Après la lecture des huit tomes. Togari est malheureusement un manga décevant. Si l’idée de départ est accrocheuse, l’auteur n’arrive pas à donner de l’ampleur à sa série, qui tourne rapidement en rond. Les scènes sont redondantes, notamment les scènes d’action et l’intrigue évolue très, très lentement sans jamais donner tous les éclaircissements nécessaires. Le personnage de Tobé est réussi mais les autres acteurs sont peu nombreux et assez stéréotypés. Il faut reconnaitre que le manga se laisse gentiment lire en dépit de ses défauts. Mais l’auteur rate complètement la fin de Togari. Certains posteurs parlent de fin ouverte, moi je dirais que Natsume se dispense carrément d’achever sa série. Une fois le dernier tome fini, absolument tout reste en suspend, comme si un second cycle devait voir le jour. Lecture largement dispensable.
Dommage... Le dessin présageait quelque chose de bien, mais il a été mis au service d’une histoire assez peu convaincante, avec somme toute, un seul personnage intéressant (Tôbé), le rôle des autres allant du simple faire-valoir à celui d’accessoire de scène (chapô bas pour Enma... une très grosse huile du royaume des morts qui se borne à faire de la figuration malgré un "temps" de présence plus que respectable, ça c’est du personnage exploité). Et avec ça, Togari se termine de la façon la plus frustrante qui soit, mais aussi de la même façon que bien d’autres séries nippones : en queue de poisson ! Oué, dommage, ça partait bien...
Un manga, il est vrai un peu convenu et pas franchement original. Il est cependant très bien mené et tient le lecteur en haleine passé le cap difficile du premier volume. On finit par s'attacher un peu au héros (un peu moins aux persos secondaires) et on se laisse porter par l'histoire. En fait, j'aurais pu conseiller l'achat et même monter la note si un tout petit, un insignifiant détail n'avait pas plombé cette série: on a beau aimer les fins ouvertes, finir le manga juste avant la confrontation finale avec le gros méchant, c'est super FRUSTRANT!!!
... J'avais lu du bien de ce manga récemment publié par Delcourt. Comme cette maison publie également Tajikarao qui est vraiment sympa, j'ai tout logiquement voulu essayer Togari, dont le sujet a tout de même l'air intéressant (vous je ne sais pas, mais moi le résumé ci-dessus me mettait un peu l'eau à la bouche...). Eh bien après lecture du tome 1, je suis très mitigé... Si la lecture elle-même se fait sans difficulté, si le dessin est franchement sympa, avec des regards complètement hallucinés de la part de Tôbé, si le "Making Of" en fin d'album est bienvenu et si on ne s'ennuie pas un instant, en revanche il me reste un arrière-goût de trop peu, et plus j'y pense, plus il s'accentue. En effet, l'histoire elle-même s'apparente pour l'instant à des bastons successives, au cours desquelles Tôbé découvre les limites qui lui sont imposées; ça en devient vite lassant. Ensuite, les personnages -- en-dehors du héros -- sont mal posés : ainsi le seigneur Emma et le surveillant-démon Ossé ne sont à mon avis pas du tout crédibles, que ce soit dans leur représentation ou leur caractère. De plus l'histoire semble être "à la chevalier du zodiaque", où on explique en cours de route des éléments que l'on vient d'inventer afin de créer un effet qui se veut dramatique; pour ma part je trouve ça lourd. Alors bon, voilà, je suis loin, très loin, d'être convaincu... La seule chose qui me retient de mettre un 2, c'est le résumé alléchant déjà cité. Il faudra revoir ça après lecture du deuxième tome, mais j'avouerai n'avoir pas trop d'espoir... :( Bon, après lecture du tome 2, effectivement ça ne s'améliore pas beaucoup... En fait Tôbé poursuit ses combats avec le leitmotiv "donne-moi tous tes crimes", bon ben voilà quoi, rien de nouveau. Et puis l'ensemble est très lourd : absolument rien n'est suggéré, tout est dit, redit et expliqué en long en large et en travers. Bof, je ne vais pas la continuer, cette série, surtout que ça risque de durer : 11 crimes en 2 tomes, et il doit en récolter 108...
Mouais...à l'est rien de nouveau...l'idée de base de Togari me paraissait pourtant assez intéressante mais finalement l'épée-vengeresse-du-héros-qui-doit-sauver-son-ame sent assez le réchauffé...... Le dessin est honnête mais pas très original...pas d'innovation graphique ou de personnage avec une tête inédite... L'histoire ne me passionne pas du tout, peut-être à cause de sa relative prévisibilité...Et, évidemment, on a encore droit à tous les clichés habituels, comme la mignonne et très naïve héroïne (fille de flic, bien sur...) attirée par le coté obscur du ténébreux héros ou encore les méchants qui ne sont ni plus ni moins que les petites racailles du quartier (bien que, ATTENTION!!! défois la racaille sévit dans deux quartiers différents et, là...v'là le challenge!) Tout ça pour dire que j'ai la furieuse impression que l'ami Natsume a lu Kyo et qu'il a bien aimé...au point de nous en recracher une vilaine adaptation à sa sauce personnelle dont il aurait largement pu s'abstenir, alors que malgré tout il avait les moyens de faire un truc très sympa et un peu original...dommage!
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