Léo Roa
Un journaliste tente de découvrir l'identité d'un pirate de l'espace qui menace le trafic galactique...
Auteurs argentins Journalistes Juan Gimenez Space Opera
Léo Roa est un journaliste assez motivé, toujours à la recherche d'un reportage sensationnel Il mène une enquête pour découvrir celui qui se cache sous le masque du célèbre pirate de l'espace léo Roa va déjouer les plans démoniaques du plus grand pirate de tous les temps après de nombreuses péripéties...
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Date de parution | Janvier 1988 |
Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
Eh bien, oui les premiers pas de Juan Gimenez, pensez donc 1988, alors osons le c'est clairement une œuvre de jeunesse. Le dessin est beaucoup moins fouillé que ce qu'il deviendra par la suite, notamment sur "La caste des Métas-Barons". De même la colorisation fait plus triste que dans des récits ultérieurs. En ce qui concerne le scenario là aussi nous sommes dans des trucs de jeunesse, le truc est un brin foutraque, brinquebalant, je ne vous ferai pas la redite de tout ce que l'on trouve dans ce récit mais sachez qu'il foisonne, c'est hétéroclite et peut être un peu indigeste. Personnellement je garde mes deux tomes comme un souvenir du travail du début de ce grand monsieur que fut J. Gimenez.
Je tombe sur cette intégrale par hasard en bibli (probablement celle de 2006 car je ne retrouve aucune couv identique en galerie), mais je m'aperçois que ça date de 1988... bof c'est encore de la SF qui n'est pas trop dans mes goûts, mais j'avais envie de voir l'évolution du style de Gimenez. Il est clair que si on découvre cet auteur avec cette Bd, ça peut ne pas inciter à lire ce qu'il a fait ensuite, et ce serait dommage, il vaut mieux donc avoir lu La Caste des Méta-barons avant, et on s'aperçoit vite que ces aventures spatiales sont complètement délirantes et peu attrayantes. C'est une sorte de fourre-tout hétéroclite, un mélange de folie, de piraterie spatiale, de complots, d'érotisme un peu exagéré, avec des créatures hideuses, des bestioles et des filles à poil à gros nichons...tout ça est un peu confus et n'apporte pas grand chose. Comme le dit Gaston dans son avis, c'est intéressant pour le dessin qui m'a quand même semblé très bon, et aussi on y décèle des trucs qui annoncent les futures oeuvres de Gimenez, sinon pas grand chose à se mettre sous la dent, même pour un vrai passionné de SF je pense...
Une série de science-fiction dont le seul intérêt est le dessin que j'ai bien aimé. J’aime bien le décalage entre le dessin réaliste et les situations pas sérieuses. Le scénario ne m'a franchement pas intéressé. J'y ai vu un certain potentiel dans l'univers créé par l'auteur, mais le scénario n'est pas du tout original, le rythme est trop lent et au final j'ai eu droit à un récit totalement poussif qui n'avait rien de mémorable. On dirait que l'auteur voulait faire une série du genre L'Incal, mais malheureusement il ne possède pas le talent de Jodorowsky.
Après son excellente et dernière BD Moi, Dragon, voilà que je tombe sur cette série chez un copain. Alors, bien sûr on passe de la Fantasy à la SF, mais quand même ! Quelle différence ! Si Gimenez reste meilleur graphiquement qu'à la plume "Léo Roa" fait office de pâle oeuvre de jeunesse. Alors oui, c'est un peu marrant, sauf que ça tourne vite en rond cet humour "grand ado". Ou plutôt, c'est le décalage entre l'humour et le dessin réaliste de Gimenez qui cloche ; du coup on a du mal à se lâcher... Car non, il ne se prend pas au sérieux (j'espère pour lui !) avec cet antihéros par excellence, qui enchaîne pas mal de clichés comme une série de figures imposées en gymnastique. Et c'est ce jeu que j'ai trouvé intéressant. Surtout qu'on y trouve les prémices de pas mal de choses qu'il développera dans sa (magnifique) série La Caste des Méta-barons. Pour ce qui est du dessin, j'ai trouvé ça en dessous de ce que je connaissais de Gimenez. C'est un peu pale et les dessins ne sont pas aussi précis. Alors bon, ça tient plus du bon vieil épisode de série B télévisée, et on passe un moment assez divertissant à sa lecture, surtout que 2 tomes, c'est vite avalé !
Un anti-héros et son cousin qui se baladent dans un univers futuriste de type L'Incal ou La Caste des Méta-barons sous couvert d'une pseudo-enquête journalistique. Le scénario n'a rien d'exceptionnel, il est très prévisible et sans rebondissement ni surprise. Les dessins restent classiques et la coloration est un peu pâlotte pour moi (on a l'impression que c'est délavé). Le tout se lit assez rapidement et heureusement qu'il n'y a que deux tomes sinon on aurait couru à la catastrophe.
Leo Roa, c’te vaste blague. C’est la première fois que j’ai eu autant de mal à terminer une série, composée de seulement 2 tomes qui plus est. L’histoire part dans tous les sens, la narration est vraiment hasardeuse, et les dialogues, mon dieu, les dialogues… Si au moins les personnages étaient attachants mais même pas, ils sont à peine développés (Leo veut devenir un héros et Meke un guitariste reconnu en oubliant pas sa maman chérie ; super), d’ailleurs au bout de la moitié du premier tome, on a déjà plus rien à secouer de ce qui peuvent leur arriver à ces deux nazes de l’espace. Si au moins, on pouvait se rattraper sur le graphisme inimitable de Gimenez (quand j’y pense ses scénarios sont tout autant inimitables tant je les trouve mauvais), mais ça doit être la série la plus mal dessinée de sa carrière. Passez votre chemin sans hésitation.
Un scénario que l'on pourrait qualifier de... facile et pour ma part sans grand intérêt, des dessins qui ne sont pas à la hauteur de ceux présentés sur la couverture, bref une Bédé alimentaire.... Aucun plaisir n'est ressorti de la lecture de ces 2 tomes si ce n'est le temps passé sur mon canapé moelleux. Une série à éviter pour ne pas juger trop hâtivement Juan Gimenez qui nous a tout de même habitués à mieux.
Mouairf... Une BD SF sans grande originalité. J'ai été attiré vers cette BD par le nom et le style de Gimenez. Mais les dessins n'y sont pas à la hauteur des premiers Méta-Barons. Notamment les corps nus (qu'on trouve souvent dans cette BD) sont bien souvent ratés : Gimenez a vraiment du mal à dessiner les fesses des femmes ! Quand ensuite le scénario ne casse pas trois pattes à un canard, ben, ça donne une BD bien moyenne.
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