Nana

Note: 3.75/5
(3.75/5 pour 28 avis)

Shojo réaliste.


BDs adaptées en film La BD au féminin : le manga Le meilleur du Manga Le Rock Love Stories Séries hélas abandonnées Shojo Shueisha

Deux jeunes filles japonaises ont en commum leur prénom "Nana", leur âge et leur attirance pour Tokyo. La première, étudiante rêveuse et tête en l'air, est à la recherche du prince charmant. Quant à l'autre, plus déterminée et solitaire, c'est grâce à son premier amour qu'elle est devenue chanteuse dans un groupe de rock amateur.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 01 Octobre 2002
Statut histoire Série abandonnée (21 tomes au Japon, en pause) 21 tomes parus

Couverture de la série Nana © Delcourt 2002
Les notes
Note: 3.75/5
(3.75/5 pour 28 avis)
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27/01/2003 | Sonia
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L'avatar du posteur monsieur quentin

ENFIN UNE BONNE ROMANCE PUTAIN ! Personnages au top, situation réaliste, dessin atypique qui ne plaira pas à tout le monde, et une fin qui se fait désirer, mais par pitié lisez le nom de dieu.

06/07/2024 (modifier)
Par gruizzli
Note: 5/5 Coups de coeur expiré
L'avatar du posteur gruizzli

Que dire sur ce manga ... Pris d'une impulsion, je me suis procuré l'intégralité des 21 tomes parus à ce jour, et je me les suis dévoré comme des bonbons, mais à petite dose. Je n'ai pas pu les engloutir comme j'aurais voulu. Trop dense, trop d'émotions. Mais j'ai finalement lu jusqu'au bout le dernier tome. Et je suis maintenant comme toutes ces personnes qui attendant depuis dix ans la sortie hypothétique d'une suite. Nana, c'est le manga Shojo par excellence. Et ce genre étant autant connoté, il est assez ardu d'arriver à passer outre les préjugés qu'on accorde aux œuvres s'y rattachant. Mais là, je suis désolé, il n'est pas possible de juger Nana simplement comme un Shojo. Même en considérant qu'il est le meilleur, ce que j'ai déjà entendu plusieurs fois. Non, Nana est bien plus que simplement le meilleur de son genre, si tant est que ce qualificatif n'est pas un poncif usé. Nana est un manga particulièrement excellent, avant tout. Je n'ai pas de souvenir d'avoir lu un autre manga qui m'ait fait pleurer au tome 8 et qui m'a pris ensuite aux tripes. J'ai dévoré l'histoire comme jamais, et pour la première fois j'ai découvert une BD où absolument tous les personnages m'ont plu. Je ne pensais pas dire ça au début, mais chacun des personnages principaux de ce manga est passionnant à suivre, avec tous ses travers et sa vie intime. C'est tout le cœur de l'histoire, entre les personnages et leurs relations. Bien campés, sensibles et humains, on est loin des clichés du genre romantique. Niveau dessin, il faut aimer le style de la dessinatrice, mais une fois qu'on s'y habitue elle sait nous prendre par les sentiments quand il le faut. Le dessin arrive à poser des ambiances noires et sombres, mais aussi légères et amusantes. C'est bien foutu d'un bout à l'autre (et je note que la dessinatrice a un excellent dessin dès le premier tome), et j'ai adoré les derniers tomes et leur ambiance noire. Un régal. Mais surtout, surtout, qu'est-ce que c'est beau ! Je ne saurais dire comment c'est possible, mais l'auteure à réussi à nous faire une histoire d'amour entre deux filles sans qu'on ne puisse parler d'histoire d'amour. Je ne sais ce que c'est, mais il y a entre les deux Nana une alchimie qui se noue et cimente toute l'histoire. Rien que cette histoire d'amitié/amour/fraternité vaut tout le manga. C'est le cœur de toute l'histoire, mais aussi une relation des plus sincères que j'ai lues en manga. Et curieusement réaliste, aussi. Ce manga m'a touché, m'a ému, m'a fait pleurer et m'a suffisamment plu pour que je crois moi aussi que ce manga sera fini un jour. Car une telle histoire ne peut rester inachevée ainsi. Et même si dix ans ont passé sans nouvelle, je continue de penser qu'il y aura une fin. Je l'espère de tout mon coeur.

29/12/2018 (modifier)
Par Gaendoul
Note: 4/5
L'avatar du posteur Gaendoul

Alors là, s'il y'a bien une série pour laquelle je n'aurais jamais pensé accrocher, c'est bien celle-ci! Le personnage principal a tout de la blonde typique (hin hin) et est vraiment cruche mais elle parvient malgré tout à se rendre attachante au fur et à mesure que le manga avance. La variété dans les situations et le scénario font qu'on ne s'ennuie pas et de nombreux rebondissements ont lieu. L'autre personnage est intéressant également et amène de la fraicheur au manga. Les réactions sont humaines et on sent ici qu'une réflexion a été faite sur les mises en situation. Le dessin quant à lui n'est pas sublime mais la lecture est agréable et le tout est très clair. Un bon manga traitant d'amour et de rock'n'roll ^^

19/09/2005 (MAJ le 24/08/2012) (modifier)
Par jen
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

C'est un manga super. On peut s'identifier à certains personnages. Si vous voulez des histoires d'amour, ça ne manque pas. Même si j'ai commencé à être blasée au bout d'un moment. Mais ça vaut le coup quand même de le lire. Mais vous allez être déçu parfois. Et les dessins sont pas mal. Au début, le style, j'étais pas habituée donc je l'ai trouvé spécial mais après, à force, j'ai adoré. Et l'anime il est tout simplement génial, magnifique !

15/10/2009 (modifier)
Par fonch001
Note: 3/5

Graphiquement cette œuvre n'est pas du tout à mon gout : pas de décors (quelques images informatisées parfois), des personnages "fils de fer", des expressions surfaites... Bref c'est moche. Soit, l'important c'est l'histoire... Ben, heu comment dire, je ne suis pas emballé non plus, c'est très midinette tout ça.. Ce manga vise clairement la ménagère de - de 30 ans et ce n'est pas un hasard si ce manga me fait penser à "amour gloire et beauté" et autres niaiseries du même genre. D'ailleurs ma femme adore... Bon tout n'est pas mauvais, si vous aimez la collection arlequin, il y même toutes les chances pour que vous raffoliez de ce manga. Le fait que ce soit un seinen et non un shôjo rend également le sujet (parfois) plus mature et intéressant. Mais bon, si je continue à l'acheter et à le lire après 18 tomes, c'est uniquement parce que ma femme adore car personnellement je n'aurait pas dépassé le dixième...

27/03/2007 (MAJ le 14/04/2009) (modifier)
Par Erik
Note: 4/5
L'avatar du posteur Erik

Je commençais tout doucement à désespérer à la lecture de différents shôjo qui ne rencontrent pas du tout mon intérêt. Cela peut paraître évident quand on sait que ce genre de manga est destiné à un public de jeunes filles. Visiblement et sauf erreur de ma part, rien n’empêcherait un garçon de lire un shôjo. Tout au plus, il pourra apprendre des choses intéressantes sur la psychologie féminine. Le problème proviendrait du fait que les femmes japonaises ne réagissent pas de la même manière que les occidentales, et c’est bien compréhensible. J’ai hésité à commencer à lire cette série car comme le nom l’indique, c’est destiné aux nanas. Cependant, c’est plus fort que moi, j’avais envie de savoir… de ressentir des émotions fortes. Le sujet sur les rapports humains m’a toujours intéressé. Récemment, l’excellent Effleurés m’avait justement charmé car nous avions une présentation des deux points de vue (homme-femme). Avec « Nana », c’est moins évident car on suit le parcours de deux jeunes filles qui débutent leurs vies de femmes et qui vont quitter leur ville provinciale pour tenter l’aventure dans la capitale nippone. Il est vrai que nous n’arrivons pas à ressentir réellement ce que pensent les hommes. Ils sont d’ailleurs très souvent représentés de manière caricaturale. Cependant, j’ai bien aimé cette lecture où l’on ne s’ennuie jamais. On pourra gloser sur quelques aspects outranciers finalement propre au genre mais ce n’est pas là l’essentiel. J’ai été sensible à certaines situations qui sont fort bien décrites comme, par exemple, le sentiment d’abandon que l'on peut éprouver quand on tombe amoureux de la personne qu’il ne faut pas. Vous me direz qu’il n’y a là rien d’exceptionnel. Cependant, peu de bd à ma connaissance traitent de ces sujets. En Occident, c’est la vie privée qu’on préserve et il n’y a pas de démonstration de sentiment. Cette réserve entraîne forcément une pénurie de ce type d’œuvre. Finalement, je me dis qu’heureusement, les shôjo existent et je comprends l’engouement actuel. C'est certainement l'un des meilleurs qui existent et c'est tant mieux. Un peu de douceur dans ce monde ne ferait pas de mal.

20/06/2008 (MAJ le 09/11/2008) (modifier)
Par loy
Note: 2/5

Franchement à un moment j'étais tentée d’acheter la série mais heureusement que je me suis retenue ! J’ai eu l'occasion de voir l'anime qui reprend le manga à la page prêt et après 10 ou 15 premiers épisodes plutôt sympas je trouve nana plutôt moyen voire complètement gnangnan larmoyant ! Il y en a qui ont trouvé des aspects philosophiques voire psychologiques, je me demande lesquels car je ne vois pas ! Les personnages se donnent l'air travaillé niveau psychologie car la mangaka leur donne des airs très graves mais en fait c'est un leurre, ils sont aussi vides qu'une coquille d'œuf ! Leurs seuls intérêts dans la vie : la musique, boire, faire la fête, coucher... j'exagère mais en gros c'est ça ! La mangaka développe rien, ni leur passé ni leurs buts, leurs motivations, à part ce que j'ai cité ! Pourtant ces personnages semblent avoir des blessures mais on n’en saura pas plus, tout est superficiel ! Le must c'est quand même Shin. Ce gars se prostitue alors qu'il doit bien gagner avec son groupe et on sait même pourquoi et en plus il fait ça comme si il allait au sport, affligeant !!! Je ne parle même pas de Hachi qui finit avec un macho grande gueule play boy à vomir, on se dit quant même « elle a une case en moins cette nana » o_o surtout après des scènes sexuelles plutôt forcées, c'est un tendre le mec -_-! En gros nana c'est des histoires de coucheries qui n'en finissent plus, de jalousie, les personnages ne sont jamais contents de ce qu'ils ont même quand ils ont réalisé leurs rêves, il y a toujours un truc qui ne va pas ! Le seul personnage content c'est Hachi avec son play boy, comme quoi être masochiste ça contribue au bonheur de certaines personnes qui aiment bien se faire traiter plus bas que terre ! Un jour j'ai lu un article comme quoi nana c'est du grand féminisme, que les filles se reconnaîtront à travers Hachi et nana ! C’est sûr je me reconnais parfaitement entre la punk suicidaire puis la niaise masochiste soumise et quand même bien intéressée à ses heures ! Il y a de quoi se reconnaître, tu parles...-_- en gros nana bof bof bof, personnages pas développés, trop guimauve, il y a du sexe mais c'est cucul quand même ! Des situations qui n'ont rien à envier aux feux de l'amour et autres soap opera... et des persos jamais contents ! et si encore ils parlaient de leur amour pour la musique, comme dans la corda d'oro, même pas !!! Bref je passe mon chemin, sinon c'est facile à lire, c'est pas d'un haut niveau intellectuel ! Ça reste un bon divertissement si on n'a pas autre chose ! Mais bon niveau shojo je préfère de loin un fruit basket ou un kare kano où là je vois plus de psycho ou de philosophie que dans nana ou encore du hanakimi.

23/06/2008 (modifier)

Cette série est vraiment exceptionnelle. On fait connaissance, successivement, avec Nana Komatsu puis Nana Ôsaki. L'une est naïve, très superficielle, peu concernée par son avenir professionnel, fleur bleue et très maladroite avec les hommes ; l'autre, plus mure, moins gâtée par la vie, est déterminée à réaliser son rêve : devenir chanteuse professionnelle. Elles sont donc diamétralement opposées, et pourtant, une amitié très forte va naître entre elles, et le mystère de l'explication de cette amitié est l'une des raisons de la force et de l'intérêt de ce manga. Autour d'elles, évoluent quelques seconds rôles qui vont prendre de l'épaisseur au fil des tomes et ainsi se révéler de plus en plus attachants (mention spéciale au très smart Yassan ;) ) et permettre à l'auteur de décliner toute la palette des sentiments (amour et amitié) dans leurs moindres nuances. C'est frais, sans temps mort, on alterne le rire et les larmes, ça se lit donc très facilement et avec beaucoup de plaisir, tant il est aisé de s'attacher aux différents personnages. L'histoire est soutenue par des dialogues bien sentis et des apartés souvent pleins d'humour. Le dessin est très plaisant lui aussi, les visages sont souvent d'une exquise finesse et transmettent avec subtilité les émotions des personnages, même si on a droit de temps à autre aux tics habituels du shojo (cœurs, bouches et yeux démesurés pour exprimer la colère ou la surprise, goutte de sueur, etc...). Les costumes des personnages féminins sont, quant à eux, particulièrement soignés, c'est un régal. Par contre l'aspect anorexique des personnages, déjà signalé par les autres avis, est assez pénible, mais c'est le seul vrai défaut de cette série à laquelle je suis devenue complètement accro :). En effet, déjà 13 tomes, mais j'éprouve toujours le même plaisir à retrouver les deux Nana ainsi que les membres de Blast et de Trapnest. Ce qui constitue le pouvoir d'envoûtement de Nana c'est, je crois, le rythme que confère au récit, le grand nombre de tomes et le fait que l'auteur se donne ainsi tout le temps nécessaire pour nous dévoiler par petites touches les multiples facettes de la personnalité de chaque personnage, nous faire vivre son quotidien, pas si différent du nôtre, et ainsi, installer une cohérence, une épaisseur psychologique qui nous le rend criant de vraisemblance et terriblement touchant. Bref, Nana c'est comme la vie : il faudrait que jamais ça ne finisse. Après lecture du tome 18 : Après les tomes 14, 15 et 16 j’étais assez déçue par la tournure que prenait l’histoire. En effet, celle-ci s’enlise dans des déviations futiles et inintéressantes sur l’univers des fans pré pubères hystériques de Blast et la vie plan plan de Hachiko, devenue Mme Ichinose et essentiellement préoccupée de dépenser le fric gagné par son mari. J’étais donc à deux doigts de baisser ma note. Heureusement, le tome 18 se concentre de nouveau sur le cœur de l’histoire, et donne l’occasion à chaque personnage de montrer une nouvelle facette de sa personnalité. Comme, par ailleurs, une certaine poésie traverse toute la série, et que le style graphique de Yazawa est toujours aussi fin et élégant (je lui pardonne volontiers sa tendance à abuser de photos retouchées pour certains décors) je maintiens ma note, et attends la suite avec impatience.

28/05/2006 (MAJ le 16/06/2008) (modifier)
Par xenofab00
Note: 2/5

Ce titre m’a relancé dans le vif de l’une de mes grandes questions existentielle, le grand drame de ma vie. En effet, peut-être le savez vous déjà, ou peut-être vous en fichez vous, mais je n’aime pas les shojos. C’est pourtant pas faute d’essayer de rationaliser le truc et de m’ouvrir aux titres de ce style, mais rien n’y fait. Seuls les titres du genre ayant un autre intérêt que celui lié a des caractéristiques propres au style, bref ceux qui se concentrent ne serait-ce qu’un peu sur autres chose que leur aspect shojo arrivent à capter mon attention (le très bon Please Save my Earth en tête). Manque de bol, Nana, malgré sa dite qualité intrinsèque (du moins au début), n’est pas de cette race là, mais alors pas du tout. Si l’on devait regarder ça d’un point de vue un peu caricatural, le rustre enfoui en chacun de nous dirait que c’est bien une histoire de filles, avec des problèmes de filles (parfois passablement capilotractés), réglés avec des raisonnements de filles, avec en prime des mecs qui ressemblent à des filles. D’ailleurs, en parlant du graphisme, ben c’est le couplet habituel quoi. Amateur de garçons anorexiques et sans poils, ce manga est fait pour toi ! A croire que l’auteur, comme souvent, craint le moindre petit biceps comme la peste, c’est quand même excessif. Aaah, quelle tristesse, pourquoi me suis-je essayé à ce titre apparemment bien foutu dans son genre trèèès typé, mais qui ne me convient pas du tout ? J'aurais peine à ne pas en dire de mal... Bon, je dois admettre que j’ai en outre bien apprécié le premier tome, pas extraordinaire mais très sympa et peu convenu. En considérant les deux histoires qu'il contient comme des histoires courtes, donc indépendantes du reste, c'est de la très bonne qualité. Le problème, c'est que le reste justement, c’est une autre histoire, et personnellement je n’ai pas attendu une dizaine de tomes pour me lasser. On avance, on recule, on a des états d’âme, puis on se convainc qu’on fait la décision de sa vie, pour changer d’avis l’instant d’après etc... C’est dommage, j’avais beaucoup aimé Beck, et c’est d’ailleurs ce qui m’a poussé à essayer, mais en fait je suis passé d’un shonen sur la musique un shojo sentimental (du coq à l’âne donc). L’aspect musical dans Nana est beaucoup plus accessoire que je ne l’avais imaginé. Pour les amateurs de Shojos, sinon passez votre chemin.

02/06/2008 (modifier)
Par Lilie
Note: 5/5

En grande fan de manga et d’anime j’ai pas pu passer à côté… J’avais commencé à regarder l’anime sur Internet à un rythme impressionnant: toute la journée j'enchaînais les épisodes (à ce moment là j’avais le temps, je dormais moins lol). On est vite happé par cette histoire, on ne sait plus s’en passer. Trop envie de connaître la suite. Devenue une fan j’ai acheté les premiers tomes par 3 ou 4 et je les ai vite dévorés. Maintenant après chaque tome je pleure de l’avoir fini et de devoir attendre… Une belle histoire d’amitié entre 2 filles que tout semble opposé (une amitié un peu possessive quand même). Elles ont un but commun : réussir dans la vie. Comme on se le souhaite tous. On s’identifie aux personnages et on rigole bien. On a envie de les taper parfois. Surtout Hashi qui prend des décisions importantes n’importe comment ! Elle est trop nulle ! L’autre Nana qu’on pense plus solide au début est tout aussi paumée… Au fil des tomes, de plus en plus dramatiques, on sent qu’il y a un truc louche qui se prépare… Pour les filles surtout !!! Bien que… J’avais passé mes mangas à un ami. Il a commencé à les lire en les dévorant. Mais il a ensuite fait une overdose... et il a arrêté avant la fin. Elles l’énervaient trop. lol

29/05/2008 (modifier)