Terreur
Paris, 1793. Marie Crossholz dirige le musée de cire créé par son père. Contre rétribution, des bourreaux lui permettent de mouler les visages des aristocrates que la Terreur leur a ordonné de guillotiner...
1789 - 1799 : La Révolution Française Napoléon Bonaparte Paris Révolutions françaises Signé
Paris, 1793. Marie Crossholz dirige le musée de cire créé par son père. Contre rétribution, des bourreaux lui permettent de mouler les visages des aristocrates que la Terreur leur a ordonné de guillotiner... Nombreux sont les Parisiens qu'attirent ces «têtes» de décapités. Ce qui les attire aussi, c'est une copie des joyaux de la Couronne de France mystérieusement disparus. Une nuit, ayant entendu des pas, Marie inspecte son musée et constate que la «tête» du comte de Vitray a changé de place. Soudain, elle est agressée par un homme masqué ! Le lendemain, elle reçoit la visite du commissaire Jabot qui, sans lui fournir d'explications, fouille son atelier. Quelques jours après, elle découvre dans un livre le portrait du comte de Vitray et s'aperçoit que le masque du guillotiné qu'elle a modelé, ne lui ressemble pas ! Son visiteur nocturne serait-il venu détruire la preuve d'une imposture ? Celui-ci n'est pas le seul à hanter le musée : s'y cache également un pamphlétaire recherché. Afin de le soustraire ses investigations, Marie tente d'assassiner Jabot. Capturée par des inconnus, elle devra néanmoins la vie à l'intervention de ce dernier venu les arrêter. Mais, Jabot n'est pas de ceux qui pardonnent. Emprisonnée, Marie se fait une amie d'une co-détenue, une certaine Joséphine de Beauharnais dont l'amant, le jeune général Bonaparte, fait beaucoup parler de lui. Celle-ci lui fait de très surprenantes révélations...
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Date de parution | Novembre 2002 |
Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
Dessin : 20 étoiles et encore davantage si cela était possible ... Scénario : bof ... 3/5 Voila un BD dont on s'abstiendra du scénario pour goutter, savourer, se délecter, humer, s'abattre de bonheur, devant une telle qualité graphique qui je crois n'a jamais été pareillement atteinte dans le petit univers du 9ème art. Le grand oeuvre graphique, telle une pierre philosophale, c'est ici qu'elle se trouve. René Follet s'est surpassé comme jamais. Graphiquement, on frôle les cimes. Quand d'aucuns s'essayent avec plus ou moins de bonheur (souvent moins) à une couverture à la peinture à l'huile .... ici, c'est toute la BD qui est peinte avec extrême talent, à la peinture à l'huile ; chaque case est un tableau en soi. Alors pour le conseil, ne passez pas devant se monument graphique. Pourquoi les plus grands scénaristes se contentent-t-ils de dessinateurs commerciaux souvent juste passables en comparaison des talents de ce peintre hors pair qu'est René Follet ? Et pourquoi un tel talent se voit réduit à devoir scénariser un album d'André-Paul Duchâteau .... Que le monde est bête, ou mal fait .... ou les lecteurs aveugles ?
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