Chirality - La Terre promise
Un ordinateur fou essaye de détruire l'humanité.
Gakken - Gakusha Kenkyûsha Gays et lesbiennes Yuri
Shiori, une jeune fille comme les autres essaye de survivre dans l'univers délabré par l'ordinateur GAIA... ...Elle doit lutter contre les GM, des parasites mécaniques qui prennent le contrôle des humains... ...Mais heureusement une partie de GAIA voulant sauver la Terre envoie Carol, une super androïde, pour aider l'Humanité.
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Date de parution | Avril 1998 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
2.5 J'ai lu cette série parce que je voulais savoir ce que cela donnait un Yuri dans un environnement de science-fiction. J'ai eu ma réponse facilement juste en lisant le premier tome (et j'ai lu les trois tomes et je peux dire que le dernier est plus hot avec deux, trois scènes de sexes). En gros, lorsqu'il y avait des filles nues j'aimais bien car l'auteur sait très bien les dessiner et je trouvais la relation entre les deux lesbiennes mignonne même si leurs relations semblent surtout prétextes à des scènes racoleuses pour le public masculin. Malheureusement, tout le côté science-fiction de l'histoire m'a ennuyé. Le problème c'est qu'au lieu de faire un scénario de série B sympathique, l'auteur se prend trop au sérieux. On dirait qu'il a honte que son histoire soit remplie de fan service alors il essaie de faire un truc sérieux pour montrer que son histoire est plus profonde qu'elle en a l'air, mais ça donne des scènes chiantes. J'ai un peu eu de la difficulté à choisir entre 2 et 3 étoiles et finalement je choisis 2 car je n'aime pas la majorité des scènes.
Historiquement, voici le tout premier manga que j’ai acheté, bien des années avant de ne me remettre plus « sérieusement » à ce genre graphique venu du lointain orient... Bien que le manga (en tant que genre) était déjà assez florissant, je me sentais franchement peu attiré par un genre en petit format et noir & blanc. Mais j’avais lu une critique plutôt intéressante du premier tome, qui me promettait histoire de science-fiction, et héroïnes dénudées dans un univers post-apocalyptique façon Mad Max revisité. J’ai donc acheté le premier tome, un peu dubitatif, et je dois reconnaître que pour les héroïnes dénudées (c’était l’essence même de mon achat) j’ai été servi. Urushihara les dessine fort bien. Pour ce qui est de l’histoire, par contre... C’est, comment dire... Si encore il s’agissait véritablement d’un vague prétexte pour dénuder d’accortes jeunes femmes, cela pourrait sans doute passer dans le registre de « sympatoche série B ou Z ». Mais non, tout comme Toshiki Yui ou Utatane, Satoshi Urushihara essaye sérieusement de bâtir un scénario à la jonction de la science-fiction, de l’érotisme, et du bizarre surfant malhabilement sur le thème alors en vogue du cyber-punk... Mais comme, pas plus que ses deux acolytes de l’hentai reconvertis, Urushihara ne maîtrise réellement la narration et l’imagination, ne surnage de l’ensemble que le bizarre. Un bizarre doté d’un vague relent de malsain, qui ne peut prétendre cependant le moins du monde à la « provocation ». Non, juste malsain, et un peu racoleur... Juste un peu, oui, car il n’y a pas non plus de quoi casser huit pattes à un canard. Ses héroïnes dénudées étant cependant fort attrayantes (à défaut du reste), j’ai donc acheté le second tome, toujours très convaincant concernant la vénusté féminine, et au scénario de plus en plus prétexte à exhiber des poitrines alléchantes, et des filles qui se pelotent. De ce point de vue, le minimum syndical était assuré. Puis, le troisième tome est paru, et j’ai lu qu’il serait placé sous cellophane, vu le caractère un peu trop hot de l’histoire (enfin, quand je dis « histoire », vous m’avez compris : je dis juste « images qui se succèdent »). Et ce troisième tome, je vais vous surprendre, mais... je ne l’ai pas acheté. Nan, nan, nan. Je ne suis pas non plus accro au cellophane. Je n’en sniffe pas toutes les nuits. Je suis un brave bourgeois, moi. Quand cela devient trop sulfureux, je m’esquive vite fait histoire de préserver ma réputation, et je ne passe pas aux caisses avec un machin sous cellophane, qui vous signale à l’attention avide des autres clients comme un grand et gros pervers. Bref, trêve de plaisanteries : j’avais découvert le style d’Urushihara, je m’étais bien rincé l’œil, mais vu la nullité de l’histoire je n’ai pas jugé bon de découvrir la fin d’un titre qui n’était qu’un prétexte à exhibition.
Tout d'abord, c'est un manga de Urushihara donc attendez-vous à voir beaucoup de paires de seins (à ne donc pas mettre entre toute les mains).Mais Urushihara cela signifie aussi de superbes dessins très clairs et très fins. L'histoire est pas mal mais quand même un peu fouillie parfois: c'est donc Shiori et Carol qui vont tenter de sauver la Terre en détruisant GAIA.Mais malheureusement celui-ci a créé un autre être comme Carol mais en méchant: Adam. Il ya donc beaucoup de combats et là c'est dommage, l'auteur fait ressortir son sexisme: Carol se transforme en homme lorsqu'elle est vraiment en difficultés alors qu'elle pourrait faire grossir ses muscles (un peu débile quand même). Il y a aussi des scènes torrides de lesbiennes car Carol et Shiori sont amoureuses (c'est bien le style de Urushihara de mélanger univers apocalyptique et érotisme....faut aimer). En résumé c'est un manga un peu spécial qui casse pas la barraque mais qui est quand même assez intéressant.
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