Carbone & Silicium
Nouvelle fresque SF de Mathieu Bablet, Carbon & Silicium est l'histoire de deux IA en quête de sens dans un monde dégradé par l'humanité.
Ankama Anticipation BD à offrir Label 619 Les intelligences artificielles (I.A.) Les prix lecteurs BDTheque 2020 One-shots, le best-of Robots Science-Fiction, le best-of
Carbone et Silicium sont les derniers-nés des laboratoires Tomorrow Foundation. Noriko, scientifique chargée du projet, leur explique pourquoi ils ont été créés : ils sont les prototypes d’une nouvelle génération de robots destinée à prendre soin de la population humaine vieillissante. Issus d’une même entité, scindée en deux individus distincts, ils sont les premiers représentants d’une gamme d’androïdes aux capacités décuplées par les progrès de la recherche en intelligence artificielle. Élevés dans le cocon protecteur du laboratoire qui les a conçus, avides de découvrir le monde extérieur, c’est lors d’une tentative d’évasion qu’ils seront séparés. Ils mèneront alors chacun leurs propres expériences, devenant, pendant près de trois siècles, les observateurs plus ou moins distanciés d’une humanité à bout de souffle, incapable de faire face aux désastres écologiques, politiques, économiques et sociaux qu’elle a elle-même engendrés. Face à ce monde sur le déclin, Carbone et Silicium vont-ils parvenir à trouver leur place ?
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Date de parution | 28 Août 2020 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Malheureusement, après tant d'avis élogieux, je m'attendais évidemment à mieux. L'auteur arrive à créer un monde et des personnages crédibles et attachants. Plus on lit et plus on rentre dans l'histoire et plus on attend le dénouement final. Et puis le dessin retranscrit très bien ce monde. Ma déception vient de la manière dont le thème de l'IA comme une nouvelle forme d'humanité nous est présentée. Je n'y ai pas cru une seule seconde. Il y a trop de raccourcis simplificateurs. Ce que je comprends car cela reviendrait à définir ce qu'est un humain... pas facile d'illustrer ce type de thème dans une BD d'aventure. J'ai donc lu cette histoire en considérant inconsciemment Carbone et silicium comme des humains un peu différents, et là ça passe.
Je m’attendais à autre chose et je sors un poil déçue de ma lecture. La première partie m’a bien intéressée. L’oeuvre de cette scientifique et la « naissance » de ces intelligences artificielles, la façon dont elles se nourrissent des données dont on les abreuve et les réactions que provoquent ces informations dans leurs neurones artificiels sont plutôt bien rendues, et lorgnent clairement vers Asimov. La personne elle-même de cette spécialiste n’est pas sans rappeler aussi celle d’Asimov si ma mémoire (plus proche du poisson rouge que de l’IA) est bonne. Elle est intéressante et on voit le rapport privilégié qu’elle établit avec ses créatures, à la fois au détriment de sa famille, et aussi le rapport inégal qu’elle entretient avec les deux IA. Presque comme deux enfants qu’on croit élever de la même façon, et qui finalement sont nourris d’expériences affectives différentes. On s’approche des sensibilités humaines en ne voyant pas que des données factuelles. Et ces deux IA, afin de parfaire leur éducation, se voient dotés de corps quasi humains pour parcourir le monde. Si le début de leurs aventures hors labo est encore dans la même lignée, je suis dubitative sur la tournure que prend l’histoire par la suite. Ils sont censés devenir quoi ? Des presque-humains, pensant et ressentant comme des humains, pour recréer des réactions humaines à des stimulus ? Mais c’est bâtard comme expérience. Comment penser humain quand on perçoit les odeurs (c’est précisé) mais qu’on n’a aucun besoin de nourriture ni de sommeil (ni de sexe d’ailleurs, quoique...), sensations dont le manque est si proche de la perception de la douleur, à priori aussi étrangère à nos deux comparses. À moins que ne n’aie rien compris… Pour la suite, et leurs parcours individuels sur le très long terme, ben, comment dire, j’ai presque eu l’impression de suivre deux sales gosses, un peu égoïstes (qualité bien humaine celle-là, je vous l’accorde !), un peu adeptes des paradis artificiels (un comble pour quelqu’un qui ne bouffe pas, il ne peut même pas essayer le chocolat) et dont j’ai fini par me désintéresser peu à peu. Quant à l’arrière plan de l’évolution de la planète au fil du temps, oui, ça garde un certain intérêt, je le reconnais. Reste le dessin. Spécial. Je ne le trouve pas beau, les personnages surtout, mais était-ce le but de produire un beau dessin ? En tout cas, il ne manque effectivement pas de personnalité, même si ce n’est pas à mon goût. J’avais acheté ce volume pour offrir à une jeune amatrice de sf post-apo, j’aurais dû l’emprunter en bibli avant. J’ai du mal à offrir un ouvrage pour lequel je ne suis pas convaincue. Je vais le garder pour une relecture, un jour, plus tard, quand j’aurai le temps… peut-être que je comprendrai mieux. Entre 2 et 3 étoiles. Va pour 3, la première partie est pas mal, laissons leur une chance.
(Coucou, ça va spoiler un peu / beaucoup.. vous êtes prévenus). Alors tout d'abord, je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée de laisser quelques mots ici après avoir fini la lecture il n'y a que 24h. Pour rentrer directement dans le vif du sujet, ce C&S est la quintessence de SF que j'aime. Alors oui, Bablet emprunte des routes scénaristiques connues, mais de mon côté j'étais persuadé que l'un des 2 protagonistes allait e rebeller de manière plus agressive vis à vis du système et des hommes. Ici Bablet est sur un autre créneau, celui de la préservation et du respect des droits. On y retrouve d'ailleurs quelques clins d'œil à certaines situations que l'on pourrait qualifier de "woke" en 2022. J'ai trouvé ces cent premières pages parfaites. La relation avec la scientifique, le fait qu'elle même se coupe de son monde (celui des humains, avec ce mari qui à juste titre sent la dérive de sa femme) au profit de son "œuvre" jusqu'à sa mort exclusivement corporelle était pour moi une étape tellement forte que je me suis demandé ce qu'allait pouvoir nous proposer la BD ensuite. Je me suis senti un peu comme dans ces rares séries qui arrivent à m'emporter d'épisodes en épisodes sans forcément tout mettre dans les 90 dernières secondes. Alors oui cet "après" pourra paraitre long à chacun... mais cela a pour but de renforcer la connexion entre les 2 protagonistes. Là encore Bablet m'a agréablement surpris à ne pas tomber dans la facilité du déjà-fait / déja-vu et à faire des bonds temporels exponentiels. L'œuvre est condensée en 250 ans (soit 17/18 vies de chat ;)) et cela rend encore plus impactantes les "évolutions" humaines et leurs interconnexions avec les machines, jusqu'à ne faire plus qu'un. J'ai retrouvé un souffle d'Asimov mais aussi de K. Dick et de son adaptation la plus connue dans ces pages, les thèmes de la durée de vie et donc de la survie lorsque l'on a la "connaissance" de l'amour, mais aussi de la vision complexe du progrès et de la déliquescence technologique des corps mais également des esprits. Chose assez rare me concernant, j'ai noté bon nombre de phrases que j'ai réellement trouvées magnifiques, sans tomber dans le pathos ou la leçon de morale. Je finirai cet avis décousu sur les dessins. J'ai vu quelques avis négatifs sur ce point et je les comprends. Le parti pris ici n'est pas de faire une nouvelle œuvre de SF-sombre. Bablet utilise parfaitement toute la palette graphique (certaines utilisations des couleurs m'ont fait penser au traitement de Villeneuve dans Blade Runner 2) mise à disposition. Ce n'est certes pas mon trait de crayon de prédilection, mais le principal (les expressions, les volumes, les modifications, les ambiances...) est présent. Pour finir, clairement Bablet a réalisé une œuvre qui restera en haute place dans ma bédéthèque, et que je reprendrais plaisir à lire sous un olivier (ah non zut, on en a pas beaucoup en Picardie).
Eh bien ! Moi qui ne lit que très (très) peu de SF, là, c'est un coup de maître. J'ai fini par acheter cette bd après de très nombreux conseils de mon libraire, d'amis, etc. J'ai donc mis la main sur ce beau livre et je ne l'ai pas regretté. Tout d'abord, il faut bien le dire, cette bande dessinée est magnifique. La couverture en jette, le format imposant en jette et les dessins en jettent. Le style est assez esthétique et les humains et robots sont assez beaux. Inutile de dire que c'est aussi le cas pour les décors, les paysages, les machines etc qui fourmillent de détails. J'ai aussi beaucoup aimé la colorisation un peu terne qui, si elle peut par moment gêner un peu la lecture, car c'est assez sombre et peu lumineux, rend superbement bien l'atmosphère apocalyptique du récit. Je découvre le style de Bablet sur cette bd et il a tout pour me plaire : il est particulier et donc reconnaissable, et me plait esthétiquement. Les personnages ont cette allure particulière qui les rend dégingandés, et j'aime bien. Autre bon point sur la couleur, j'ai beaucoup aimé ce choix-là qui rend bien l'atmosphère poussiéreuse et un peu apocalyptique de ce monde. Bref, gros coup de cœur graphique. J'ai aussi apprécié l'histoire, pas forcément le côté robot pur, mais plutôt les questions posées derrière, sur la liberté, la soif de découverte, la soif de survie des deux héros robots, chacun à leur manière. Le côté traversée des temps et des âges est aussi intéressant et sympa à voir, on a envie de savoir comment l'humanité évolue et quels seront les modes de vie et enjeux à chaque époque. Bablet nous propose une ballade très intéressante à travers les âges, sur le dos des deux protagonistes, qui restent les témoins de leurs époques, et un peu plus que ça. J'ai beaucoup aimé ce livre qui m'a donné envie de découvrir l'œuvre de son auteur, ce que je ne manquerai pas de faire.
Bablet affine son style maintenant bien reconaissable, au niveau du dessin (si vous n'aimez pas l'aspect des personnages, il va falloir vous y faire car la triangulation est partie pour durer) et des thèmes traités: la décadence de l'humanité et la place de la technologie régissant notre quotidien. Belle idée de suivre l'évolution de notre monde dans le temps long à travers 2 IA ne s'éteignant jamais, spectateurs conscients. Oui mais contrairement à ce qu'on attend de solides IA comme elles, leur courbe d'apprentissage patine parfois pendant de longues décennies, se laissant aller à des petites chamailleries alors qu'il y aurait tant de choses à découvrir autour d'eux. Bref c'est un peu rageant de constater que le potentiel est énorme, que l'auteur est capable de l'exploiter mais ne l'a pas fait. Les séquences se déroulant dans le Réseau sont magnifiques d'éclat architectural et d'étherisation. Un bel album se relisant très bien mais qui aurait mérité à être plus court.
Ce n’est pas la claque que j’attendais mais ça reste un sacré bon album. Après Shangri-La, Mathieu Bablet récidive dans la sf, on retrouve quelques éléments communs, notamment sur le futur de l’humanité, une vision assez pessimiste, mais cette fois l’histoire se développe autour de 2 IA traversant les siècles. C’est toujours hyperfluide mais les thématiques développées m’ont moins touché (pas très fan dès que ça parle intelligence artificielle), et j’ai trouvé quelques longueurs dans la 2ème moitié. Reste que j’en suis venu à bout et que ces petits points négatifs n’ont pas entaché mon plaisir de lecture. Au dessin, on retrouve la patte de l’auteur qui me plaît beaucoup. Les couleurs sont toujours aussi magnifiques, une narration fluide et maîtrisée. Les vues de l’espace m’ont un peu manqué mais l’auteur propose de chouettes environnements, le chapitre « waterworld » est magnifique. Un peu moins emballé que sa précédente œuvre mais c’est du solide que je ne peux que conseiller.
Carbone et Silicium. Le nom évoque directement pour les fans de science-fiction les sociétés C/Si d'Asimov dans son cycle des robots : et pour cause, l'auteur (Bablet) nous propose une réflexion dans cet héritage direct de notre rapport aux I.A (c'est le nom à la mode pour parler de robots) mais aussi de leur rapport à nous. L'oeuvre dépeint la décadence de l'humanité sur plusieurs siècles à travers les yeux de deux I.A. Les thèmes abordés le sont - à mon sens - avec plus de subtilité que dans Shangri-La et l'ensemble est d'une grande cohérence. La narration volontairement espacée sur des durées de temps très longues et les décors aux perspectives très fortes - Bablet dessine principalement à la règle - donne à l'ensemble un récit contemplatif dont la lecture m'a laissé très rêveur.
Ca faisait un moment que je voulais lire cette BD car tant son graphisme que son sujet m'intéressaient. Je suis amateur de science-fiction et j'aime beaucoup les histoires mettant en scène les interactions entre les humains et des intelligences artificielles, à condition évidemment que celles-ci ne tournent pas au banal conflit façon Terminator. J'ai une vraie curiosité scientifique sur le sujet comme pour tout échange entre l'humanité et une intelligence étrangère. Ici, nous avons droit à un bel album : grand format cartonné, belle couverture, dos toilé, et des planches qui ne déméritent pas du tout. Le dessin est beau et soigné. J'aime beaucoup ses décors, ainsi que la représentation du Réseau et son choix de couleurs. Malgré toutes ces qualités, je dois avouer avoir été moins enthousiasmé que je l'espérais. La faute à une intrigue qui tire trop en longueurs. Certes l'idée de voir comment les deux IA évoluent en même temps que l'humanité périclite est intéressante, et ça permet d'avoir une vision du futur de l'humanité, même si celle-ci est ici bien sombre et pessimiste. Mais c'est long, trop long. Je comprends que l'auteur ait voulu présenter de nombreux points d'étape pour montrer comment les choses changeaient à chaque fois, mais j'ai trouvé que ça devenait vite redondant, répétitif. Sur le plan narratif, j'aurais fait largement plus de coupes pour aller à l'essentiel car en l'état, je me suis presque ennuyé à plusieurs moments. Et puis, plusieurs aspects de l'intrigue m'ont paru un peu bancals, ou difficilement compréhensibles, comme la manière dont l'une des IA est aussi facilement capable de se réincarner dans un nouveau corps malgré le déclin du monde civilisé, et de manière générale comment le Réseau reste actif et fonctionnel alors que la civilisation semble s'être écroulée, et notamment sans électricité a priori. Du coup, c'est un bel album, avec pas mal de bonnes idées, mais je ne suis pas vraiment sous le charme.
Carbone et Silicium ? L'évolution, enfin plutôt la déchéance, de notre monde vu par 2 intelligences artificielles. La première moitié m'a vraiment bien plu. C'est bien raconté, au travers de leur vision on a un tableau bien pessimiste de l'avenir de notre société, et de notre planète. La critique de notre monde ultra connecté et la catastrophe écologique qui nous attend appuie bien là ou ça fait mal. Chapitres après chapitres, nos semblables continuent de creuser. Tout ça est mêlé avec la vie de nos 2 robots et cela se combine fort bien. Comment ils évoluent au milieu de tout ça, comment ils se forgent leur propre libre arbitre. Même si c'est pas novateur c'est efficace. Il y a quelques péripéties qui agrémentent bien tout ça, comme la fugue de l'un des deux, ou la date limite de leur existence qui approche. C'est dynamique. J'ai trouvé des longueurs dans la deuxième moitié qui a du mal à se renouveler. Les chapitres se succèdent et se ressemblent. On va toujours plus loin dans le futur, on va toujours de plus en plus mal, mais il ne se passe pas toujours grand chose. Exemple : Accra an 211. Pendant 5 pages nos 2 robots se disputent car comme depuis 3 chapitres ils sont en désaccord sur l'issue de tout ça. Puis pendant 5 pages l'un des deux recharge sa batterie en contemplant une famille. Aucun intérêt objectivement. C'est un peu dommage que cette deuxième moitié soit plus molle, et vire un peu trop dans la philosophie. C'est moins dynamique. Graphiquement c'est pas mal, et il y a quelques cases magnifiques. Comme par exemple ce chapitre où ils sont posés sur un immeuble ravagé. Il y a de l'eau qui monte jusqu'au 3e étage, et autour d'eux, des baleines errent dans les rues submergées. Magnifique. Au final un bel album que je suis content d'avoir lu.
Je ne suis pas facilement adepte du genre science-fiction, alors j'ajoute un coup de cœur à Carbone & Silicium pour avoir réussi à me transporter du début à la fin. On démarre en 2045 (an 0 pour l'ère humanoïde), année où l'être humain met en route ses premiers robots à l'intelligence artificielle surdéveloppée. Leur fonction cérébrale est aussi dotée d'un "esprit" aussi complexe et contradictoire que celui de leur créateur, dans laquelle les émotions individuelles et les désirs primaires font face à la culture, la raison et l'éthique. Deux humanoïdes identiques, une femme (Carbone) et un homme (Silicium), prennent vie dans les labos de la Tomorrow Foundation, entreprise où l'ambition des scientifiques entre en conflit avec la perspective des investisseurs capitalistes, eux-mêmes menacés par le concurrent chinois Mekatronic. Puis, on découvre non sans horreur l'évolution de la civilisation sur près de 300 ans et à travers le regard de ces 2 personnages, interconnectés et non dénués de sentiment entre eux. Ce que j'apprécie particulièrement, c'est la facilité à laquelle on peut avancer d'une époque à une autre et d'un lieu à un autre (préparez vous à faire le tour du monde) sans jamais nous donner une impression de précipitation. Bien au contraire, la notion d'intemporalité est bigrement présente. Cela se traduit par le mutisme des scènes, la contemplation de l'environnement, la réflexion et le fait bien sûr d'avoir deux personnages capables de traverser les âges. Possédant le savoir de l'Humanité et aptes à ressentir les mêmes émotions que nous, ils portent un regard extérieur sur cette anthropocène tout en cherchant à comprendre les motivations de leur propre existence. C'est une dystopie où les 2 héros cherchent espoir, beauté et idéal au milieu de ce chaos. En soi, l'avenir présenté n'est pas beau à voir du tout. Mais malgré tout, on peut continuer à y croire jusqu'au bout (et la fin vaut le détour, l'épilogue met un très beau point final au récit). En parlant de beauté: graphiquement, le dessin est franchement époustouflant. Ça ne laisse pas indifférent et certains pourraient être rebutés par la déformation des corps (humains ou pas). Moi-même bousculé au début, je m'y suis fait très rapidement. Les paysages sont saisissants et parfois vraiment à couper le souffle. Les scènes dans la "matrice" sont incroyables de beauté, où les esprits flottent dans l'air au milieu de cet environnement doré. Vraiment fabuleux. A vrai dire, je n'ai pas vraiment de défauts à lui donner, à part le fait que certains passages m'ont plus intéressés que d'autres certainement. Mais c'est le genre de bouquin où une nouvelle lecture me permet de l'apprécier autrement... Préface et Postface très intéressantes, bref il y a trop de choses à dire et cet ensemble donne envie d'écrire un avis qui dépasserait le nombre de caractères maximum autorisé :). Cette histoire mérite sa réussite commerciale et elle peut faire aimer la Science-Fiction à ceux qui y sont a priori réticents. C'est aussi à lire plusieurs fois pour tirer toutes les pensées qui s'en dégagent, alors pourquoi pas le garder chez soi ?
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