Divine vengeance

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Sur fond de guerre d'Espagne et de l'invasion de la Russie une ancienne bonne sœur s'y trouve mêlée


1939 - 1945 : La Seconde Guerre Mondiale Auteurs espagnols Editions du Long Bec La Guerre civile espagnole Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis

En cette année 1936 la guerre civile espagnole débute. A Barcelone une bonne sœur ce fait violer par des partisans communistes républicains. Elle n'aura de cesse de se venger et pour ce faire elle se travestit en homme et s'engage dans la phalange de Primo de Rivera qui part combattre les russes aux côtés des Allemands.

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 22 Mai 2019
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Divine vengeance © Editions du Long Bec 2019
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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29/10/2020 | sloane
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Par sloane
Note: 2/5
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Voilà un one-shot plutôt glauque et surtout avec une narration assez décousue. Au scénario Hernan Migoya et au dessin, Bernardo Munoz et Diego Olmos. Ils nous délivrent une vision très torturée de la guerre civile espagnole. Cette tragédie commence par le viol d'une bonne sœur qui après avoir erré dans les rues va trouver l'occasion de se venger en s'engageant dans l'armée en se faisant passer pour un homme. Le début de l'histoire est assez glauque avec ce viol, la chute de la statue du Christ et la présence d'un bébé mort-né. Le dessin n'est pas fabuleux avec des visages assez inexpressifs, comme lisses. Ce qui avant tout pose problème c'est la narration, ainsi notre héroïne se retrouve avec un œil crevé (par qui? pourquoi?). De même quid de sa transformation en homme, si ça ce n'est pas de l'ellipse. Facilité également, comment l'héroïne devenue héros fait-il pour retrouver ses anciens violeurs en plein milieu de la campagne de Russie par les Allemands? Peut-être le format de 58 pages est-il trop court et réducteur pour cette histoire qui aurait mérité plus de s'appesantir sur certains aspects à mon sens essentiels. Habituellement les Éditions du long bec sont gages de qualité, ici ce n'est pas le cas d'où la sévérité de ma note. Heureusement une BD acheté d'occasion.

29/10/2020 (modifier)