I'll - Generation Basket

Note: 3.71/5
(3.71/5 pour 7 avis)

Le quotidien d'un groupe de lycéens passionnée de basket. Chroniques réalistes de l'adolescence… Les rêves, les amours, l'apprentissage de la vie…


Basket-ball Le meilleur du Manga Shonen Shueisha Sport Tonkam

Akane Tashibana et Hitonari Hiiragi sont deux jeunes prodiges du basket. Mais, à leur sortie du collège, tous deux semblent décidés à abandonner leur passion. Akane, indépendant, instinctif, ne pratique le basket que pour s'amuser, et refuse de se plier à la discipline stricte qu'exige la compétition. Hitonari, fils d'un entraîneur réputé et frère d'une star montante du basket, veut échapper à l'itinéraire pré-tracé que lui a concocté sa famille. Mais leur rencontre explosive, et la présence de Kyoko Minefuji, une jeune entraîneur aux méthodes atypiques, va changer leur vie.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 15 Juin 1999
Statut histoire Série terminée 14 tomes parus

Couverture de la série I'll - Generation Basket © Tonkam 1999
Les notes
Note: 3.71/5
(3.71/5 pour 7 avis)
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06/03/2003 | Perle
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Par ArzaK
Note: 1/5

Les histoires basées sur un sport, j’ai toujours trouvé cela assez inintéressant. Michel Vaillant, Eric Castel, Olive et Tom et tout le tralala, très peu pour moi. Raconter un match de foot ou une course de formule 1 fictive, c’est assez facile, parce que c’est d’emblée narratif. En plus c’est souvent moins passionnant qu’un vrai match ou qu’une vraie course. Et puis, c’est généralement basé sur des enjeux narratifs assez c***, des retournements de situation prévisibles et gros comme des camions, et des morales faciles du genre « quand on veut, on peut ! ». Ce « i’ll génération basket » n’échappe pas à la règle. Les deux premiers tomes que j’ai lus sont concentrés exclusivement sur le basket. Les ¾ du deuxième tome ne concerne qu’un seul match. Et pendant ce match, le découpage n’est franchement pas facile à suivre, et il est souvent difficile d’attribuer les paroles aux personnages (est-ce un problème d’adaptation ?). Toute cette confusion rend la lecture assez déplaisante. Les longues conversations et les monologues intérieurs en plein match frisent souvent le ridicule, j’avais plus vu ça depuis les chevaliers du zodiaque. La psychanalyse de terrain de basket, ça me gonfle. A part le basket, y’a pas grand chose d’autre dans ces deux tomes, juste l’histoire de deux gamins prétentieux et caractériels (le genre de gars que je pouvais pas sentir à l’école), qui déclenchent des bagarres à coup de « Ta tête ne me revient pas du tout ». Le dessin n’est pas laid mais met en scène les chose de manière très factice, dans chaque case on dirait que les personnages prennent des poses de magazine de mode. Franchement, je ne conseille même pas cette série au fan de basket, autant se payer un abonnement à une chaîne qui diffuse les matchs de la NBA.

13/03/2003 (modifier)