Cyber Idol Mink

Un incontournable de la production la plus raffinée du pays du Soleil Levant. Dans ce véritable traité de philosophie contemplative à l’usage d’un monde en désarroi... Que tout fan d’intellectitude se devrait de posséder... Ah, oups, oups, oups... S’cusez la méprise. J’étais parti sur un autre titre. Ousque donc : Cyber Idol Mink. Eh ben, moi, j’en ai lu les six tomes ! Eh ouais ! Qui dit mieux ? Sept ? Nan, je blague, hi hi hi, y’en a pas sept. Y’en a que six ! Oh, oh, oh, trop grave drôle mon humour, nan ? C’est dingue, n’empêche, comme on peut régresser en lisant de tels titres. À la différence d’autres critiques, je ne trouve pas Cyber Idol Mink nul et à jeter. C’est divertissant, mignon comme du shojo rose bonbon sucré. Les méchants ne sont pas vraiment méchants. Les gentils, très gentils. C’est reposant, fiou... Soit dit sans ironie aucune. Par contre, il est aussi vrai que ce titre souffre de défauts quasi rédhibitoires, qui se résument en fait à ses graphismes, et à des textes qui nécessitent une loupe, du fait du format. Or donc, en effet, tous les visages se ressemblent. On parvient à distinguer un peu les gars grâce à des lunettes ou des couleurs de cheveux différentes (entre blanc et noir), du fait principalement que, des gars, il n’y en a que deux ou trois. Mais, des filles, il y a au moins quatre ou cinq, et c’est là que le bât blesse. Dès lors qu’elles sont toutes blondes (blanches, dans un titre N&B), on ne peut les distinguer que par la coiffure. Oh la la, eh mince alors ! Je lis pas ce genre de manga pour me torturer les neurones à essayer de distinguer l’héroïne et sa grande rivale selon les torsades de leurs couettes... Sinon, à découvrir uniquement si on est fan hard-core du genre, ou par souci culturel, car ce titre doit être assez représentatif de tout un pan de la production shojo version magical girl.

12/06/2007 (modifier)

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La première chose que j'ai eu envie de dire après avoir lu le tome 1 : "..." (!) Je n'ai jamais (mais vraiment jamais !) rien lu d'aussi BORDELIQUE !!! Il y a au moins 5 polices d'écriture différentes, un découpage atroce, des cases si petites qu'il faut une loupe pour les lire, une pagination qui fait un peu porcherie...c'est un carnage !!! Et puis le contenu...Si je vous dis que c'est du grand et beau Soleil, vous vous faites une idée ??? L'histoire est crétine, sorte de modernisation de Creamy ou Emy Magique ou tous ces dessins animés des 80's ou les petites filles se transformaient en super stars grace à un poudrier ou à un manche à balai ailé...Sauf que technologie oblige, il est ici question d'un CD-Rom du futur, qui transforme la collégienne par l'intermédiaire d'un portable hight tech (avec la couleur, je suis sure qu'il serait rose à paillettes...) en Mink, clone nippon d'Alizée... Evidemment la prude et timide collégienne partage ce secret avec ses deux meilleures amies et surtout elles ne doivent en parler à personne !!! Le robot qui sort du portable les a prévenues : elles seraient effacées !!! Et tout se complique quand la jeune fille tombe amoureuse du frère de son amie qui est (à 15 ans...) le manager de la jolie Mink pour qui il éprouve un doux sentiment sans savoir qu'il s'agit de la banale collégienne qu'il cotoit tous les jours... Les dessins suivent la tendance, ils sont atroces...on confond allegrement tous les personnages (et pourtant il n'y a que deux héros masculins, c'était pas dur d'arriver à dessiner deux tetes différentes, et ben faut croire que si...), et la disproportion de leur tete est un truc qui m'agace profondement...Bref, c'est moche... Et voilà donc un manga Soleil...bien bien bien...chers amis, je vais de ce pas aller me prosterner devant ma pile de Nana...et bruler un cierge sur mes Agharta...

17/03/2003 (modifier)

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Autant j'arrive à lire avec plaisir des BD pour gosses comme Yakari ou Sac à puces, autant là ça passe vraiment pas du tout. Ce manga ravira néanmoins peut etre les élèves de primaire et début collège... Quant à moi je trouve l'histoire complètement niaise et ultra prévisible, l'héroïne n'a aucune personnalitée et l'univers dans lequel baigne Minku est à cent lieu de la réalité : tout le monde y est 10 fois trop gentil et ses amies ne ressentent pas une once de jalousie (ce qui vu les circonstances est humainement impossible). Bref je n'ai pas du tout aimé ce manga de Soleil.

14/03/2003 (modifier)

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