Lady McLeod
Lady McLeod est une fiction basée autour de la véritable histoire et la personnalité ambiguë de Margaretha Geertruida Zelle McLeod, plus connue sous le nom de Mata Hari...
1900 - 1913 : Du début du XXe siècle aux prémices de la première guerre mondiale Auteurs espagnols Jean-Blaise Djian Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis
Lady McLeod est une fiction basée autour de la véritable histoire et la personnalité ambiguë de Margaretha Geertruida Zelle McLeod, plus connue sous le nom de Mata Hari. Dans la réalité, cette fabulatrice revenue d’un séjour à Java avec quelques pratiques folkloriques dans ses bagages, connut une gloire aussi grandiose qu’éphémère comme danseuse exotique. Vivant au-dessus de ses moyens, à l’approche de la Grande Guerre, elle tenta une carrière d’espionne, jouant de ses relations mondaines pour agir comme un agent double ; activité qui lui sera fatale fin 1917.
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Date de parution | Février 2016 |
Statut histoire | Une histoire par tome 2 tomes parus |
Les avis
J’ai acheté le premier tome intitulé « L’inconnue de Java » de « Lady McLeod » à la vue de la belle couverture et du bon coup de crayon de Sergio Alcala. En dehors du contexte parisien de début du XXième siècle, je n’avais aucune idée de ce que j’allais découvrir en lisant cet album. Il s’avère finalement que cette série relate les aventures de Mata-Hari et en l’occurrence, dans cet épisode, sa venue à Paris pour sa première représentation en tant que danseuse orientale. Ça se passe au musée Guimet et un meurtre s’y est déroulée juste après le spectacle… Je ne sais pas si « Lady McLeod » raconte vraiment les péripéties de façon réaliste la vie de Mata-Hari mais toujours est-il que je n’ai pas été convaincu par ce premier épisode… La faute principalement à une mise en page et un découpage des scènes laborieux, j’ai dû à maintes fois revenir en arrière pour bien comprendre ce qui se passait. De même, je n’ai pas saisi l’utilité de certaines cases. C’est d’autant plus dommage car j’aime le trait de Sergio Alcala et la mise en couleurs m’est apparu bonne. Quant au récit en lui-même, c’est assez curieux que Mata-Hari ne soit pas réellement mise en valeur. C’est d’ailleurs un autre personnage qui tient le haut de l’affiche mais il n’y a pas à franchement dit de protagonistes qui soient vraiment attachants. Le rebondissement en fin d’album, je ne l’attendais pas du tout et ça arrive trop brusquement à mon goût. N’étant pas du tout fan de récits fantastiques, je n’ai donc pas apprécié l’intégration d’une historiette ésotérique et d’un « personnage » dans cette aventure… Bon, après, je vous laisse juge… Finalement, « L’inconnue de Java » est un premier tome qui ne m’a pas séduit. La faute principalement à un récit -à mon avis- mal construit. Sans ce défaut, je pense qu’on aurait eu entre nos mains, une aventure attachante car le coup de crayon de Sergio Alcala m’est apparu intéressant. En l’état, je ne me procurerai pas le prochain tome mais un emprunt, pourquoi pas pour voir si la narration est meilleure et si Mata-Hari parvient enfin à me « saisir »…
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