Cobra - The space pirate (Space adventure Cobra)
Cobra, le manga le plus kitsch des BD en provenance du pays du soleil levant ! :D
Génération Albator Le meilleur du Manga Les petits éditeurs indépendants Shonen Shueisha
Dimanche... Johnson, un jeune homme apparemment sans histoire, est reveillé par son robot domestique. S'ennuyant à mourir, il suit le conseil de son robot et part s'offrir un rêve virtuel dans une "maison des rêves". Seulement voilà, au lieu de faire un rêve banal avec de jolies filles, il rêve qu'il est Cobra, le célèbre pirate de l'espace, et qu'il combat sans relâche la Guilde des Pirates, grâce notamment à la terrible arme qu'il possède : un psychogun dans son bras gauche. Plus tard, en rentrant chez lui, Johnson rencontre Long John, un des pirates dont il a rêvé peu de temps avant. Et inconsciemment, alors que ce dernier s'apprête à le tuer, Johnson tire instinctivement avec son bras gauche ! Et tout lui reviendra alors en mémoire ! Il est bien Cobra ! Mais du coup, les Pirates de l'Espace retrouvent sa trace. Plusieurs d'entres eux l'attendent chez lui, mais il n'est pas seul : Lady (Armanoïde), sa fidèle partenaire, est là aussi, et l'aide à se débarasser d'eux... Histoire tirée du site officiel de la série.
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Date de parution | Avril 1998 |
Statut histoire | Série terminée (réédition en 12 tomes) 20 tomes parus |
Les avis
Cobra, c'est toute une partie de ma jeunesse. Je l'avais un peu oublié celui-là. Quelle joie de pouvoir lire toute cette saga autour de l'arme absolue. Je retrouve peu à peu la mémoire qui me faisait défaut. Cobra, c'est surtout de la bonne science-fiction dans un genre space opéra. Il faut dire que j'ai toujours préféré Cobra et son humour au Capitaine Albator qui sévissait à la même époque. On se demande si tout cela n'est qu'un rêve. Cobra est un aventurier de l'espace qui avait disparu et qui revient avec son psychogun. J'ai beaucoup aimé l'intrigue ainsi que les péripéties. Le dessin me convient même s'il apparaît comme un peu vieilli. La nostalgie fait oublier certaines choses qui paraissent alors secondaires face au plaisir que procure notre héros toujours prêt à emballer une jolie fille mais tout en gardant un sang froid à toute épreuve. Cobra, c'est réellement l'aventure jusqu'aux confins de la galaxie. Il n'a visiblement pas pris une ride. C'est du bonheur !
Pour mon 4000ème avis, il me fallait une série exceptionnelle et j'ai choisi Cobra : The Space Pirate. J'avais déjà vu il y a quelques années la série animée et j'avais adoré. C'est donc avec une bonne impression que j'ai lu le manga et j'ai retrouvé les mêmes émotions que lorsque j'ai vu le dessin animé. Tout d'abord j'adore le personnage de Cobra. J'adore son intelligence et la manière avec laquelle il trouve toujours une solution lorsqu'il se retrouve dans le pétrin. Ça peut devenir lassant un héros invincible, mais ça passe parce qu'il est assez drôle et parfois il se fait avoir par un élément imprévu et doit donc improviser un plan et je trouve que c'est intéressant. Il faut dire aussi qu'il est basé sur Belmondo et donc c'est normal qu'il soit sympathique ! En fait, je trouve que les scénarios sont plutôt intelligents vu que Cobra et ses ennemis se servent de leurs cerveaux. Les histoires sont captivantes et j'ai ressenti beaucoup de tension lors des scènes d'action même si je savais que Cobra allait finir par s'en sortir. Si les femmes font du fan service vu qu'elle sont la plupart du temps dans des costumes sexy et qu'elles se déshabillent, elles ne sont pas juste que de simple bimbos qu'on oublie facilement. Certaines font partie des meilleurs personnages de la série et je trouve d'ailleurs que la plupart des personnages sont inoubliables. J'aime particulièrement la relation entre Cobra et son robot qui est une femme. Le dessin est très bon. J'aime ce style et je trouve qu'il est dynamique. L'auteur sait très bien comment créer une atmosphère. Je comprendre que certains trouvent que ce manga est kitch et macho, mais moi je trouve qu'il vieillit bien et que c'est l'un des meilleurs que j'ai lu jusqu'à présent.
J'ai découvert récemment cette série qui m'a replongé avec grand plaisir dans mes années d'enfance quand je découvrait l'anime du même nom, premier dessin animé qui nous arrivait gorgé de violence, d'humour et de sous entendus coquins, quel mélange, quel cocktail. Le dessin est excellent, on retrouve avec joie les aventures au long cours de ce pirate des temps futurs. C'est un grand bol de nostalgie et malgré tout, ça reste ultra mderne, on a l'impression d'une nouveauté, ça n'a pas pris une ride.
Un manga très agréable à lire grâce à un héros attachant et des histoires captivantes. Difficile de lâcher le livre une fois commencer. L'Homme de Verre est un méchant aussi très intéressant et pas si facile que ça à battre... Niveau prix c'est très intéressant, si vous aimez les space opéra et/ou les manga Cobra est fait pour vous!
Une arme destructrice greffée dans son bras gauche Cobra écume l’espace à la recherche de richesses et de gloire le tout dans un avenir très lointain, loin de nous et loin de Starwars… Avant d’aller plus loin soyez conscients que ce manga vieux de 30 ans n’est pas à mettre entre toutes les mains, ceci est une évidence. Pour vous aider je me vois obligé de vous faire passer un petit test totalement impartial et testé scientifiquement… par moi-même. 1. Les chiennes de garde ont engagé une action en justice à l’encontre d’une publicité pour le fromage jugée insultante pour les femmes et dont le slogan rentrera dans l’histoire avec « Chantal t’as oublié le Cantal ! ». Pour vous : A. C’est une action juste car cette publicité est une atteinte aux droits de la femme (atteinte bien plus grave que l’image renvoyée tous les jours par les programmes de fin d’après-midi de TF1) ; B. Cette publicité est tellement affligeante à la base que c’est pas la peine d’en faire un fromage (donc vous avez un humour bien à vous que vous assumez). 2. Qu’évoque pour vous le nom de « Cat’eyes » ? A. Une marque de nourriture pour animaux domestiques qui garantira à votre chat ou votre chien un poil soyeux et un transit parfait. B. Ah les fuseaux moulants aux couleurs vives ou l’art de mettre en valeur la femme (non ce n’est pas une chorégraphie de Véronique et Davina) 3. Où vous trouviez-vous le mercredi 11 septembre 1985 aux alentours de 10h35 ? A. Vous vous en souvenez à coup sûr : en train d’éplucher le décret organisant l'évaluation des incidences sur l'environnement dans la Région wallonne B. Sans doute devant ma télé avec un bol de benco en train de me demander combien échanger de vignettes Platini pour obtenir celle de Didier Six… Réponse au test… Vous avez un maximum de A : Mais que fait Robert d’Artois dans l’espace en l’an de grâce 2300 ?! Affublé d’une tunique rouge vif et d’une paire de bottes qu’il faudrait penser à ramener à Francis Lalanne notre héros est éternel, indestructible voire inrayable… Ceci est un fait qui ne se démentira pas au cours des vingt albums de cette série à rallonge composée d’histoires plus ou moins courtes qui vous laisseront vite sur votre faim. Le scénario se reproduit à l’envie et pourrait se résumer à un affrontement infantile entre le bien et le mal duquel le bien sort bien évidemment vainqueur à la fin. Tout n’est ainsi que caricature sans que l’on puisse amener comme élément à décharge que Cobra est une série destinée aux enfants, loin de là… Premier grief à une lecture dite jeunesse, les aventures de ce voleur au grand cœur ne sont qu’une accumulation de violences gratuites. Les pirates de l’espace et autres ennemis de Cobra emploient ainsi tous les moyens pour stopper la série et l’on regrette parfois qu’ils ne parviennent à atteindre ce but : poison, explosif, arme blanche, bombe atomique, torture, etc. Mais l’invincibilité de notre héros paraît telle que la seule véritable menace qui pèse sur lui est une consommation excessive de tabac puisque rares sont les cases à ne pas glorifier l’homme au cigare, d’ailleurs pas un méchant ne fume comme si le tabac demeurait un symbole de virilité et de succès (deuxième grief). Troisième gros écueil de l’œuvre, la place accordée aux femmes puisque les aventures de Cobra sont remplies de Chantal (celles qui oublient le Cantal). Non contents d’être des potiches les personnages féminins affichent toutes des tenues légères et peu nombreuses sont celles à avoir été dotées d’un semblant d’esprit. Bref un manga vieillot qui a mal supporté les années écoulées… Vous avez un maximum de B : Cobra, ou le Bebel de l’espace !!! Il est impossible de parler de Cobra sans dresser un parallèle évident avec la série animée qui a ponctué nos mercredi matin, série sadiquement intercalée entre Heïdi et Candy (bouh les trucs pour filles). Le manga et l’animé sont en effet intimement liés, l’un ayant précédé celui qui l’aura popularisé. Principale différence, et non des moindres, seuls les neuf premiers volumes avaient été traduits dans l’animé. Les fan’s et autres nostalgiques auront donc l’occasion d’en avoir un peu plus : plus de combats, plus de tenues sexy, plus de méchants, plus de planètes toutes bizarres… Soap-opéra kitchissime Cobra est donc (à mon sens) réservé à cette génération Club Dorothée qui n’avait que trois chaînes télé et des Thomson MO5 pour assouvir sa soif de technologie (oui je sais elle a bon dos la technologie). Et si tout ce que j’ai développé auparavant dans ma diatribe téléramesque reste pour partie vrai c’est bien parce que j’appartiens justement à cette génération Goldorak&Co que j’ai retrouvé avec plaisir les aventures de Cobra, Cobra ce copain que l’on a connu ce matin de 1985… D’où ma très bonne note de 4 et mon avertissement à tous ceux qui ont répondu A aux questions précédentes : ne lisez pas Cobra vous risquez de critiquer mon pote ! Et si je n’ai pas mis 5 c’est peut-être parce que j’ai (un peu) grandi et que je ne dis plus « bouh les filles ». Bon là ça devient trop triste il me faut aller consulter ma feuille d’impôt et payer ma taxe d’habitation, bref régler tous ces problèmes que Cobra n’a pas !!! PS : La version N&B à 15€ le coffret (4 coffrets) me fait évidemment conseiller l’achat, car ce n’est pas cher payer pour un petit coup de revival !
Ah Cobra ! L'anime a bercé mon adolescence... et suscité chez moi quelques émois inoubliables. Profitant de la dernière publication à prix réduit (coffrets de 5 tomes à 15€), je me suis lancé dans la lecture du manga. Et j'y ai retrouvé tout le plaisir de l'anime : action, aventure, humour, personnage charismatique, belles filles... C'est clair, c'est toujours aussi machiste qu'un James Bond mais qu'est-ce que c'est bon ! Une bonne moitié des histoires n'ont pas été adaptées en dessin animé. Ces histoires sont de la même veine avec d'intéressantes informations sur l'origine de la forme physique et psychique de Cobra, mais cela reste assez anecdotique. Le dessin est du même tonneau que celui de l'anime (désolé pour toutes ses références à l'anime), c'est à dire très bon, collant parfaitement à l'ambiance SF. J'ai juste un petit reproche sur le format un peu petit des livres qui entraîne une perte de visibilité de certaines cases mais rien qui n'empêche la compréhension de l'histoire.
Cobra, ça parle au petit garçon enfoui dans le coeur du gars qui a toujours voulu être le super héros qui tue les méchants, sauve la princesse et empoche le magot... Très inspiré par le style d'Osamu Tezuka dont il fut l'assistant, Terasawa nous pond l'histoire du type viril par excellence, l'ultime mâle de l'univers, à savoir Cobra, l'invincible chevalier servant de ces dames. Cobra, c'est le type qu'on voudrait avoir comme super pote parce qu'il draine une nombre incalculable de bonnasses plus chaudes les unes que les autres... si on ne parvient pas à en pécho une ou deux au passage, c'est qu'on est aussi doué que le raton. Cobra, c'est le type qu'on voudrait avoir comme super pote parce qu'à coups de psychogun, il vous envoie ad patres tous les ruffians de l'espace. Cobra, c'est le type qu'on voudrait avoir comme super pote parce que son sens de la justice fait de lui l'ennemi juré de la guilde, le plus grand oppresseur de l'univers. Cobra, c'est l'incarnation du héros inébranlable, épris de liberté. Certes, l'image de la femme véhiculée par cette série ne semble pas particulièrement reluisante au premier abord, les femmes étant parfois cantonnées à celui de potiches bonnes à baiser et/ou à sauver. Mais souvent, les femmes incarnent ses ennemis! N'allez pas croire que les victoires de notre héros sur celles-ci sont autant de victoires du mâle sur la gent féminine, c'est juste qu'elles sont traitées sur un pied d'égalité avec les hommes, encore qu'elle sont souvent présentées comme des adversaires bien plus dangereuses. Certains bouderont le trait, le jugeant par trop désuet, le traitement accordé justement aux femmes les rendant esthétiquement froides ou bien le tout manquant de dynamisme... Mais quel bonheur que celui de naviguer dans des univers hallucinants où les lois régissant notre monde n'ont pas cours, ou rien n'est ce que l'on croit être! Et pis Bébel dans le cosmos, ça a de la gueule, non?
Hahahaaaa, Cobra ! Le super-macho de l'espace qui se promène avec un symbole phallique dans le bras gauche, au milieu de jolies femmes toutes plus dénudées les unes que les autres ! Franchement, si cette série n'existait pas, il faudrait l'inventer ! "Cobra" concentre tellement de kitscheries qu'on ne peut s'empêcher de lire cette BD avec un grand sourire aux lèvres, tant c'est énorme ! (le manga, pas le psychogun... ahem) Et puis, les histoires sont bien rythmées, bien menées, et plaisantes à suivre. Et finalement quand on y pense, certes "Cobra" représente un univers hyper viril où toutes les filles sont des bombasses quasiment nues et les mecs de gros balèzes, mais ce n'est finalement pas pire que dans "James Bond" ou "Conan". Et puis certaines de ces femmes savent agir et réfléchir, si si, et sont des personnages intéressants. Bon, bien sûr, il y a l'inénarrable Cobra, dont on sait qu'il s'en sortira à tous les coups, quel que soit le bazar dans lequel il se sera fourré. En temps normal, ce serait donc le genre de personnage irritant au possible, mais là franchement, avec sa bonne bouille à la Belmondo, son cigare (un autre symbole à psychanalyser... cette série n'en manque décidément pas ;) ), et son magnifique costume moulant vermillon, on n'arrive décidément pas à lui en vouloir :) Enfin voilà... "Cobra" c'est kitsch, souvent risible, mais pourtant assez attachant. Vu le prix dérisoire de l'édition française, ça vaut vraiment le coup de se laisser tenter !
Cobra ?... c'est d'abord le souvenir d'un personnage dont les dessins animés, voici une vingtaine d'années, étaient quand même pas mal réalisés. C'est ensuite, bien après, une série "manga" que j'ai découverte -grâce à ma belle-fille- et également appréciée. C'est vrai, je me suis plu à retrouver cet homme normalement sans histoire mais qui a un psyco-gun à la place de la main gauche ; un homme qui va se battre contre tout ennemi qui se mettra au travers de son chemin. Bon, c'est pas vraiment ma tasse de thé, mais j'ai quand même aimé ces retrouvailles avec ce "rebelle". Même si les histoires tournent autour de la sempiternelle guerre entre le bien et le mal (mais qui est le bien, qui est le mal suivant le côté où l'on se trouve ?...), la mise en page est généralement forte, bien structurée, appelle le regard (ce malgré le format). Je ne me suis pas trop posé de questions quant aux développements des divers scénarios ; sachant que ça allait "péter" dès le départ mais que Cobra s'en sortirait de toute façon. Mais ça m'a suffi et j'ai apprécié.
Ce manga, rendu culte par l'animé des années "Club Dorothée" nous est présenté par Convini dans une édition incroyable : un format proche du bunko, pas de jaquette, vendu par packs de 5 mais sans défaut majeur d'édition, une bonne lisibilité et un papier de qualité honnête pour seulement 15 euros !! Du jamais vu il me semble. Bravo. Le graphisme de cette oeuvre est un peu suranné et commence à mal vieillir je trouve. Entre les décors improbables, les personnages datés, et les filles au mieux habillés d'un bikini (je n'ai pas souvenir d'avoir vu une femme habillée dans ces 20 tomes) -- détracteurs de la misogynie, s'abstenir -- on trouve nombre de poncifs en vogue dans les années 70/80. On notera également de nombreux et sympathiques emprunts (clins d'oeil) aux space-opéra (notamment) en vogue à l'époque, bien que cela n'influence pas les aventures. Mais le rythme et l'action de ces aventures agit toujours. On est souvent en apnée devant ces scènes d'actions effrénées. Et c'est bien là le principal. J'ai pris beaucoup de plaisir à (re-)découvrir cette oeuvre. Une oeuvre unique qu'il serait dommage de rater à un prix pareil.
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