Alice 19th
Dans ce Shojo, comme l'héroïne de Lewis Caroll, Alice va croiser le chemin d'un étrange lapin blanc qui la fera basculer dans le fantastique.
Alice au Pays de la BD Magical girls Shogakukan Shojo
Alice est une jeune fille qui vit dans l'ombre de sa grande soeur Mayura. Timide, reservée, sa vie se résume à écouter son entourage louer les vertus de sa soeur, blonde, belle, et populaire. Alice est amoureuse en secret de Wakamiya, un beau jeune homme, qu'elle rencontre au club de tir à l'arc de sa soeur. Malheureusement, là où Alice est timide et discrète, Mayura est franche et directe. Elle déclare donc ses sentiments à Wakamiya au nez et à la barbe d'Alice, qui souffre en silence. Mais tout peut encore changer... Alice voulait depuis longtemps un animal de compagnie, un jour elle voit un lapin sur le point d'être renversé par une voiture, elle se précipite alors sur la route pour le sauver. Elle apprendra plus tard, de la bouche du lapin ayant pris forme humaine, qu'elle est un Maître du Lotis, capable de contrôler le pouvoir magique de certains mots sacrés. Et que le premier d'entre eux, le courage, vient de lui ouvrir les portes d'un monde fantastique.
Scénario | |
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Editeur
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Genre
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Type
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Date de parution | 21 Mai 2003 |
Statut histoire | Série terminée 7 tomes parus |
Les avis
Je ne suis pas un fan de shojo, mais j'ai emprunté les quatre premiers tomes de cette série parce que j'aime bien Alice aux pays des merveilles et j'étais donc curieux de voir ce que cela valait comme série. Finalement, hormis le nom de l'héroïne et le lapin (qui est devenu une fille), il n'y a rien en rapport avec le livre de Lewis Carrol et c'est chiant. Le seul truc que j'ai aimé c'est la lapine qui me fait rire, est mignonne et a fait en sorte que j'ai été un peu captivé par l'histoire au début. Je me suis rapidement ennuyé car le récit contient ce qui m'énerve chez les shojos : les problèmes amoureux et émotionnels des personnages ne sont pas montrés de manière subtile et ils sont répétés des dizaines de fois comme si l'auteure pensait que le lecteur était trop con pour s'en rappeler. Pour finir, je trouve les scènes d'action peu palpitantes et parfois un peu dures à suivre. J'ai arrêté ma lecture au tome 3 et je ne compte pas lire la suite.
Certaines personnes comme moi aiment pouvoir imaginer que la magie existe. Utiliser des mots pour la magie permet de faire rêver. De plus, je trouve qu'un auteur a le droit de changer de style, on ne peut pas le juger pour avoir voulu essayer une nouvelle chose. C'est peut-être "gnan-gnan" pour certains mais pour d'autres, ça ne l'est peut-être pas et ça peut même être intéressant.
Je n'ai pas aimé ce shojo. Bancal, des dessins très moyens, je ne le conseille pas, à part si vous êtes une otaku qui s'habille en noir et aime Mr Jack de Tim Burton... Surtout l'histoire de pouvoir à l'aide de mots, qui, bien que original, est très mal exploité et dessert le scénario. De ce fait, on se retrouve avec des mots qui ne signifient pas grand chose et qui ont un fort pouvoir, ce qui est incohérent... En fait, je crois que je n'aime pas Yuu Watase, trop simpliste, trop gnangnan... A la rigueur, je préfère un Polly et les Pirates qui même s'il reste simpliste, on ne tombe pas dans le cucul la praline...
Alice et le Pays des Merveilles... Comment ne pas y songer lorsque l’on voit la couverture, lorsque l’on lit les résumés ? Alice et le Pays des Merveilles... Un mythe qu’Yuu Watase eut sans doute mieux fait de ne point vouloir « revisiter » à sa manière. C’est attiré par les couvertures de style « Art Nouveau », et par le désir de voir comment Yuu Watase avait traité le mythe d’Alice, que j’ai pris le premier tome. Rien à en redire. Au contraire, je l’ai tellement aimé, que j’ai pris, vite vite, la suite. Dans ce premier tome, en effet, si l’héroïne ressemble un peu au loser du shonen, mais en fille, notre Alice locale se retrouvait du moins « épaulé » par deux garçons plutôt intriguants et charismatiques. L’histoire, elle-même, était fort bien menée, le premier tome se concluant par un magnifique « cliffhanger ». D’où mon désir de découvrir au plus vite la suite, persuadé que j’avais dégotté là un excellent titre. Malheureusement, le second tome s’est révélé aussi peu convaincant que le premier était captivant. Cette histoire horrifique possédait un aspect banal, et les histoires de lotis étaient à la limite du compréhensible et du cohérent. Et surtout, franchement peu passionnantes. J’ai finalement décroché au troisième tome (ayant acheté les quatre premiers tomes en pack d’occasion), lorsque l’auteure nous a trouvé une magnifique ficelle pour éloigner l’héroïne et l’élu de son cœur. Du même registre que celle trouvée dans la série Dark Angel, lorsque les deux tourtereaux ne peuvent pas franchir le pas à cause d’une sorte de virus génétiquement modifié qui leur interdit tout contact physique. Là, c’est un peu du même ordre. Et comme dans Dark Angel, cela m’a paru aussi téléphoné, dispensable, voire rageant. Certes, Dark Angel avait au moins l’excuse de la fameuse pudibonderie américaine. Sans cela, les acteurs auraient [******] comme des lapins. Vous imaginez la tête (ravie) des téléspectateurs américains... Oui, je sais, je suis encore allé trop loin. Les lapins vont me faire un procès en diffamation. Cela me fait songer, d’ailleurs... Y’a pas un lapin dans Alice au Pays des Merveilles ? Bref, un titre qui commence bien, pour s’effondrer tout aussitôt. Un non-hommage à l’œuvre originale. Sauvez les Lapins ! [******] : synonyme plus technique et prosaïque de « commettre le péché de chair ».
Voilà un shojo bien simplet qui devrait plaire aux jeunes adolescentes avec son héroïne cruche ses bishonen et cette fois une histoire à la Sailor Moon avec des costumes et des superpouvoirs, celui des mots o_o ! C'est tellement stéréotypé et cucul que ça en devient hilarant par moment ! En plus le prince charmant de l'héroïne alias Alice ressemble de nouveau à une plante verte ! Celui là a le mérite d'être moins violent que les autres mangas de Watase et elle nous épargne les scènes de tentatives de viol sur son héroïne d'assez mauvais goût ! Ouf on est sauvé ! Les méchants sont stéréotypés à fond et Watase se sert des attentats terroristes à sa sauce dans le volume 2 ou 3 ! Je ne sais pas ce qu'elle a Watase mais faudrait qu'elle arrête de fumer les poils de son chat ou de son lapin ou les champignons hallucinogènes car là elle a atteint une limite de non retour !
Captivant, j'adore la petite lapine !!! Hum-hum... C'est un bon livre que je conseille à tous. Évidemment c'est un livre avec un soupçon d'action et de fantastique et qui est simplet avec bien sûr, comme personnage principale, une jeune fille et ses compagnons.
On est loin du meilleur de Yuu Watase, c'est clair. Le style graphique très réussi dans Fushigi Yugi - Un Jeu étrange par exemple est ici minimaliste (pas le moindre décor, mise en page simplissime...) il faut vraiment savoir que c'est du Watase pour ne pas se dire que la mangaka est une débutante lambda... Mais bon les shôjo, c'est avant tout l'histoire qui prime... Et là aussi grosse déception ! L'histoire sentimentale de ce "triangle amoureux" est si simple et sans rebondissements qu'elle pourrait être résumée en 2 phrases... Ridicule et sans intérêt. Reste les scènes d'action car, à l'instar de Fushigi Yugi - Un Jeu étrange et Fushigi Yugi - La légende de Gembu, Alice 19th est un shôjo mi action mi fantastique avant d'être une histoire d'amour. Là, enfin, on aurait pu trouver un intérêt à cette oeuvre... Si les combats ne se faisaient pas à coups de "mots". Mais attention, je ne parle pas de joute verbale, je parle de "mots" prononcés et qui, possédant un pouvoir, blessent les méchants démons cachés dans le coeur des gens (tiens, prend mon "Lotis" dans la tronche !!) .... Non, je suis pas ivre. Oui, c'est aussi bizarre que ça en a l'air. Même pour les fans de la mangaka, l'intérêt de ce manga me semble limité.
J'ai trouvé cette histoire fantastique. Au départ, je me disais "des mangas ? j'aime pas les mangas, c'est trop garçon..." ; mais je ne savais pas que l'on appelait ces mangas-là des shojos, mais passons... C'est "Alice 19th" qui m'a fait commencer à vraiment aimer les mangas. Ce que j'ai particulièrement apprécié c'était le style de dessins, et le côté fantastique de Yuu Watase (un auteur qui a son propre style, il est vrai !). C'est une histoire que je vous conseillerais franchement. Si vous aimez les sentiments, l'humour et le triangle amoureux, alors vous aimerez "Alice 19th". Je tiens à préciser, que ce sont mes goûts, et je sais que nous n'avons pas forcément les mêmes, mais beaucoup de gens vous le diront, jetez-y au moins un coup d'oeil, il en vaut vraiment la peine !
Comme je l'ai déjà dit, j'aime beaucoup les mangas de Yuu Watase, et celui-ci est le deuxième que j'ai lu. J'ai trouvé l'histoire intéressante, d'ailleurs, nous retrouvons le pouvoir des mots dans la vie réelle: alors que les insultes nous détruisent les encouragements nous font avancer. C'est comme cela que je perçois le lotis. Le dessin est très épuré, bien plus que dans les précédents mangas de Watase. Par contre, les éditions Glénat fournissent effectivement du papier de très bonne qualité mais... QU'EST-CE QUE C'EST CHER!!! Je préfère encore Tonkam. Sinon, c'est vrai que c'est rare de voir un manga en 7 tomes, d'habitude, il y en a beaucoup plus. A lire donc. Cela plaira encore plus aux adolescentes (je parle en connaissance de cause^^!!).
Bah ! Je suis un peu du même avis. Déjà je ne suis pas très fan de Watase (j’adore ses scénars et ses dessins mimi, mais les persos j' ai plus de mal, à bas les toyas!) c' est une série qui trouvera sûrement son public mais qui ne finira pas dans ma bibliothèque. Le scénario met du temps à se mettre en place... C’est étrange que cette fois ci ce soit Glénat qui édite un manga de cet auteur, la tranche ne me gène pas, par contre c un peu plus cher que chez Tonkam (6€40 ) mais la qualité d' impression et le papier sont bons. A lire avant d’acheter, je vais quand même feuilleter le tome2.
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