The Few
A mi-chemin entre la Route et Mad Max, The Few est le fruit de la rencontre entre Sean Lewis (Saints, Coyotes) et Hayden Sherman (Cold War, Wasted Space) et le meilleur de ce qu’Image Comics peut offrir en matière d’univers dystopique. Un one-shot qui vous transperce et qui ne vous quitte plus, comme les fantômes d’Edan Hale refusent de la laisser partir (éditeur).
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Dans des États-Unis dystopiques et rongés par un mal étrange, nous suivons l’histoire d’une jeune femme et de son bébé, recueillis par un mystérieux groupe survivaliste et bienveillant qui semble seul capable de leur venir en aide. À moins que cette main tendue ne soit en réalité un piège ? Et si tout n’était que faux semblants ?
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Date de parution | 24 Janvier 2018 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Le synopsis de The Few avait tout pour m'attirer. Un monde dystopique dans lequel la (con)quête de l'eau est devenue le centre des préoccupations de tout le monde. Saupoudrez tout cela avec des factions qui se foutent sur la tronche pour prendre le dessus et, donc, contrôler l'eau et les territoires où elle est encore présente, ajoutez-y un peu d'espionnage et des agents doubles et vous avez un scénario pour lequel je suis un client, presque déjà convaincu. On n'est pas sur une originalité dingue mais cela me plaît, et plaît de manière générale. Mais. J'ai mis 2/5. Déjà, le dessin. Il n'est pas vraiment à la hauteur. Le dessinateur a un style bien à lui, ça c'est clair et ça peut me satisfaire, je suis très ouvert à la découverte. Néanmoins, j'avoue que je n'ai pas vraiment accroché à ce dernier. Il m'a même paru un peu (très ?) brouillon par moment. Tout en noir et blanc, ce qui colle bien à l'univers, c'est avec toute mesure, mauvais dessinateur que je suis, que je pense que le trait de l'artiste n'est pas tout à fait maîtrisé de bout en bout. Certaines planches sont difficilement lisibles, hélas. Le scénario, s'il est intéressant et plutôt pas trop mal pensé au départ, s'embourbe dans un one-woman show pas tellement prenant. Tout, ou presque, est centré sur l'héroïne, pas très charismatique, très caricaturale (nourrie au biberon de la dictature aux responsabilités, robotisée par ses supérieurs... avant la révélation que le monde n'est pas noir ou blanc mais bel et bien gris). C'est un peu dommage à mon goût, il y avait possibilité de partir sur autre chose tellement le monde créé par Sean Lewis est vaste. Même la cause écolo, sous-jacente, n'est pas explorée. Ou alors, je suis passé à côté. Tout comme sur l'ensemble de l’œuvre finalement.
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