Eternel hiver

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Ils ont le pouvoir de tuer. Mais aussi de donner la vie éternelle. David Muñoz et Rafael Vargas signent un polar fantastique médiéval au cœur d’une communauté de moines vampires. Un récit noir, sanglant, glaçant et impitoyable comme l’hiver.


Auteurs espagnols Séries avec un unique avis Vampires

Europe. Moyen-Âge. Au cœur de l’hiver. Blessé par un ours lors d’une partie de chasse, le comte Albert trouve refuge dans une grotte, avec l’aide de Marcus, son conseiller et ami. Ce dernier, parti chercher du bois pour le feu dans la nuit enneigée, est alors attaqué, dévoré vivant par un jeune garçon. Albert a tout vu. Mais il n’a rien pu faire... C’est de retour dans son château qu’il entend alors parler des Nosferatu, ces monstres qui se nourrissent du sang des hommes. Des créatures qui ont le pouvoir de tuer, mais aussi de donner la vie éternelle...

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 23 Mai 2018
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Eternel hiver © Glénat 2018
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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14/05/2023 | Mac Arthur
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L'avatar du posteur Mac Arthur

Bon, ben, une fois de plus, je n'ai pas été transporté par un récit de cette collection. Pourtant, je m'obstine car le concept me tente : des récits de série B sans prise de tête, avec de l'action du sang et un peu de fesse, c'est censé me plaire. Malheureusement, bien trop souvent, la dernière page tournée, je me dis "bof", et c'est encore le cas ici avec cette histoire de vampires qui s'imaginent bénis de Dieu. Bon, ok, le dessin est plutôt plaisant et le scénario part d'une idée plutôt bien vue (car oui, quelque part les vampires ont ce don de donner la vie éternelle et, au Moyen-Age, cette faculté aurait pu être vue comme une bénédiction divine). Mais franchement, l'histoire est très fade, mal construite dans ses premiers chapitres et d'une linéarité soporifique dans sa seconde moitié. Il n'y a même pas assez de fesse pour que j'en oublie mon dépit. Les personnages n'ont que peu d'envergure, les rebondissements sont prévisibles au possible, la mise en page est trop classique que pour rompre ce sentiment de platitude. Non bof, quoi... bof bof et rebof...

14/05/2023 (modifier)