Le n°1
Qui est le n°1 ?
Format carré Les petits éditeurs indépendants Requins marteaux Tout petits albums
Bienvenue dans le monde impitoyable d'Eurelec, la multinationale qui dirige tout, qui contrôle tout. Un monde de plasma où règne, indétrônable, le N°1. Mais qui est le N°1 ? Le N°2 veut le savoir ! Et c'est tout naturellement au N°3 qu'il incombe de démasquer celui qui ne peut pas n'être qu'un mythe. Nick Sanchez (le N°3) se lance alors dans une quête étrange qui le conduira bien au-delà d'une simple réponse. Bien connu dans l'univers débridé du Fanzine, Allard s'ouvre désormais à de nouveaux horizons. Il offre à la collection Carrément une histoire aux limites de l'absurde, jonchée de références graphiques et à plusieurs niveaux d'humour. Oui, mais qui est le N°1 ? (source : Les Requins Marteaux)
| Scénario | |
| Dessin | |
|
Editeur
/
Collection
|
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
| Date de parution | Janvier 2003 |
| Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
(0)
(0)
Coups de coeur (0)
Une BD bourrée de références télévisuelles et cinématographiques (mais pas que...) qui laisse tout de même la place à l'originalité, et ça, c'est important. On ressent le goût de l'auteur pour la culture "Pop" et "underground", ce qui transparaît dans le graphisme. Le scénario, sans rien dévoiler de l'intrigue, est quant à lui farfelu mais cohérent et touche de près à l'actualité. A recommander vivement car pour quelques euros vous avez une histoire originale, une BD dont certaines pages sont de véritables petits tableaux et qui, contrairement à beaucoup d'autres, ne prend pas de place dans une bibliothèque ! Vivement "Le N°1 2" ou "Le N° 2" à moins que ce ne soit tout autre chose.
Pfouh, comme c'est chiant ! :( Le début part plutôt bien, avec un texte d'intro prometteur, et un côté tarantinesque, mais bien vite le leitmotiv "trouver le n°1" devient lourd, et les péripéties s'enchaînent sans réel intérêt. En plus de ça le dessin n'est vraiment pas très beau, il est assez maladroit, et ce ne sont pas les quelques références (dont la scène finale de "Seven") qui y remédient. Il y a une vague histoire de mélange rêve/réalité, peut-être parvient-elle à rendre le tout intelligent, mais pour ma part je suis passé un peu à côté et il ne m'est resté que le côté ennuyeux du tout.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site