Boire pour fuir ma solitude

Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)

Troisième autobiographie de Kabi Nagata.


Alcoolisme Autobiographie East press La BD au féminin : le manga Seinen Séries avec un unique avis

Voilà, à force de fuir la réalité en me réfugiant dans l’alcool, j’ai fini par infliger à mon corps des dommages irréversibles. Maintenant privée d’échappatoire, je vais devoir faire face à ma culpabilité et affronter mes propres sentiments. Alors que j’avais décidé d’abandonner l’autobiographie pour me consacrer aux mangas de fiction, vais-je parvenir à trouver des idées, moi qui me servais de la boisson comme carburant pour écrire ? Et si la fiction était pour moi le seul moyen de me confronter à ma réalité ? Texte : L'éditeur

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 15 Juin 2022
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Boire pour fuir ma solitude © Pika 2022
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 1 avis)
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01/07/2024 | Gaston
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Par Gaston
Note: 3/5
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2.5 J'avais bien aimé la première autobiographie de l'autrice parce qu'on avait un aperçu de ce que c'était d'être une LGBT au Japon. J'avais moins aimé sa seconde autobiographie et je pense que j'ai encore moins aimé la troisième. Ici, l'autrice finit à l'hôpital parce que son alcoolisme à détruit son corps. C'est donc encore un récit qui se passe en milieu hospitalier avec l'auteur/autrice qui raconte ses problèmes de santés, ce qui est pour moi est tout de même moins intéressant que la place des personnages marginaux dans un pays non-occidental. En plus, l'autrice avait promit à ses parents de ne plus faire de l'autobiographie et du coup elle n'a pas prit de notes lors de son séjour à l'hôpital alors on a droit au strict minimum de ce coté là. Parallèlement, on va voir aussi l'autrice essayer de faire avancer ses projets de mangas de fictions et ne pas y arriver. Cela se laisse lire, notamment parce que le trait de Nagata est toujours aussi dynamique et agréable à l'œil, mais j'ai trouvé que c'était très léger au niveau du scénario avec notamment des répétitions au niveau des anecdotes. J'ai peur que l'autrice finisse comme Lewis Trondheim qui avait commencé très fort dans le domaine de l'autobiographie et qui petit à petit a finit par sortir des albums avec des anecdotes banales comme s'il s'était rend compte qu'il y aurait un public pour ça peu importe ce qu'il racontait était intéressant ou non.

01/07/2024 (modifier)