Koinsky raconte... deux ou trois choses que je sais d'eux

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Deux ou trois choses que je sais d'eux est tiré des mémoires de guerre que le major Koinksy écrivît pendant la campagne d'Italie de 1943/45.


1939 - 1945 : La Seconde Guerre Mondiale Auteurs italiens Pratt Séries avec un unique avis [Seconde Guerre mondiale] Europe de l'Ouest

Koinsky, nous l'avons suivi dans ses aventures militaires en Afrique avec les Scorpions du Désert. Dans l'un de ces récits, l'officier polonais qui servait alors dans l'armée anglaise en Ethiopie, connut le lieutenant italien Stella qui lui, meurt dans l'histoire que vous connaissez sous le nom de J'ai deux amours. En cette occasion, Koinsky tomba amoureux d'une photographie représentant Franca Stella, la femme de l'officier italien disparu. Du débarquement en Sicile, jusqu'au combat final contre les Allemands et les fascistes dans les marais de Comacchio, Koinsky chercha en vain la veuve de Stella. Puis vinrent deux années de guerre sur la côte Adriatique, où il participa à de nombreuses actions téméraires, et, justement, écrivit ses anecdotes de guerre.

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 01 Avril 1993
Statut histoire Histoires courtes 1 tome paru

Couverture de la série Koinsky raconte... deux ou trois choses que je sais d'eux © Casterman 1993
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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07/10/2024 | Noirdésir
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Mouais. Je suis un gros lecteur de Pratt, qui m’a souvent ravi avec ses productions. Mais j’avais déjà été déçu par Récits de guerre, et cet album, qui se veut une excroissance de la série Les Scorpions du désert ne m’a pas davantage convaincu. D’abord parce que le dessin, s’il est lisible, est loin d’être le meilleur de cet auteur prolifique (en particulier dans les deux dernières histoires). En plus je préfère souvent son travail en Noir et Blanc à celui en couleur (comme c’est le cas ici). Ensuite, je n’ai pas été captivé par ces petites histoires militaires. Il n’y souffle pas le vent de l’aventure, parfois mâtiné de poésie, qui donne à nombre de ses séries une force incroyable. Ici, ça reste terre à terre, ça ressemble à une œuvre de commande, qui se contente d’empiler les récits guerriers, avec des scènes de combat qui finissent par lasser. Alors, certes, Pratt s’est documenté (voir les quelques pages qui introduisent chaque histoire, avec photos d’époque, croquis préparatoires). Et certes, il essaye de diversifier les lieux d’action : le désert de Libye dans la première histoire, puis l’Atlantique nord au large de la Norvège, le Monte Cassino en Italie pour la Seconde guerre mondiale, la Palestine durant la Première guerre mondiale (le dessin de cette histoire, « Baldwin 622 », ne m’a vraiment pas plu), pour finir en Italie en 1945. mais ces efforts de crédibilité n'ont pas suffi. A réserver aux fans complétistes de Pratt ou de tout récit militaire. Une déception me concernant.

07/10/2024 (modifier)