Golden Cup
Série reprenant l'univers de la série Golden City...
Automobiles Label Série B Spin-off
C'est dans les salons cossus du Neptune Palace que Burt Styler, propriétaire des lieux, et Madame Banks, maire de Golden City, annoncent le départ imminent de la Golden Cup... Une course automobile autour du monde, ouverte à tous les véhicules, et dont le tracé reste encore secret. Une course sans pareille... Au même instant, et à des kilomètres de là, deux destins basculent : celui de Daytona, garçon de la rue doué d'un véritable instinct de pilote, et celui de Kelly Styler, fille unique du milliardaire...
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Date de parution | Septembre 2003 |
Statut histoire | Série terminée (en principe) 6 tomes parus |
Les avis
C’est un pendant de la série Golden City, où l’action se passe une vingtaine d’années avant. Les dessins sont toujours aussi lumineux. En effet l’aspect graphique de Golden Cup reste donc fidèle à celui de Golden City. L’action est cependant plus diffuse car il n’y a pas un héros central charismatique. Daytona, le jeune adolescent pilote, manque de caractère dans sa grande naïveté. J’ai bien aimé malgré un a priori négatif sur la série dans la plupart des forums. C’est une aventure à suivre surtout pour son côté détente. Les bolides qui sont plutôt originaux sont assez bien dessinés. Cependant, le second tome multiplie les personnages jusqu'à la caricature pour certains notamment le fou super riche qui dispose d'une base secrète à l'image des méchants des James Bond. C'est trop ! Le troisième tome, loin de sauver la donne, s'avère assez décevant. Le dessin reste néanmoins de qualité. Le quatrième opus ajoute un mystère notamment dans les dernières pages avec peut-être l'apparition d'un nouveau super-méchant. Cette ficelle scénaristique sera loin d'être suffisante. "Golden Cup" reste dans le ton et l’univers de la série mère avec un graphisme tout aussi aéré et précis. De la bonne BD de divertissement sans prétention mais un peu vide. Il manque une véritable consistence et un scénario cohérent qui tient en haleine. Le dessinateur avait signé pour 5 albums en croyant que c'était terminé. D'ailleurs dans le tome 4, il y a la fameuse phrase : suite et fin au prochain. Il n'en n'est rien et j'ai envie de dire: "il faudrait vous accorder un peu !" Bien que le dessinateur ait indiqué qu'il ne pouvait laisser la série inachevée, voilà que près de 5 ans sont passés depuis le dernier tome. Y-aura t'il une fin digne de ce nom ? On peut en douter. C'est l'une des rares séries où je regrette sincèrement mon achat. Voilà , le dernier tome à savoir le 6 est enfin paru. Il sert juste à clore les deux sous-intrigues dont aucune ne se démarque véritablement du lot. On a senti un véritable essoufflement de la part du scénariste. Il a le mérite de vouloir donner une conclusion. En effet, la course se termine enfin. Peu d'originalité dans cette conclusion qui reste classique. Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 3/5 – Note Globale : 3.5/5
C'est assez sympa de retrouver l'univers de Golden City puisqu'ici, l'action est située bien avant. Toujours est-il que Pecqueur ressert à peu près les mêmes plats, utilisant une recette qui a si bien fonctionné, mais avec quelques variantes : des gadgets futuristes, des concept-cars bien profilés, de l'action, des filles sexy, et un joli design très high tech, avec un dessin dans le même style que celui de sa grande soeur. Sauf qu'ici, 2 histoires se croisent, avec plusieurs personnages (les exploits de Dakota, le rapt de la gamine Styler) jusqu'à ce que les 2 se rejoignent. De toute façon, Pecqueur a bien fait d'introduire plein d'obstacles et d'épisodes annexes, car si la Bd s'était réduite seulement à la course, ça serait vite devenu banal et ennuyeux. Le tout est habilement mené par les auteurs dans un pur but de distraction, destiné plus à un public d'ados, avec une avalanche de rebondissements et de l'action en veux-tu en voila. Vu comme ça, on a l'impression que je suis ironique ou méprisant ; pas du tout, c'est involontaire, car c'est une Bd très agréable, très sympathique même si elle ne peut empêcher certains clichés caricaturaux et de vieilles ficelles, mais dans ce genre de récit, c'est plutôt inévitable. C'est vrai que tout est trop formaté, les auteurs mélangent beaucoup de choses et allongent un peu la sauce qui pourrait réduire le nombre d'albums (sacrifiant au dieu fric), mais soyons indulgent, ce qui compte c'est l'aspect fun, et de ce côté, on est servi. Il faut donc prendre cette série pour ce qu'elle est, une véritable détente sans trop de profondeur et sans prétention, et c'est déjà beaucoup, certaines Bd sont tellement prétentieuses... Bref, une réussite, agréable à lire, jolie à regarder, certes inférieure à Golden City, mais qui ne prend pas la tête.
Golden cup, licence de la série Golden City, aborde dans ce monde presque apocalyptique, des courses automobiles et une intrigue à la James Bond. Pour le dessin, tout comme dans Golden City, c'est très réussi. Les décors, plutôt polaires, cette fois-ci sont très bien rendus et on retrouve vraiment au fil de la série des références à différents films et autres dessins animés. Le méchant fait réellement penser à un méchant de James Bond ou de Batman avec son physique atypique et son caractère hargneux. Le héros, assez naïf, et son équipe me font largement penser à Speed Racer, ainsi que les courses menées tambour battant. Enfin, le style graphique des véhicules me fait évidemment penser à Star Wars et la course de pods. Mais voilà, moi j'aime bien quand on sent les références des auteurs et qu'ils nous montrent sans vergogne l'amour qu'ils portent à ces références ! Donc, Golden Cup reste un très bon divertissement pour moi, d'autant que le style graphique est vraiment réussi malgré un scénario léger. Je conseille malgré tout car, ben, j'aime cette série...
N'ayant pas lu Golden City je ne m'avancerai pas dans de quelconques analogies ou exploitations de l'image Golden City ! Bref, un 2.5/5 n'étant pas disponible et trouvant tout de même sympa la BD, un 3/5 s'impose ! Alors, c'est sûr, il ne faut pas chercher très loin le scénario ! On mélange un peu tous les styles à toutes les sauces et on a Golden Cup : - le jeune garçon beau, naïf et sentimental qui conduit vite et bien sans se prendre la tête ! Un héros modeste quoi ! (on se croirait dans Speed Racer par moments) - quelques jolies filles dont une copine au caractère bien costaud et loin d'être idiote ! - la famille pauvre et dans le besoin du jeune garçon qui est d'autant plus dévoué du coup - le méchant qui en veut au jeune garçon et lui met des bâtons dans les roues ! - une "méchante" qui sent beaucoup la "gentille" - LE méchant façon James Bond qui ferait tout pour arriver à ses fins - les terroristes, preneurs d'otages... enfin en quête d'argent ! - le riche qui organise du spectacle et n'hésite pas à magouiller ! - LE BON agent, détective, bref... 007 presque ! - une course avec des voitures faisant "rêver" ! - des décors variés pour tous types de cascades et aventures ! En gros, on a tous les éléments pour plaire et même si au final, un adulte trouvera sans doute cela trop léger, je pense sincèrement que cette BD est parfaite pour permettre la transition des adolescents des mangas ou BD pour enfants à la "VRAIE" BD ! Et pour les adultes, c'est une manière douce de retomber dans ses rêves d'adolescent : gagner des courses, embrasser les plus jolies filles, sauver le monde... Côté graphique, c'est propre comme il faut ! 4/5
Sans trop y accrocher à cause d'une fin ratée, j'avais trouvé Golden City divertissant et présentant un monde futuriste pas inintéressant. Mais "Golden Cup" présente les défauts de Golden City sans les qualités. Au rayon des défauts, un dessin trop froid. De grands espaces sans trait sont remplis par des couleurs trop informatisées. Cela me donne régulièrement l'impression de personnages évoluant sur des décors vides et artificiels. Quand à cela s'ajoutent des dessins de filles qui sont toutes en permanence des canons tout droit issus des meilleures agences de mannequins, je trouve ça assez ridicule, postiche. Quant au scénario, on dirait un mélange de dessins animés. Les Fous du volant (ou encore la saga des films Cannonball si vous vous en souvenez) pour la trame de la course autour du monde de véhicules tous plus différents les uns que les autres, avec pièges et péripéties nouvelles à chaque étape. Et Scoubidou pour les intrigues risibles qui les accompagnent (et j'ai pensé à cette référence avant même l'épisode de "démasquage" à la fin du tome 2). En effet, les ficelles scénaristiques m'ont régulièrement paru aussi grosses que des câbles portuaires. Trop de facilité, trop de coïncidence, trop de "deus ex machina", crédibilité zéro. C'est bien simple, les deux premiers tomes m'ont donné l'impression de lire un mauvais récit du journal de Mickey période italienne, un truc pour amuser les enfants ou les préados où l'auteur ne s'embarrasse pas du vraisemblable ou d'éviter les énormes clichés. Les intrigues prennent un peu plus de complexité, se rapprochant davantage de Golden City à partir du tome 3, mais il reste toujours ce côté "beaux gosses, filles canons, véhicules super cools" immature qui m'agace. Et puis sérieusement, le passage avec la voiture qui se transforme en bateau puis en super sous-marin qui file à 20 noeuds sous les flots, ça me rappelle une BD que j'avais dessinée moi-même quand j'étais en primaire. Avec des facilités scénaristiques aussi agaçantes et un côté racoleur aussi pénible, j'ai eu du mal à apprécier le côté ne serait-ce que divertissant de cette lecture.
J'avais bien aimé Golden City, c'est donc plutôt optimiste que j'ai commencé la lecture de cette série qui se passe dans le même monde. Après la lecture des trois premiers tomes, l'optimiste a laissé place à la consternation... Tout d'abord, prenons le temps de nous attarder sur les personnages. Si on organisait une remise des prix du héros le moins charismatique, le jeune Daytona l'emporterait sans doute haut la main : il est rare d'avoir un personnage avec aussi peu d'intérêt ; honnêtement, dès qu’il n’apparaît plus dans une scène, j'oublie complètement son existence, et au cours de la lecture je me contrefiche complètement de ce qui peut lui arriver (mais vu le style de la BD on ne vois pas bien ce qui pourrait arriver de grave au jeune héros que tout le monde adoooore !...). Mais ne soyons pas trop dur avec lui, les autres personnages qui l'entourent ne valent pas beaucoup mieux : apparemment, dans l'esprit des auteurs, le seul intérêt chez une femme est d'avoir un bonnet F et de le mettre en avant dans une case sur deux (eh bien oui, il y a aussi les fesses dans la vie...). Et pour finir, les méchants sont très méchants, et inévitablement tous affublés d'un physique ingrat. Et l'histoire dans tout ça ? Eh bien pas grand chose en fait : une course automobile autour du monde, une histoire de kidnapping (la partie la mieux réussie d'ailleurs) et puis un méchant qui veut tout détruire ; l'ensemble est bourré de clichés et peu profond. Je dirai juste un mot sur ce qui me semble le plus réussi : le dessin. Il n’est pas extraordinaire, mais le trait net et les couleurs vives sont agréables à l’œil. Au final l'ensemble n'est pas désagréable à lire, mais à chaque tome refermé je n'ai pas ressenti un réel besoin de lire la suite. J'ai lu les trois premiers tomes afin de me faire une bonne idée de l'ensemble ; mais quand j'ai vu qu'à ma bibliothèque il n'y avait pas la suite je n'ai ressenti aucune frustration, c'est dire l'intérêt qu'a suscité en moi cette série...
Golden cup c'est comme les légos... un truc super quand on à l'âge ciblé mais sans le moindre intérêt une fois cet âge passé. Golden Cup s'adresse aux jeunes adolescents. Le graphisme est allégé par rapport à Golden City. Le résultat est plus cartoon, moins travaillé mais reste correct. La ligné avec l'univers de Golden City est toutefois assez artificielle. L'aventure est une course (oh?) et une histoire d'enlèvement en coulisse de cette course. Les personnages sont sympathiques et pas réalistes pour 2 sous. De même les caricatures de rapports humains sont difficiles à prendre au premier degré... Le tout est dynamique, gai et enlevé et répondra parfaitement aux attentes d'une clientèle demandant plus de fesse et de rythme que de cervelle et de réalisme. Une réussite dans son genre (limité par essence).
Avis pour les 2 premiers tomes : Que faire pour attirer des bédéphiles vers une série proposant des courses de voitures sans lasser les lecteurs passionnés par les aventures de Michel Vaillant ? Une des réponses en lisant "Golden Cup" consiste à mixer enlèvements, soupçons, attentats, belles nanas, beaux gosses… le tout dans un environnement futuriste en récupérant l’univers de Golden City. Les fans de Golden City ne seront pas déçus car la mise en page, le cadrage, le graphisme et surtout la mise en couleurs sont très fidèles à la série-phare. On retrouve donc des personnages assez attachants et un découpage efficace. Ces qualités sont hélas entachées à mon avis par la pauvreté des dialogues et un scénario faible. De nombreux clichés, grosses ficelles et situations convenues parsèment tellement "Golden Cup" qu’il vaut mieux de ne pas être pointilleux au risque de trouver tout cela indigeste. Malgré tout, la sauce prend son effet et j’ai trouvé "Golden Cup" relativement agréable et divertissant. Je regrette qu’il ait fallu attendre un album et demi pour voir les premiers bolides s’élançaient alors que "les 24 heures du monde" de Sébastien Vastra racontait une superbe course d’automobiles en un seul album sans pour autant être obligé de lire les tomes précédents ! Je donne une mention spéciale à Manchu pour le design futuriste des voitures toutes aussi belles les unes des autres et qui font l’objet dans la première édition du tome 2 d’un cahier graphique gratuit en supplément. "500 mille chevaux" est une BD dont le traitement graphique est dans la tendance actuelle avec ses tons « flashys » (mais pas trop) informatisés et des cadrages spectaculaires. "Golden Cup" est née pour être une série de pur divertissement et rien que pour ça, il faut avouer que les auteurs ont tenu cette promesse ! Note finale : 3/5 Avis pour le tome 3 Suite des aventures d’un rallye raid futuriste se déroulant dans l’univers de « Golden City », le 3ème tome de “Golden Cup” se révèle aussi divertissant que les 2 premiers albums de la série. Pour lire « Golden Cup », il faut avant tout se mettre à l’idée de ne pas être trop pointilleux sur le scénario. En effet, Pecqueur a eu l’idée de mettre des terroristes, des revanchards et des flics sur le parcours de cette course futuriste dont les participants doivent boucler le tour de la terre en passant sur tous les continents y compris l’arctique ! D’ailleurs, ce 3ème tome se déroule sous le cercle polaire arctique auquel les lecteurs se demanderont probablement comment des véhicules terrestres pourront traverser ce « continent » glacé ! Alors, que dire de ce scénario ? Il a le mérite d’être très dynamique avec ses nombreux coups de théâtre à défaut d’être réaliste… à regarder de près, je dirais que c’est du comique surtout lorsque apparaît la scène avec les loups… Je trouve d’ailleurs un peu dommage que ces séquences surprises soient trop présentes au détriment de la course qui devrait normalement être l’intrigue principale de cette BD ! Graphiquement, j’aime beaucoup le design des véhicules. La mise en page est aérée, cela a permis de mettre en place des beaux décors d’ensemble, c’est assez plaisant pour les yeux ! Les personnages sont facilement identifiables mais ils ont, à mon avis, une tendance à montrer un peu trop souvent leurs beaux sourires… La mise en couleurs rappelle beaucoup celle de la série mère, les tons azurs et jaunâtres sont dominants et par conséquent, ne dépayseront pas les amateurs de « Golden City » ! Le 3ème tome de « Golden Cup » est finalement une BD très distrayante dans la continuité des 2 premiers albums. Cependant, il faut reconnaître que le scénario est trop irréaliste pour que je l’apprécie. En effet, le scénariste a cru bon de parsemer la course de retournements de situations farfelues en dehors de l’épreuve alors que mon intérêt est justement basé sur les péripéties de ces pilotes et de ces fabuleux engins ! A lire donc mais sans trop se creuser la tête… Note finale : 3/5
Autant Golden City vaut le coup d'oeil, autant Golden Cup fait penser à une exploitation trop importante de l'aura et des retombées de la première série. On retrouve les mêmes éléments, mais sans la justesse ni le sérieux de ce qui a fait le succès de City. Et puis, je n'aime pas trop tout ce qui a trait à la course automobile, même lorsqu'elle est en arrière plan... On vous montre des bolides à pleine vitesse, mais personnellement, je n'ai jamais trouvé cela très extraordinaire ! Cela ne m'a jamais vraiment attiré ni intéressé (faut voir la caisse que je me trimballe, une épave !). Le scénario est prévisible, rempli de raccourcis et je m'attendais à un peu plus de construction autour de l'histoire. Cela me fait penser à une banale histoire d'aventure teintée d'un peu de science-fiction. Et le côté divertissant n'est pas totalement accompli, puisque je me suis plusieurs fois ennuyé lors de ma lecture... Quelques passages sont néanmoins sympathiques, si on exclut le nombre de retournements de situations quasi improbables ! Seul point positif, le dessin qui reste agréable et réussi. Les véhicules sont maitrisés, les personnages identifiables et les couleurs attrayantes. Lisez plutôt Golden City qui est une réelle réussite, tant scénaristique que graphique.
Une bonne série futuriste qui –au départ- m’a entraîné dans une grande cité fermée gouvernée –en apparence du moins- par un grand industriel ; une cité où se prennent les grandes décisions qui régiront le monde. Dans la mouvance de « Golden City » je me suis retrouvé dans des courses de voitures bien loin de l’univers assez formaté de Michel Vaillant. Il est vrai que les « 4 roues » d’ici n’ont à voir que très peu de choses avec ceux de Jean Graton. Une série à multiples rebondissements, aux scénarios et développements imaginatifs ; le tout régi par un beau dessin au trait souple, bien lisible ; même si la mise en page me semble souvent trop « standardisée » alors que les histoires concoctées permettent toutes les audaces graphiques. Une bonne série où l’on sent que Pecqueur connaît son métier ; ayant baigné dans le milieu de la course automobile alors que tout jeune.
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