Propeller Man
Super héros dans un univers futuriste.
Auteurs allemands Dark Horse Comics El Vibora
Propeller Man n'a pas toujours été revêtu d'une carapace d'acier et il n'a pas toujours volé sur un surf cybernétique au-dessus de la ville. Avant il était un homme sans masque, un homme parmi tous les autres. Aujourd'hui il doit liver un terrible combat face à un homme qui défie les lois de la cité, aidé par des robots déments et extraordinairement puissants. Dans la ville c'est le chaos, il n'y a plus ni règle ni loi. Propeller Man est seul avec une poignée d'amis à s'ériger contre cet ennemi qui lui rappelle sa vie d'avant... Et au milieu du chaos, Propeller Man retrouve même sa fille.
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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| Date de parution | Juillet 1994 |
| Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
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Un truc très étrange que je possédais il y a longtemps. C'était assez moche et kitsch (en particulier le super-héros, les visages et le look des personnages) mais très beau quand même et plutôt gore par moments (le monstre présent dans la galerie, des fusillades où les victimes explosaient littéralement, des vues nocturnes de gratte-ciels typiquement 80...). Plus tard le style m'a légèrement fait penser à Ranxerox, mais en moins maitrisé. Un côté Rocketeer également. Les dessins étaient vraiment pas mal, originaux, inventifs, très détaillés à certains moments (armes, couleurs à l'aérographe) mais c'était quand même très bizarre (même à 10, 13 ans ). Comme un européen qui créé un comics, Schultheiss étant allemand je crois. C'est assez flou dans mon esprit, il faudrait que je retrouve cette bd. Elle vaut peut-être un 3.
Matthias Schultheiss se fend d'une série en deux tomes qui n'apportera pas grand chose au monde de la BD. Sur une idée bateau, il développe un scénario ultra classique et poussif qui s'étire sur deux tomes qui deviennent très vite pénibles à lire. Car en plus d'être un scénario très limité, les personnages ne sont que de pâles photocopies des personnages que l'on trouve habituellement dans ce genre d'aventures. Les dialogues sont risibles de mièvrerie ou carrément à côté de la plaque selon le contexte. Enfin, les dessins sont franchement très moyens : on sait bien que Schultheiss est un dessinateur assez baroque mais là ça atteint parfois des proportions délirantes sur les visages des personnages. Car pour les bâtiments vus de haut, le dessin et l'effet restent assez réussis (peut-être la seule chose positive de cette série ?). Mais les couleurs sont dans l'ensemble aggressives et laides, impersonnelles, froides... Bref, une série à fuir.
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