L'Étoile noire
Braxtor, alors qu'il dérive dans l'espace, est absorbé par une naine rouge. A l'intérieur de la géante il découvre un navire qui renferme des secrets scientifiques. La naine tente de garder ces secrets en contanimant Braxtor. Son corps se désintégre petit à petit mais il est sauvé par un navire qu'il a croisé sur son chemin.
Auteurs argentins Juan Gimenez
Il recherche un androïde guerrier, un aventurier et un pilote pour retourner sur l'étoile noire chercher ses trésors. Une fois au coeur de l'étoile moribonde Braxtor explique son plan : repartir avec la super arme capable de détruire une planète en un coup. Mais ...
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Date de parution | Décembre 1981 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
03/11/2003
| Ottonegger
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Les avis
C’est un des premiers ou peut-être même le premier album publié en France par Juan Gimenez, qui n’est alors plus un débutant, mais qui verra son dessin s’affiner par la suite. Son trait est encore gras et brouillon, avec une esthétique marquée par son époque (voir ce qui se publiait aux Humanos). On voit déjà en tout cas sa passion pour les détails techniques (il a fait des études de mécanique et de dessin industriel) et pour le space opera. C’est en tout cas le principal atout de cet album, qu’il faut lire en ayant à l’esprit sa création (1980), les thèmes développés ici ayant été abondamment abordés ailleurs – et sans doute mieux – depuis. Je suis beaucoup plus circonspect concernant le scénario de Barreiro, un peu léger à mon goût, pour ne pas dire creux. Quelques idées piquées ici ou là et un manque de surprise, de rebondissements, auxquels se prêtait pourtant le dessin de Gimenez, assez dynamique. Je suis resté sur ma faim.
Je précise que j'ai lu le vieil album de 1981 édité chez Glénat. C'est toute la SF que je déteste, des astronefs, des fusées, des nébuleuses, des androïdes, une planète où il ne fait pas bon vivre, de l'exploration galactique... bref des éléments classiques mais avec des personnages inconsistants et une intrigue mille fois vue dans des films de série Z parfois mieux foutus comme le Guerrier de l'Espace, Metalstorm, les Mercenaires de l'espace..j'en passe et des meilleurs. On dirait que ça veut ressembler à la Guerre des Etoiles qui tenait le haut du pavé à l'époque, mais c'est pathétiquement plat et sans intérêt, et tous ces plans d'appareils sont ennuyeux à la longue. Le dessin de Gimenez qui lorgnait un peu vers Moebius en 1981, aurait mérité mieux..
Acheté pour le dessin effectivement. La première version a une belle couv. Malheureusement une fois de plus pour avoir du Gimenez au dessin on doit se coltiner une vaste blague côté scénario. Même pas vaste en fait car on dirait une demi-BD tellement ca se lit vite. Il nous avait fait le coup avec Léo Roa, qui pour le coup ne mérite même pas 1 étoile de mémoire. On est à peu près au même niveau : rencontre de 3 personnages avec 3 compétences distinctes pour monter une expédition super dangereuse. Vu mille fois sauf que là c'est traité en... 3 pages. Je ne raconte pas la fin même si ca me démange de vous dire à quel point c'est mauvais. Comme dirait l'autre... non seulement c'est de la m**** , mais en plus y en a pas assez.
Petite histoire de SF pas désagréable à lire. C’est certes un peu bidon, surtout pour ce qui est de la psychologie des personnages : un gentil droïde, une tête brûlée qui s’appelle Speed (mon dieu), une nana aux commandes (histoire de faire une chtite embrouille), et un employeur pas clair. Bon et puis des zombies, des vaisseaux, un méchant qui veut être maître de l’univers. Mais c’est bien construit, avec un bon dessin (Gimenez oblige). Une impression de déjà-lu en mieux peut-être mais c’est de la vieille bd donc ça passe. J’ai bien aimé les schémas de l’étoile et du vaisseau, repris depuis dans Cryozone ou d’autres bd dans le même genre. Pour les fans de SF et de Gimenez, sinon vous vous ferez probablement chier.
Très décevant. J'adore le dessin de Gimenez mais c'est à peu prêt le seul bon point de ce one-shot (même si Gimenez est capable d'encore plus beau) L'histoire se lit vite, très vite, si vite qu'on s'apperçoit rapidement que ce n'est que du vide. C'est banal à souhait, mais pas mauvais. Juste furieusement banal... Et à la fin, je me suis simplement dit "c'est tout ?!" Allez, juste pour le dessin de Gimenez quoi...
Tout d'abord, en voyant la couverture, ma première impression fût de trouver le titre assez racoleur. Oui, il faut savoir que L'Etoile Noir est sortie en 1982, c'est à dire en pleine période Star Wars. On pouvait donc imaginer que le scénario de cette bd n'aurait été qu'un vulgaire plagia de la trilogie de Lucas. Mais étant fan de S-F et de Gimenez, je me suis lancé, malgrè tout, dans la lecture de cet album et je ne le regrette pas. Sans être transcendant, le scénario de Barreiro est plutôt réussi. Des mercenaires de l'espace sont engagés par un mystérieux inconnu pour une mission à haut-risques. Sur une idée de base assez classique, le scénariste nous offre une histoire de space-opéra fluide et assez agréable à lire. J'ai constaté que Barreiro était très généreux concernant les détails techniques car il nous gratifie de plusieurs plans ainsi que de descriptions de vaisseaux plutôt réalistes. Les protagonistes du récit ne manquent pas d'humour et on suit leurs aventures avec beaucoup de plaisir. Bon, il est clair que cet album a quand même 22 ans et de ce fait, le dessin de Gimenez est moins abouti que son travail actuel. Pourtant, on retrouve déjà une certaine précision concernant les décors et les engins spatiaux. J'ai donc passé un agréable moment en lisant L'Etoile Noir. Si vous êtes amateur de space-opéra et de S-F en général, je pense que ce one-shot vous conviendra !
Bof, sans plus, c'est exactement ce que je pense de cette BD. C'est de la SF toute simple, façon pulp. Il y a beaucoup d'action, des combats, des vaisseaux spatiaux, des monstres morts-vivants, etc etc. Le dessin (Gimenez) n'est pas encore à la hauteur de son chef-d'oeuvre, La Caste des Méta-barons, sans être mauvais. Mais en résumé, l'histoire se lit vite et s'oublie aussi vite. Rien de bien grandiose dans tout ça.
Une petite histoire qui se lit rapidement dont la fin est assez surprenante. Les dessins ressemblent beaucoup à ceux de Gimenez, et ceux qui n'apprécient pas ceux de la Caste n'aimeront pas forcément ceux-ci. L'homme ne peut pas échapper à son destin, il est fondamentalement mauvais mais heureusement qu'il a des gardes fous. Une fois de plus on rencontre un androïde humaniste et utopiste qui préfère sacrifier une partie de son intégrité de métal plutôt que voir l'Univers entre les mains d'un fou.
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