Promethea
La jeune étudiante Sophie Bangs travaille sur Promethea, figure littéraire récurrente qu'elle retrouve dans les poèmes du VIIème siècle, dans les strips quotidiens, dans les pulps des années 30 et dans les comic-books de l'Age d'Or.
ABC Comics Alan Moore Auteurs britanniques DC Comics Esotérisme Super-héros Wildstorm
Partie à la rencontre de Barbara Shelley, la veuve du dernier dessinateur qui ait mis sur le papier les aventures de Promethea, Sophie traverse le miroir et met le pied dans un monde de fantaisie et de féérie. Mais aussi de démons et de sorcellerie...
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Date de parution | Octobre 2000 |
Statut histoire | Série terminée (Réédition en 3 tomes. Edition précédente terminée en 7 tomes.) 3 tomes parus |
Les avis
... Vertige. Où quand un lettré passionné s'amuse, au travers du médium le plus populaire qui soit (ou qui fût, étant donnés les prix, aujourd'hui...), à partager ses connaissances livresques -ses convictions philosophiques, assurément- avec des lecteurs franchement habitués à tout autre chose. Sacré pari de la part de l'éditeur ! Promethea a reçu quelques récompenses mais j'ignore l'étendue de son succès commercial : l'entreprise est tellement "extrême" dans sa réalisation (fond et -surtout !- forme !) qu'il est étonnant qu'elle ait pu être menée jusqu'à sa conclusion : trente-deux épisodes, quand même ! Bien sûr, cela seul représente un succès en soi. L'incapacité dont je souffre à retenir les informations au travers de mes lectures me fait amèrement regretter de n'avoir pas connu la série au travers de sa diffusion mensuelle initiale : avoir à patienter entre chaque parution m'aurait amené à relire chaque numéros plusieurs fois et, fatalement, à mieux en assimiler toutes les perles de connaissances, si artistiquement offertes. ... Mythologie, occultisme et philosophie ; psychologie, psychanalyse et théologie... Rien que ça -entre autres !- et parfois même EN VERS (en V.O.), par dessus le marché ! Soutenu par -surtout !- le dessin académiquement parfait de J.H. William III, et une mise en page assez miraculeusement lisible et "dynamique" malgré un excès -voulu- d'enluminures et/ou même carrément de splash-pages Art-déco (!), Alan Moore -psilocybine faite mots- nous ouvre les portes de "La Connaissance" au travers des aventures formatrices que vit Sophie Bangs, séjour charnel d'une entité faite d'imagination et ayant choisi d'amener le monde à "l'Apocalypse" : Promethea, donc. C'est malin dans la séduction, précis dans l'enseignement -car très didactique et plein de références signées- mais néanmoins assez jouissif dans le traitement car ça reste un Comic-Book : humour et action ne cèdent pas grand choses aux envolées hautement intellectuelles de l'auteur. Tout l'amour de Alan Moore pour cette forme particulière de lecture pour la jeunesse est manifeste justement dans le fait de ce choix de publication. Bien sûr, la réalisation d'une œuvre aussi riche sous la forme d'un album -plusieurs !-, et avec un artiste beaucoup moins "classique" aux dessins, aurait pu aboutir à un monument du neuvième art, révolutionnaire et inclassable. Mais avoir eu le culot d'oser s'adresser à un lectorat beaucoup plus large et -surtout !- beaucoup plus jeune via cette forme de parution, si spécifique et ciblée, amplifie encore d'avantage la puissance subversive de la démarche : très fidèle à lui-même, il pousse l'amateur (pas du tout prévenu !) à se poser des questions assez profondément existentielles et -pourquoi pas ?!- à remettre en questions pas mal de ses idées sur l'existence. Quel terreau plus fertile pour planter ces réflexes de sagesse que l'imaginaire en ébullition de jeunes adolescents ?! C'est décidément très réussi : à la fois utile et beau et absolument original et unique. Preuve renouvelée de la puissance du pouvoir évocateur du médium qui, au travers de ses images/symboles, nous relie à la genèse de sa création, sur les parois obscures des grottes de nos ancêtres... Holà-là ! Je suis encore sous influence, tiens ! ... Un bémol, cependant ; imputable uniquement au fait de la volonté jusqu'au-boutiste de l'auteur de faire adhérer le propos à la forme, dans son traitement artistique : LA TYPOGRAPHIE ! Certes idoine avec le sujet, elle est plusieurs fois assez difficile à déchiffrer et, même, carrément illisible une ou deux fois (genre : en blanc sur fond blanc !). ... Culte, car œuvre de fanatique extrémiste, en fait. :)
Bon ! Ce qui est certain avec Promethea, c'est qu'elle ne laisse pas indifférent. C'est une bande dessinée clivante car elle casse les codes du genre : d'une intrigue classique (une jeune adulte hérite d'un super pouvoir), sur fond d'un travail historique de combinaison des différentes versions du personnage (une spécialité d'Alan Moore), on débouche très rapidement sur un voyage initiatique ésotérique très marqué, qui constitue l'essentiel de l’œuvre. C'est difficile à lire, mais c'est superbement imagé et coloré. Il est d'ailleurs dommage que la dernière version éditée en 3 tomes ne permettent pas de reconstituer les posters finaux cachés dans les éditions d'origine. Je ne m'attendais pas à cette originalité quand j'ai (enfin) reçu Promothea, mais sa conclusion s'ajuste tellement parfaitement avec le déroulé de l'histoire (peut-on parler d'intrigue ?) que l'ensemble est réussi. Alors certes, n'offrez pas Promethea à n'importe-qui et peut-être lisez la avant de l'acheter, mais nul doute que si vous aimez, vous ne pourrez pas ne pas l'acquérir. La nouvelle édition étant de plus très esthétique.
J'ai suivi les conseils d'autres posteurs et je n'ai lu que les trois premiers tomes. Si le dessin m'a ébloui dès le début, il m'a fallu deux-trois chapitres pour m'intéresser à l'histoire. C'est en effet un peu banal au début, mais cela devient plus original au fil des pages. Je trouve le concept autour de Promethea et du thème de l'imagination intéressant. Comme souvent avec Alan Moore le scénario est riche, la narration fluide et le découpage est bien maitrisé. Toutefois, malgré des qualités je n'ai pas réussi à trouver que cela dépasse le stade du "c'est sympathique à lire". Et puis vient le moment où Alan Moore décide de parler de plein de sujets ésotériques en se foutant de raconter une histoire. Cela me rappelle les dernières histoires de La Ligue des Gentlemens extraordinaires. J'ai eu un apercu de l'érudition d'Alan Moore sur le sujet en lisant le tome 3 et si c'est comme ça durant le reste de la série j'arrête là. Déjà l'ésotérisme ne m'intéresse pas, mais en plus le texte m'ennuie.
C'est un peu un sentiment de gâchis qui domine à la lecture de cette série, tout du moins en refermant le 3e tome. Voilà une série bien lancée mais qui part en sucette ésotérique à la fin du 3e opus ; vraiment énervant... A la rigueur, je vous conseille de faire comme moi et de ne lire que les 3 premiers. Car entre le dessin étonnant, mais surtout ses compositions de planche époustouflantes, J. H. Williams III nous en met plein la vue ! Quelle recherche et quelle réussite ! La forme emboite le pas au talent d'écriture de Moore pour nous mettre en image une trame scénaristique toujours aussi élaborée. Mais voilà, à vouloir trop en faire monsieur Moore s'est un peu pris les pieds dans sa tunique. Et en fin de troisième, le voilà qui part dans l'explicatif en oubliant l'essentiel d'un bon comics : l'histoire. A la rigueur qu'il se permette de prendre quelques pages pour nous expliquer son idée, OK, mais la passer en revue toutes les cartes du tarot (c'est à dire 23) pour assoir son scénario, c'est long et lourd. Et malgré les très belles illustrations de J. H. Williams III, ça tourne vite à l'indigeste. Voilà pourquoi je m'arrêterai ici dans cette lecture, histoire d'en garder le très bon de ce début de série, car les avis que j'ai pu lire sur la suite n'ont fait que conforter mes craintes : la suite semble partir dans le même sens. Dommage, car les très bonnes idées qu'il développe à travers ce personnage de Prométhéa, sur la création, l'imaginaire, en jouant sur de multiples références artistiques posent une base très solide à ce comics dont il dynamite le rythme et notre intérêt en passant en fin de 3e tome en versant dans l’explication de texte... A lire pour le début, mais je ne conseille pas l'achat de l'ensemble de cette série.
Après avoir lu tout Promethea, soit les 6 tomes actuellement sortis, je pense être en mesure de me prononcer sur cette série très originale. Tout comme Ro, je n'ai pas directement accroché à cette série. Il m'aura fallu bien entamer le second tome pour y trouver de l'intérêt. Promethea symbolise alors un concept, plusieurs concepts même. J'ai ai à ce propos une impression de too much. A vouloir trop mélanger les symboliques, Moore perd le lecteur. Du coup, Promethea devient une entité abstraite, difficile à définir clairement. Bref, la personnification est un peu loupée selon moi. J'espère mieux cerner Promethea lors d'une éventuelle relecture. Puis, à partir du troisième tome, Moore se charge de nous expliquer les symboles occultes, que la véritable magie réside non pas dans de stupides artifices mais dans les symboles qui nous entourent. Cette partie m'a fait penser à la ballade dans Londres de From Hell, bien qu'ici le message soit plus abscons et surtout plus développé. On y retrouve en vrac signification des cartes de Tarot, astrologie, Kabbale, etc. C'est certes intéressant mais très fastidieux à suivre: Moore aborde énormément de concepts différents sans accorder de répit au lecteur. Mais s'il y a quelque chose que l'on ne peut nier à propos de Promethea c'est sa mise en page. Williams accumule les expérimentations, adapte son style au lieu visité (vu qu'on voyage beaucoup, ce comics regorge de passages très dissemblables visuellement parlant). La narration de Moore est une fois de plus excellente. En clair, le dessin et le découpage contribuent pour beaucoup au dépaysement que l'on peut ressentir à la lecture. Promethea semble être un champ d'expérimentations pour les deux auteurs. Somme toute, Promethea est un comics intéressant qui tente de dévoiler les symboles de l'occultisme. Chacun se fera son opinion, mais en ce qui me concerne j'ai trouvé ça intéressant mais mal amené. Trop concentré, le message ressemble plus à un exposé qu'à un récit à double niveau de lecture. Cet aspect le rend très dur à lire et donc peu distrayant. Si j'en conseille l'achat, c'est surtout pour pouvoir profiter d'une relecture qui permettra d'assimiler les nombreux concepts que tente de dévoiler Moore. Mais faites-vous d'abord une idée sur les trois premiers tomes avant de vous lancer dans l'achat de la série.
Je dois admettre que le simple premier tome de cette série n'avait pas suffi à me la faire véritablement apprécier : j'ai trouvé l'histoire pas mal, assez bien construite, mais pas suffisamment prenante pour me donner l'envie impérieuse de lire la suite. Pourtant, à partir de la moitié du tome 2, le talent créateur d'Alan Moore a finalement vaincu mes quelques réticences et j'ai vraiment commencé à apprécier. Le dessin de J.H Williams III n'est pas mal en lui-même mais surtout rehaussé par une mise en page originale, esthétique et efficace. Les planches sont assez jolies. Le dessinateur s'offre en outre quelques originalités supplémentaires quand par exemple, dans le tome 2, il insère des photos et images de synthèse dans ses planches, en concordance bien évidemment avec le scénario qui explique le changement de styles durant ces quelques pages. Promethea bénéficie donc d'un aspect visuel pas mal et ne manquant pas de personnalité. Quant à l'histoire, elle commence assez doucement, du moins pas de manière à me captiver réellement. Une jeune fille qui se découvre tout à coup des super pouvoirs et des dangereux ennemis, ce n'est pas nouveau dans le genre. Cette jeune fille, Sophie Bangs, vit dans un New York futuriste, avec voitures volantes et quelques super-héros classiques, avec aussi un background assez amusant et fouillé, un peu à la manière de Top 10 du même auteur, avec notamment une bonne dose d'humour concernant par exemple le personnage récurrent du Gorille Pleurnichard dont les citations affichées un peu partout dans la série sont hilarantes. Mais là où Moore commence à faire dans l'originalité par rapport à un comics de super-héros classique, c'est quand il nous apprend que l'héroïne, Promethea, représente un concept, une notion : l'Imagination. Nous ne sommes pas très éloignés ici de la même manière dont Sandman représente le concept du Rêve dans le chef d'oeuvre de Neil Gaiman, à ceci près que Promethea est plus un hérault de son Concept plutôt que le Concept même. Promethea est le hérault de l'Imagination, du monde immatériel des pensées et des idées. Ce thème est abordé de manière assez basique dans le premier tome de la série, représentant Promethea comme une simple super-héroïne combattant les méchants démons avec ses pouvoirs dévastateurs et étant capable également de voyager du monde de la matière jusqu'au monde de l'Imagination, Immateria, sorte de monde où tout est possible et où les contes et les idées sont "réels", un peu à la manière du monde de la série Fables ou encore une fois assez proche du domaine du Rêve de Sandman. Mais dès le tome 2, l'imagination puissante de Moore a su rendre excellent ce qui était pour moi pour le moment une histoire pas très palpitante. Il commence par traiter le monde de l'imaginaire avec brio, n'omettant pas au passage d'évoquer la création même des comics et l'inspiration de leurs auteurs. Et il met en parrallèle Immateria avec le monde de la matière, confrontant les muses de Promethea, des hordes de démons infernaux, des super-héros façon Fantastic Four et des super-méchants façon puissants sorciers et autres sosies du Joker de "Batman". L'intrigue devient très fouillée, intelligente, prenante, très bonne quoi. Je n'accroche pas encore autant à cette série qu'à une autre série de Moore comme Top 10 ou évidemment à un chef-d'oeuvre tel que Watchmen, mais je reconnais dans Promethea l'incroyable talent et l'imagination de Moore. Addendum après lecture des tomes 4 et 5 : Finalement, j'ai abandonné la série. A partir du tome 3 s'entame pour Alan Moore et son lecteur un véritable cours sur l'ésotérisme sous toutes ses formes. Symbôles, avatars, représentations divines, etc... Tout est expliqué avec force mise en scène, hallucinations mystiques, métaphores et presque des schémas. C'est certes instructif mais fastidieux, très dense et lourd à lire. Et surtout, où est l'histoire de Promethea si cela ne devient plus qu'un cours universitaire sur toute la symbolique esotérique ? Je ne me rappelle même plus si j'ai atteint la fin du tome 5 et je n'ai pas acheté le tome 6...
Promethea est une BD particulière. C'est l'histoire d'un personnage mythique incarné selon les époques, par diverses personnes. Ici on suit le parcours de Sophie Bangs et de la Promethea qui partage son être, car selon la personne en laquelle Promethea s'incarne elle est différente. Ce n'est pas un prétexte pour donner des pouvoirs magiques à son héroïne que l'auteur se sert de ce postulat, en fait cette BD est une interprétation sur l'occulte et le mysticisme. Ceci dit l'héroïne au fil de l'histoire passe d'une réalité à l'autre, le monde dit "réel" et le monde de l'imaginaire nommé Immateria. Le monde réel celui que tout le monde connaît est l'aspect matériel de cette réalité, Immateria est un monde différent, les codes et lois du monde réel sont ici abstraits et ne signifient rien, bien sûr ce lieu est dépeint de façon très onirique. De ce fait même si Sophie a en elle les pouvoirs de Promethea et sa mémoire elle n'est pas pour autant dépossédée de la sienne et du coup elle a beaucoup de mal à vivre et comprendre ces changements de réalité. Le premier volume de cette série est une présentation, après une courte intro où l'on voit l'existence de Promethea au travers d'un ancien culte à Alexandrie en 414 après JC, on se retrouve de nos jours avec Sophie Bangs une jeune fille ordinaire qui vit dans une réalité légèrement différente de la notre. Ensuite c'est la rencontre avec le mythe et on entre rapidement dans l'action. La deuxième partie montre la relation que Sophie et Promethea entretiennent et les interactions avec des personnages secondaires mais néanmoins importants. Les actions sont vues d'Immateria par les autres Promethea qui s'interrogent sur les capacités de Sophie. Le deuxième volume rentre dans le vif du sujet c'est le parcours initiatique de l'héroïne avec les Promethea dans Immateria et là ça devient vraiment une Kabbale, la narration à différentes couches sert l'histoire de façon impeccable. Le troisième volume est plus surprenant encore surtout en tenant compte des précédents... Les dessins dans cette BD sont très corrects au niveau de la forme et c'est fouillé il y a de nombreux détails assez plaisants dans les cases, j'ai bien aimé les pensées du singe pleureur par exemple, que l'on aperçoit sur des affiches publicitaires. Mais l'important c'est le découpage et la mise en forme des cases qui est inventive et surprenante à souhait. Ca renforce l'esprit décalé et magique du récit. A noter à la fin du volume deux une petite histoire fort sympathique: La petite Margie au monde des brumes magiques, les auteurs sont Steve Moore et Eric Shanower, indépendante du récit cette histoire gentille porte un peu de fraîcheur après la fin brutale de ce volume. Je pense que (même si ça fait cliché) cette BD est vraiment particulière pas par son thème mais surtout pour sa mise en forme. Et je ne crois pas qu'on puisse avoir un avis partagé dessus, on aime ou pas, point! En plus le sujet est assez casse gueule et c'est parfois complexe. Moi j'aime, de plus c'est une alternative aux autres oeuvres d'Alan Moore. Un seul regret: Je trouve la couverture du premier tome remarquablement laide.
Sur les chaudes recommandations d'un gros geek des comics, et parce qu'il n'y avait pas grand-chose d'autre à se mettre sous l'oeil et les doigts en librairie, j'ai lu le tome 1 de "Promethea", et ça aurait tendance à confirmer que j'ai du mal avec les codes des comics en général. La mise en page est assez superbe, je l'avoue, du genre que j'aimerais voir un peu plus. Cadrages atypiques, originaux, bien utilisés, éléments qui participent de façon récurrente à l'encadrement et à la décoration des pages, ça me plaît vraiment. Par contre, si l'idée de base (une muse qui se balade entre imaginaire et réalité -- enfin je schématise ce que j'en ai retenu) est pas mal quoique pas neuve du tout, on retombe quand même à chaque chapitre dans des combats superhéroïques, et dois-je l'avouer, ça me gave un peu. Et puis bon, le coup des anciennes Promethea qui restent spectactrices et commentent les moindres faits et gestes de la petite dernière, ça rappelle Les Chevaliers du Zodiaque dans la manière de faire, je trouve ça un peu infantilisant. Le dessin est plutôt pas mal, mais les couleurs sont un peu pétantes à mon goût (bobo les yeux). En fin d'album, quelques pages traitent d'Alan Moore et de Williams, c'est plutôt pas mal, mais le ton est à la fois trop enthousiaste et trop intellectuel à mon goût. Enfin, au moins on apprend des choses. :) Conclusion, je lirai sûrement la suite, mais à l'occasion.
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