Druuna

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Note: 2.62/5
(2.62/5 pour 42 avis)

Dans un univers futuriste et violent, Druuna, femme à la plastique exceptionnelle, lutte contre Le Mal, maladie très contagieuse qui transforme les hommes en mutants. Elle a pour allié Lewis, le premier et dernier commandant de la navette spatiale où se déroule l'action, dont l'esprit fait partie du système de commande du vaisseau. Elle se bat contre les hommes qui donneraient n'importe quoi pour un moment de plaisir avec elle, et contre les machines qui s'opposent à sa quête.


Auteurs italiens Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Séries peut-être abandonnées

Lewis parle avec Druuna par télépathie et l'assiste dans ses aventures. Il peut "déplacer" Druuna dans le continuum espace-temps. Druuna, femme... , se réveille dans son appartement. Shastar, mutant et principal opposant à la domination des machines, est enfermé dans les sous-sols. Pour faire reculer la mutation elle se vend au docteur Othoneger pour obtenir du sérum. Cela fait, il lui montre la Vérité, pas celle dictée par les prêtres mais celle qu'il a découvert : les prêtres sont des robots. Shastar l'emmène auprès de Lewis qui lui demande de détruire le cerveau central de la navette pour rendre la liberté aux hommes. Durant les 2 premiers tomes Druuna recherche le cerveau central, pour cela elle est aidée de Lewis, entre autre, qui la guide par télépathie. A la fin du second tome on apprend que Lewis se sert en réalité de Druuna pour mettre fin à son état d'entité biologique prisonnière du cerveau central, il ne supporte plus cette situation, mais en le détruisant, Druuna met en place un système d'autodestruction de l'astronef et donc de l'humanité. Dans les tomes 3 et 4, à bord d'un vaisseau spatial le commandant Williamson a des pertes de connaissances inexpliquées pendant lesquelles il rêve d'un lieu et d'une époque où il rencontre Druuna. Ce vaisseau se trouve à la limite de l'univers et rentre dans son paradoxe, c'est à dire qu'il va se retrouver face à face avec son contraire : le même univers en miroir où les gens sont mauvais. De ce vaisseau, l'astronef de Druuna est visible et l'équipage décide d'aller le visiter. A son bord, ils rencontrent Druuna qu'ils ramènent à leur bord, ainsi que Lewis mais ça ils ne le savent pas, où ils lui montrent l'un des leurs qui est atteint par le Mal, dû au paradoxe. Druuna leur dit qu'elle a connu ça et part en quête d'une solution à ce problème avec Williamson : la recherche du sérum. Dans les tomes 5 et 6 on apprend que la mandragore est un constituant de base du sérum. La mandragore est, pour ceux qui ne le savent pas, une plante issue de la semence des hommes lorsque que ceux-ci sont en train de mourir alors qu'ils sont en érection. Dans le tome 7 Druuna se réveille dans le vaisseau de Will. Il est amarré sur une planète dans une ville inconnue. Là Druuna rencontre des hommes-créatures qui ont intégré la connaissance et le savoir des premiers hommes, les hologrammes par exemple. Pour se multiplier ils utilisent des êtres humains qu'ils transforment en leur "implantant" une créature sur le dos. Un problème existe cependant il n'y a plus d'êtres humains viables et dotés de capacité reproductrice exceptée… Druuna. Sur ce ils essaient de la faire se reproduire malgré elle jusqu'à l'arrivée soudaine d'une machine qui va l'amener jusqu'à Lewis qui est à nouveau intégré au système central de la planète (il est passé de l'astronef de Will au système de la planète) pour essayer de lui redonner une forme humaine. Au fin fond du 7eme tome il y a eu un problème lors de l'humanisation de Lewis, et Druuna part en quête pour retrouver son humanité qu'elle a en partie perdue dans la transformation.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Février 1986
Statut histoire Série en cours (refonte de la série chez Glénat) 6 tomes parus
Dernière parution : Plus de 3 ans

Couverture de la série Druuna © Glénat 1986
Les notes
Note: 2.62/5
(2.62/5 pour 42 avis)
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29/09/2001 | Kael
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L'avatar du posteur Tomdelapampa

Ça fait un bout de temps que je voulais me pencher sur Druuna, une héroïne que je connaissais sans avoir touché un seul des ses albums. J’ai bien fait tous mes devoirs en lisant l’ensemble des intégrales. Si je comprends l’aura dont jouit le personnage (sans mauvais jeu de mot), je n’y ai pas été vraiment sensible. Rien à dire sur le dessin (et sur la représentation de l’héroïne ;) c’est le point fort de la série. Par contre niveau scenarii, c’est une autre paire de manches, plus j’avançais dans la série plus les albums me tombaient des mains. Je passe rapidement sur l’univers et situations glauques (viols, tentacules …), un style très année 80, je n’en suis absolument pas friand mais ce n’est pas ça qui me rebute le plus. En fait, les 2 premiers tomes se laissent encore lire avant que la suite ne me perde complètement, le rêve dans le rêve de l’illusion ?! Je ne pipe plus rien à l’histoire, l’impression qu’on avance pas que c’est le même scénario resucé encore et encore. Oh Schastar, Oh Will, Oh Lewis !! … même combat, je ne sais plus où je suis et ça me dérange. Ça se perd comme dans les pires albums du vagabond des limbes (et pourtant je kiffe les débuts de cette série). Vraiment dommage !! Les derniers tomes innovent en proposant des univers proches du far west ou de l’heroic-fantasy mais je n’y étais déjà plus du tout. J’ai quand même apprécié le beau clin d’œil à Moebius. Je retiendrai de mon aventure un dessinateur de grand talent mais un piètre scénariste. Pas pour moi mais je pense que c’est à essayer pour tous amateurs du 9eme art, une héroïne qui traverse les époques. Au final j’ai sans doute plus apprécié les cahiers graphiques en fin d’album que le tome proprement dit.

07/06/2024 (modifier)
L'avatar du posteur Noirdésir

Serpieri est un dessinateur au talent fou ! En tout cas j’adore son trait énergique, d’un réalisme efficace et très agréable à l’œil, qui joue sur une succession de petites hachures pour restituer formes et expressions (du corps et du visage). Son talent éclate dans ses nombreuses séries Western (dont la plupart viennent d’être rééditées par Mosquito), et, bien évidemment, dans des représentations érotiques, en particulier lorsqu’il s’agit de dessiner de superbes femmes (voir les couvertures de Femmes de l'ouest et de L'Homme Médecine). Mais c’est surtout dans Druuna qu’il va donner libre cours à ce penchant érotique, autour justement du personnage éponyme (qui vampirise la série, qui s’appelait à l’origine Morbus Gravis). Il faut dire qu’elle occupe une bonne partie des cases, et que sa plastique ne la fait pas passer inaperçue. D’autant plus que Serpieri la déshabille très souvent, nous montrant ses fesses et ses seins – qu’elle a opulents et jolis ! Si le décor et l’intrigue incarnent une SF post-apocalypse crasseuse et noire (les deux premiers albums sont plutôt intéressants – le premier surtout, assez équilibré et intriguant), Serpieri va peu à peu abuser de l’érotisme de Druuna (et de scènes de sexe violentes et gratuites parfois, la donzelle subissant des relations avec des créatures dégénérées), alors même que le scénario devient moins clair et intéressant. Il aurait sans doute fallu resserrer l’intrigue sur moins de tomes, et mieux travailler le scénario. Reste le dessin de Serpieri, dont je suis grand amateur, et qui fait que j’arrondis aux trois étoiles. Note réelle 2,5

30/08/2022 (modifier)
L'avatar du posteur bamiléké

Comme c'est drôle, le même jour deux avis diamétralement opposés sur cette série. C'est toute la beauté d'un site de libre expression. Amateur d'érotisme, j'étais intrigué par les extraits que j'en avais lu. Je n'ai pas du tout aimé. Encore un monde dystopique à la sauce des années 80. Décidemment certains auteurs de ces années là fantasmaient sur un match Pershing vs SS20. Ici nous avons une variante dendritique et tentaculaire. Pourquoi pas. Abondance de couleur sépia pour renforcer le côté sanguinolent. Voila notre Druuna très ronde et très belle, pas trop farouche qui se retrouve au milieu d'une horde de tortionnaires, de pervers, de contaminés, de robots de mutants dégueulants . Il y en a tellement que je ne sais plus qui tape sur qui. Viols, tortures en série. Je ne supporte pas le sexe soumis à la violence. Il y a assez de cas dramatiques dans la réalité pour peupler son imaginaire de cette façon. A un moment Druuna nous dit " Ne fais pas attention à toute cette jacasserie mystico-religieuse." ( Morbus gravis p 51). C'est bien mon intention.

13/11/2021 (modifier)
Par eternaute
Note: 5/5

Je m'aperçois en vieillissant que je me moque éperdument des histoires du moment que le dessin est appréciable, Serpieri est un des grands dessinateurs de BD de ces années, aux même titre que les grands métal hurlistes. Ayant découvert la BD encore très jeune, elle a également le charme des premiers fantasmes, je ne comprends pas qu'on y voit de la perversité, cette série est fun, de bout en bout. On peut lire beaucoup de critiques se demandant pourquoi Serpieri a gâché son talent là dedans. C'est justement ce qui en fait une série culte, il en avait simplement envie. Il était LIBRE de le faire. Tous ces efforts, ces croisillons, ces heures de dessins à s'abimer la cataracte, simplement pour dessiner des femmes à poil, c'est du grand art! C'est avant tout la démarche d'une personne qui ne se prend pas au sérieux et aucun des fantasmes de la bande dessinée ne doit l'être. Arrêtons le premier degré et mettons le en prison par pitié.

13/11/2021 (modifier)
Par Cacal69
Note: 3/5
L'avatar du posteur Cacal69

Je ne possède cette série que pour Serpieri. Il sait dessiner le bougre. Serpieri a de l'or au bout des doigts. Oui il sait mettre en valeur le corps des femmes, sous son crayonné, elles sont sensuelles, désirables et touchantes. Mais il fait bien plus, il suffit de regarder les décors, l'architecture et les vaisseaux spatiaux, c'est bourré de détails. Magnifique. Les scènes érotiques sont criantes de vérité. Son trait hachuré donne de la vie au récit et son découpage rend le tout dynamique. Pour l'histoire en elle-même, c'est un peu Tchernobyl. Le néant. Érotisme prononcé et violence sont les éléments majeurs du synopsis. A ne pas lire, juste à posséder si vous adorez Serpieri.

30/09/2021 (modifier)
Par Yann135
Note: 4/5
L'avatar du posteur Yann135

L’enfer vous connaissez ? Je crois bien que cela correspond à l’univers de Druuna. Un endroit où la nature n’existe pas, un monde dans lequel vous ne rencontrerez que des gueux survivants dans la peur d’être contaminés par un virus mortel, ou plus terrible encore, de terribles mutants très agressifs. Vous rajoutez une puissance tyrannique obscure qui distille avec avarice le sérum salutaire. Drunna n’aura d’ailleurs de cesse de trouver ce vaccin pour sauver son ami, que la maladie a rendu monstrueux. Le dessin de Paolo Serpieri est magnifique avec une sensualité très proche de celle de Milo Manara, le maitre incontesté de la bande dessinée érotique. Drunna est une femme plantureuse aux courbes voluptueuses qui évolue dans un monde glacial et austère, un peu à la mode Mad Max. Plastique chaude contre univers noir, cette dualité brouille les sens pour le plaisir du lecteur que je suis. J’adore. L’art de l’érotisme au pinacle de la BD ! Le scénario n’est pas dès plus élaboré. Perso je m’en fous un peu. Je plonge avec délice dans l’univers de Paolo Serpieri même si pour certaines planches, ce n’est plus de l’érotisme mais bien de la pornographie pure et dure. J’avoue avoir feuilleté un peu en secret cette BD lors de sa sortie en 1986 avec la crainte que l’on me surprenne d’acheter ce type d’album. Et j’ai craqué bien évidemment ! On ne peut qu’être bouleversé par cette héroïne sensuelle bien en chair, à la plastique irréprochable, arrogante de santé qui se démène dans un monde sombre et énigmatique. Entre cauchemar et érotisme torride, voilà un peu un résumé succinct des aventures de Druuna. Je recommande vivement.

14/11/2020 (modifier)
Par PatrikGC
Note: 4/5
L'avatar du posteur PatrikGC

À tout point de vue, cette BD est fort bien dessinée, il serait réducteur de ne limiter le coup de crayon de Serpieri qu'aux courbes féminines, même s'il les réussit fort bien, c'est incontestable. Les machines, les décors, les monstres ne sont pas négligés. Parlons à présent du scénario. Je serais enclin à dire "quel scénario" ? Nous sommes en présence du rêve d'un rêve, ce qui est fort pratique pour l'auteur. Une impasse ? Et hop, on se réveille et on replonge dans un autre arc narratif. Il y a bien un fil conducteur, mais il ne navigue pas en ligne droite. Je pense que Serpieri s'est fait plaisir, en se disant "tiens, j'ai envie de dessiner ce truc", tout en conservant un minimum de trame continue. Ces albums ne sont pas à mettre dans les mains de jeunes enfants car (mis à part l'érotisme omniprésent) les scènes de contrainte, de torture et autres décès violents ne manquent pas. Sans oublier une sacrée dose de perversité... Si je devais résumer : nous avons affaire à toute une série de fantasmes pas très bisounours, dans laquelle l'héroïne ultra charnelle promène son anatomie dénudée, fricotant avec pas mal de monde et échappant 36 fois à la mort ou autres situations pas très reluisantes. Le scénario est ténu, pervers, alambiqué, mais le coup de crayon est fantastique ! Nota : ma note reflète surtout le graphisme qui à lui seul mérite 5 étoiles. Dommage que le scénario ne soit pas à la hauteur.

13/11/2020 (modifier)
Par r0ud0ud0u
Note: 3/5
L'avatar du posteur r0ud0ud0u

1 pour le scénario, 5 pour le dessin mais, pour une bonne BD il faut les 2 ingrédients... Pour le scénario on est dans le bof, bof. Pour caricaturer, Druuna est dans le rêve d'un rêve (son rêve ?) où elle rêve qu'elle rêve et ainsi de suite, bref on sait pas trop où on va, Druuna non plus, mais est-ce là l'essentiel ? Reste le coup de crayon du maître, exceptionnel de mon point de vue, d'un réalisme hallucinant au niveau des corps, avec un univers post apocalyptique sympa. Je ne conseille pas forcément la BD niveau scénario mais elle mérite d'être connue ne serait-ce que pour le côté artistique de l'oeuvre. Pour ma part, je vais la garder dans ma collection (actuellement de 1 à 7 qu'il faut que je complète). Je vous laisse apprécier ou pas par vous même.

09/05/2019 (MAJ le 15/05/2019) (modifier)
Par herve
Note: 4/5
L'avatar du posteur herve

tome 0 : les origines Dans cet album inédit, Serpieri s'offre une pause bucolique dans la vie de Druuna, mais qui n'est pas sans danger. En rendant hommage à Moëbus dans les premières pages de cette aventure, Serpieri nous offre des planches magnifiques. Ce récit, certes muet, sur près de 70 pages peut décontenancer certains lecteurs mais, pour ma part, je suis resté sous le charme, avec le dessin de Sepieri, qui se met lui même en scène , comme il le fera dans les albums suivants. Ce préquel est d'une qualité graphique indéniable, et il est suivi d'une histoire inédite de 7 pages qui porte les prémisses des aventures de Druuna. Un très bel album, qui bénéficie d'une très belle édition chez Glénat, qu'il faut vraiment souligner. intégrale 1 : Morbus Gravis/Delta J’ai découvert cette série assez tardivement et j’avais déjà l’ensemble des albums dans l’édition « «Bagheera ». Mais avec la réédition, en intégrale, chez Glénat, j’ai de nouveau craqué. Il faut souligner la qualité de cette nouvelle intégrale, qui en plus du récit, propose « des archives » quasi inédites : des planches en noir et blanc, des illustrations, des couvertures, des croquis, bref que du bon. Pour ceux qui ne connaissent pas encore « Druuna », il faut rappeler que cette belle femme, véritable Vénus callipyge, (Serpieri lui avait donné, au début, les traits de Valérie Kaprinsky , en créant son héroïne) vit des aventures incroyables dans un monde post apocalyptique, où se mêlent mutants, prêtres, des robots, scientifiques déjantés et monstres de tout genre. Dans ce premier cycle « Morbus Gravis/Delta », Druuna essaie d’aider Shastar, mutant, à se procurer du sérum pour échapper à une transformation inéducable. Elle devra évidemment jouer de son corps pour arriver à ses fins et va se retrouver plonger dans un combat entre un ordinateur central et un certain Lewis, qui va l’aider par télépathie. Ces deux premiers volumes sont assez violents et surtout le sexe y est très présent. D’ailleurs cette intégrale est à réserver à un public très averti. Serpieri est un maître pour dessiner les courbes de Druuna, ce qui fait de cette série un must dans le genre de la bande dessinée dite « pour adulte ». Contrairement aux prochains albums de Drunna, qui s’enfonceront, au fur et à mesure, dans un scénario presque incompréhensible, « Morbus Gravis » et « Delta » reposent sur un scénario linéaire et abordable. Bref, un dessin magnifique au service d’une histoire de science- fiction qu’il faut avoir lu au moins une fois dans sa vie. intégrale 5: celle qui vient du vent Avec ce dernier opus, que l'on attendait plus, Serpieri nous surprend à plus d'un titre. D'une part, le dessinateur renoue avec le style de ses bd sur les western avec l'apparition d'indiens et de chevaux dans l'univers de Druuna (Seul le personnage du gnome nous rappelle l'univers futuriste où Druuna évolue habituellement) et ensuite, en ne présentant aucune scène de sexe. Que les voyeurs passent donc leur chemin ! Il leur faudra attendre le cahier graphique, présent en fin d'ouvrage, pour découvrir des esquisses plus osées de cette célèbre créature. Il réalise également ici un grand écart en reprenant le personnage d'Anima, véritable clone de Druuna et premier opus de la série (mais l'avant dernier paru). Serpieri fait l'effort d'avoir commis un scénario, certes complexe, mais qui pour une fois, se tient Un très bel album où Serpieri nous prouve que malgré ses 75 ans, sait toujours aussi bien dessiner le corps des femmes. Cet album s'achevant assez brutalement, mérite évidemment d'avoir une suite que j'ai hâte de connaître.

30/09/2017 (MAJ le 10/05/2019) (modifier)
Par tonioT900
Note: 1/5

Eh bien, je viens de lire les avis les plus sévères et je suis ... d'accord! Certes le personnage de Druuna est plus que plantureuse et sur le plan de la maîtrise du trait, le talent est présent mais le scénario et les textes font mal aux yeux (sans parler des couleurs qui nécessitent après lecture un contrôle de vision des couleurs chez l'ophtalmologue). Ca ne passe pas. En film, le soir tard même sur une chaine publique cela ne vaudrait pas le coup de veiller. J'en ai lu 4 tomes et cela ne se fera qu'une fois.

13/02/2018 (modifier)