Wolverine - Jungle Saga
Wolverine version "dans la jungle" se bat contre Apocalypse, le premier mutant.
L'Antarctique Les petits éditeurs indépendants Marvel Super-héros Univers des super-héros Marvel Wolverine X-Men
Une oasis est cachée dans le désert glacé de l'antarctique. Une oasis de chaleur où s'étend une jungle luxuriante et où résonnent les cris d'oiseaux inconnus. Dans cette terre sauvage, d'étranges tribus d'hommes primitifs chassent les grands sauriens disparus depuis des millions d'années. C'est un lieu de mystère. Et voici que dans ce monde perdu arrive Wolverine, à la recherche de réponses... et il ne rentrera pas chez lui tant qu'il ne les aura pas trouvées...
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Date de parution | Janvier 1998 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
À l'occasion de l'entracte d'une comédie musicale à Broadway, Logan tombe dans un piège qui le conduit à se rendre dans la Zone Sauvage, pour retrouver le commanditaire. Il est accueilli comme un dieu venu du ciel par une peuplade indigène. Walter Simonson s'offre une aventure à l'ancienne, composée de deux parties : la première où Logan joue son rôle de divinité mal embouchée, la seconde où il se bat contre un ennemi récurrent des mutants Marvel. C'est linéaire, basique, sans prétention, avec une note d'humour parfois malvenue. Difficile de croire à ce supercriminel souriant de toutes ses dents, en expliquant à Wolverine son plan machiavélique. Mike Mignola a déjà pris l'habitude de tailler ses personnages à grands coups de burin, mais il n'a pas encore adopté l'usage intensif d'aplats de noir massifs et primitifs. D'un coté son style se marie bien avec cette aventure dans la jungle (avec dinosaure), de l'autre il ajoute lui aussi un coté humoristique peu crédible.
Léger, léger... Mignola reste très joli à regarder, comme toujours ; et permet d'aller au bout de cette historiette au scénario/prétexte à étoffer le background (un peu à l'éclairer aussi, peut-être ; mais, dans ce cas-là, c'est franchement raté ?!) d' Apocalypse, le super-méchant tout-puissant plusieurs fois millénaire créé par Simonson comme antagoniste principal de l'équipe de mutants X-Factor ; série qu'il orchestre mensuellement. Et, oui : c'est bien du Simonson ! Rapide, punchy et absolument dénué de subtilité et de profondeur : les personnages ne font que réagir et il ne faut pas espérer la moindre trace d'hésitation -ou même de jugement- de leur part. C'est trop court ou pas assez serré, c'est selon (!) ; et l'affrontement final n'a que peu d'intérêt. M'enfin, Wolvie aura tout de même eu le temps de semer sa petite graine -malheureusement très mal cultivée par les auteurs qui s'empareront de sa destinée, par la suite !
Un comics que j'ai lu pour le nom des auteurs, surtout Walter Simonson comme scénariste. Au final, je suis un peu déçu par l'histoire, mais peut-être que j'en attendais un peu trop. Cela reste tout de même un comics divertissant et sympathique, mais qui est un peu trop court pour être vraiment mémorable. On est loin des histoires épiques qu'il faisait dans Thor. Le meilleur moment c'est la confrontation entre Wolverine et le méchant de l'histoire. Le dessin de Mignola est très bon, surtout pour créer une ambiance dans l'histoire. J'ai tout de même pas trop aimé comment il dessine le visage de Wolverine.
"Wolverine - Jungle Saga" a un principal défaut pour un comics, être trop court avec ses 48 pages. Ce récit est très agréable à lire, l'environnement est dépaysant, et l'histoire humaine et bien narrée. Au dessin, Mignola fournit une copie correcte. C'est efficace et simple, il n'y a rien de superflu. Wolverine est un personnage intéressant et plaisant à suivre. Les divers auteurs qui se sont succédés, ont su lui apporter une personnalité complexe et attachante. L'édition Bethy est de qualité avec son cahier introductif qui prépare le lecteur avant d'entamer le récit. Ce n'est pas le meilleur des récits de Wolverine mais il est divertissant.
C'est le nom de Mignola qui m'a amené à lire cette BD. Son graphisme n'y est pourtant pas encore à la hauteur de la série Hellboy qu'il ne créera que plus tard. Moins de contraste, moins d'aplats de noir et de jeux de lumière. Le style est ici un peu classique mais on y retrouve l'agréable patte de son auteur. Le scénario, quant à lui, est bidon au niveau de son intrigue. Et pourtant, je l'ai trouvant plaisant et divertissant. Il met en effet en scène un Wolverine qui prend momentanément un rôle de demi-dieu au sein d'une tribu d'hommes primitifs, avec quelques touches de Rahan dans le déroulement de l'histoire. L'ambiance est assez réussie. Il ne faut pas chercher trop loin la profondeur du scénario ni l'intérêt du combat final avec le gros méchant, mais pour le reste j'ai passé une vingtaine de minutes de lecture agréable.
Une histoire de Wolvie qui sent bon la petite quète initiatique sans trop d'envergure mais assez sympathique. Pour ce célèbre personnage, le style d'histoire utilisé ne varie guère, c'est souvent la recherche de ses origines par le héros (enfin maintenant qu'elles ont été dévoilées dans le bien nommé Wolverine - les origines, c'est un peu moins le cas), soit le héros tente de se dépasser en affrontant un adversaire le dépassant, l'obligeant à transcender son côté animal. Bien sûr pour bien illustrer sa partie sauvage, Wolvie se retrouve souvent pour ses histoires solo dans la jungle, voir une jungle urbaine. Cette histoire correspond donc assez bien au petit poilu et se lit sans déplaisir, même si l'ensemble est plutôt bourrin. Il vaut mieux être fan du personnage tout de même. Les dessins, c'est Mignola, il a ses clients, même si cette oeuvre est antérieure à Hellboy, le style angulaire et caractéristique de Mignola s'affirmait déja. Donc une aventure de Wolverine gentillette et typique qui se lit sans déplaisir.
Voilà un scénario très plat et complètement dans la mouvance du mythe comics de superhéros. Wolverine débarque un peu comme une fleur dans cette jungle, puis il se bat, puis il se re-bat, puis il se re-re-bat avec Apocalypse, le premier mutant de l'humanité. Encore une fois, on pourrait en sourire mais c'est plutôt pas mal foutu et surtout les dessins de Mignola sont là... Et Mignola ben, c'est quand même un encrage à part (normal il a été encreur pro pendant 1 an au début de sa carrière) et un trait typique, très personnel. Le père de Hellboy a dessiné ces planches avant de créer son personnage fétiche et on retrouve déjà quelques idées directrices. Apocalypse est bien à sa place dans son rôle de méchant, avec un petit parfum de science fiction cybernétique façon pulps (dans l'esprit tout du moins) pas désagréable du tout. Pas aussi emblématique que d'autres one-shot mettant en scène Logan mais intéressant quand même
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