Spider-Man - Bleu (Spider-Man Blue)

Peter Parker découvre les émois de l'amour mais doit rester concentré pour conduire sa moto et combattre les méchants...
Les débuts des Super-Héros célèbres Loeb - Sale Marvel New York Spider-Man Super-héros Univers des super-héros Marvel
Depuis la mort tragique de son oncle dont il se sent responsable, Peter Parker vit seul avec Tante May. En parallèle à ses cours de sciences, il combat les vilains sous l'identité de Spider-Man. Première victime : le bouffon vert qui n'est autre que le père de l'un de ses amis. Et les amis justement, Peter Parker va s'en faire dans cette aventure notamment des amies : la blonde Gwen dont il est amoureux, lui dont tout le monde se moque, le grand dadais pas très marrant; mais aussi Mary-Jane, intrigante et provocante brune. Pourtant pas facile de mener à bien une vie tranquille d'étudiant quand on a des responsabilités face aux criminels de la ville...
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Date de parution | Mai 2003 |
Statut histoire | One shot (parallèle à "Hulk gris" et "Daredevil jaune") 1 tome paru |
Les avis

Idéal pour apprendre à connaitre Spider-Man, ce récit fonctionne comme un résumé essentiel de sa vie. Peter Parker rend hommage à Gwen Stacy, ancienne petite amie tuée par le bouffon vert. Ce parcours nostalgique rappelle toutes les grandes phases de la vie de Peter Parker depuis qu’il a son pouvoir. Il y rencontre plusieurs adversaires classiques, mais c’est surtout les liens amicaux et amoureux qui sont disséqués dans ce récit. La mise en image est de qualité, très toonesque avec de belles couleurs. Il est difficile de ne pas tomber sous le charme de « Spider-Man – Bleu ». On découvre mieux le personnage, son environnement et ses fréquentations. Ce récit est presque un passage obligé pour le lecteur novice qui prend le train en cours. En plus d’être instructive, la lecture est très plaisante.


Note approximative : 3.5/5 Après DareDevil - Jaune que j'avais plutôt bien aimé, j'ai voulu tester Spider-man : Bleu des mêmes auteurs. Le concept des deux albums est le même et on retrouve beaucoup de similitudes. Dans l'un comme dans l'autre, le récit raconte une portion des débuts de ces super-héros. Et dans l'un comme dans l'autre, la narration est structurée en chapitres s'entamant par les paroles du héros à la mémoire d'un amour disparu. Le dessin de Tim Sale me plait, même si je le trouve ici un peu plus brouillon que dans certaines de ses autres oeuvres. Idem pour les couleurs qui ne sont pas mauvaises mais sans plus. Le récit est simple mais très bien construit. Il se place dans la trame des classiques de Spider-man, pas la version revisitée par les Ultimates et les films récents. C'est bien de Gwen Stacy que Parker est amoureux à ce moment là, pas (vraiment) de Mary-Jane. Harry Osborn quant à lui n'a rien du beau gosse sportif qu'on voit dans les versions récentes. Bref, on se sent dans l'ambiance des bons vieux Spider de l'époque de Stan Lee, Ditko et Romita Sr. L'histoire raconte les débuts de Spider-man, quand il est déjà super-héros depuis quelques temps quand même, sans chercher à créer une intrigue vraiment compliquée. Juste une suite d'évènements plus ou moins importants, de combats contre des ennemis plus ou moins dangereux, et un final qui est juste dans la continuité du reste sans chercher de grand affrontement ou de révélation surprenante. C'est plaisant à lire, bien raconté, attachant. Et la fin est relativement touchante. Bref une bonne lecture même si elle ne marque pas véritablement les esprits, si ce n'est en laissant quelques bons souvenirs. Un bon Spider-man.

Voilà un épisode en one-shot très sympathique des aventures de l'homme araignée. Peter Parker y apparaît humain et pas gnan gnan ni fleur bleue comme dans d'autres aventures passablement réchauffées. Loeb signe là un scénario agréable et efficace avec une véritable intrigue. Bien entendu, il y a de nombreux personnages, comme toujours chez lui, mais il ne s'agit pas simplement d'une bête galerie de caractères plus ou moins réussis mais sans âme (rien à voir donc avec sa dernière intervention sur la série régulière Batman, avec Jim Lee) Le dessin de Tim Sale colle parfaitement à l'ambiance, à la fois cool et appliqué, c'est assez difficile à expliquer, mais le résultat est classe et lumineux. On pourra regretter que le bouffon vert n'ait pas un rôle plus important dans l'histoire et que finalement la présence de son fils Harry ne soit presque qu'anecdotique. Mais Loeb place quand même quelques un des ennemis traditionnels du héros, pas toujours avec élégance ni finesse (c'est un peu le défaut récurrent de Loeb, quand même). Quoi qu'il en soit c'est efficace, et l'histoire, de Peter Parker elle, reste suffisamment bien racontée pour être toujours plaisante.
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