Le Manoir de l'horreur (Zangekikan)
Bienvenue au manoir de l'horreur. Notre première séance s'appelle "communication", c'est une histoire de téléphone.
Akata / Delcourt Asahi Sonorama Fantômes L'horreur en bande dessinée Seinen
Une jeune fille reçoit un coup de téléphone d'un ancien ami qui insiste pour lui parler. Mariée, gênée, elle raccroche. Le téléphone resonne. Elle reraccroche... Et quand elle apprend que son ancien ami s'est suicidé la veille... Araignées humaines, jalousie de fantômes, monstre enfermé au fond d'une cave, lac maudit, concierge qui prend un étrange plaisir à faire à manger à ses locataires, c'est le petit panorama qui vous attend dans le tome 1.
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Date de parution | Février 2004 |
Statut histoire | Histoires courtes (Série terminée) 10 tomes parus |
22/02/2004
| ThePatrick
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Les avis
Franchement la déferlante de manga d'"horreur" qui arrive chez nous ces temps ci ferait mieux de rester au pays du soleil levant... Mais qu'est ce que c'est nul ce truc!!! Autant Tomié ou Spirale, bon on peut y trouver un certain coté dérangeant qui peut être original... Mais là, punaise... C'est rare que je n'arrive pas à terminer une BD (ou un manga) mais là je vais vite fait le rapporter à mon libraire, s'il ne me rembourse pas c'est pas grave, c'est franchement trop nul ! Une suite d'histoires aussi nulles les unes que les autres avec des dessins super moches... Rien pour rattraper ce gâchis... Une ambiance qui essaie de retrouver celle de chef-d’œuvre nippons du genre (oui j'ai adoré Ring et je trouve ça nul archi nul !)
J’ai enfin lu quelques histoires du Manoir de l’horreur (à savoir le quatrième tome) malgré les avis défavorables lus ici. Je vous assure que ce n’est pas par esprit de contradiction mais, je n’ai aucune honte à dire que ce fût une lecture intéressante. C’est sûr, dans le genre, on est loin en-dessous de Spirale, mais j’aime bien le côté très basique de ces histoires, ce dessin simple (pour ne pas dire simpliste). Parce que toute cette simplicité ramène chaque histoire à quelques axiomes de base, ramène le dessin à une suite d’images presque abstraites. Et puis surtout j’aime le découpage de l’auteur, ça n’a l’air de rien mais son découpage est très bon et très particulier. C’est vrai, la plupart de ces histoires sont prévisibles… C’est le gros défaut de l’œuvre… La psychologie des personnages est forcément sommaire et je ne pense pas ressentir l’envie irrésistible de lire les 3 autres tomes dans la semaine. Mais qui sait, peut-être à l’occasion… Le parfum particulier qui se dégage de ces pages suffit déjà à mon plaisir… A lire mais pas forcément à acheter
Non, je vous promets que je n'ai aucun parti pris contre les mangas. Là il faut dire ce qui est : nous sommes face à une nullité de la pire espèce (et je pèse mes mots). Je ne dis pas grand chose sur le dessin en général, n'étant pas connaisseur, mais il faut avouer que celui-ci est moche, pas élaboré, on dirait parfois encore un story-board. L'action est mal fichue et trop rapide, voire parfois incompréhensible. Et pour couronner le tout, je me suis embrouillé dans les noms japonais... Bref, il faut suivre. Mais pour ça faut en avoir envie... Et mis à part une ou deux (3 maximum sans rire) histoires pas trop mal, il faut reconnaître que les scénarios sont nuls et ridicules. Ils virent au n'importe quoi, au nanar, au navet, on en viendrait presque à rire. Bref, fans de Manga d'horreur, passez votre chemin !
Pas terrible. Après le surprenant Spirale, j'attendais avec impatience un bon manga d'horreur, et j'ai guetté l'arrivée du Manoir... Malheureusement, la sauce ne prend pas. Les historiettes ne présentent souvent aucun intérêt, trop courtes, mal développées, chute trop rapide... Autant de défauts qu'il y avait de qualités dans Spirale. La mise en scène rappelle Green Manor, avec un fil conducteur, mais il est ridicule. Or, ce qui est ridicule ne fait pas peur.
Après La femme défigurée, voici donc "Le manoir de l'horreur". Un peu dans le même genre, sauf qu'ici les histoires sont vraiment courtes : sur 200 pages, il y en a 9 (dont une en trois chapitres). Cela se ressent malheureusement énormément sur le rythme et l'élaboration : pas le temps de développer, de créer une ambiance, un mystère, il faut poser rapidement les bases de l'énigme et presque aussitôt conclure... Autant dire que l'ambiance "fait ce qu'elle peut" pour être angoissante, sans y réussir. :o/ Les idées de base ne sont pas mauvaises, elles rappellent même un peu celles qu'on peut trouver dans "Les contes de la crypte"... Mais comme leur mise en place est trop hâtée, on est forcément déçu, et si on ne devine pas à l'avance ce qui se passe, c'est qu'on ferme les yeux vraiment très fort. Conclusion : c'est trop rapide, ça ne fait pas peur, bof.
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