Celles qu'on regrette
Huit histoires d'amour conjugées au passé. Mélancolie, quand tu nous tiens...
Bichromie Les petits éditeurs indépendants Love Stories Tout petits albums Treize Etrange
Celles qu'on regrette ont dans nos mémoires, des surnoms un peu bêtes, des noms de fleurs bizarres.
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Date de parution | Janvier 1998 |
Statut histoire | Histoires courtes 1 tome paru |
Les avis
Lu et acheté dans sa version de 1998. Le noir et blanc ne me dérange pas mais ça m’énerve un peu quand une réédition est enrichie (ex : le grand méchant renard), en tant que 1ers lecteurs je me sens biaisé. Dans le cas présent je n’ai donc eu droit qu’à la moitié des histoires. Passé ce petit coup de gueule gentillet, l’album se lit donc vite mais reste très attachant à mes yeux. ArzaK le décrit très bien, J-P Peyraud a un certain don pour narrer des petits moments. C’est très léger. Ça fleure bon les années 90, pas encore de portable, de réseaux sociaux, de loi Evin … Ça peut être barbant comme poétique, sur moi ça passe bien.
Peyraud propose ici de petites histoires d'amour conjuguées au passé. Ces récits inachevés ont eu leur petit effet sur moi. Si je dis "inachevés", c'est au sens propre du terme. N'attendez pas de Peyraud qu'il donne dans la romance pure, dans la passion ou dans l'humour, c'est dans le fugace qu'il officie, la sensation passagère, la tranche de vie, l'instantané, sans développement ni vraie trame narrative. Selon vos attentes de lecteur, ça passe ou ça casse. A essayer.
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