Devilman
Devil Man est un récit sombre et gothique. Il met en scène un personnage mi-démon mi-humain. Non pas un démon qui s'est emparé de l'âme d'un humain, mais au contraire un homme qui s'est emparé du corps du démon pour protéger les autres hommes.
Diables et démons Kodansha Les petits éditeurs indépendants Shonen
Devil Man est un récit sombre et gothique. Il met en scène un personnage mi-démon mi-humain. Non pas un démon qui s'est emparé de l'âme d'un humain, mais au contraire un homme qui s'est emparé du corps du démon pour protéger les autres hommes. Le jeune (et plutôt chétif) Akira est embarqué par son ami Ryo dans une histoire particulière... Autrefois la Terre était peuplée de démons, des créatures aux pouvoirs effrayants, et qui avaient la capacité de fusionner (avec des plantes, des animaux, voire entre eux), pour acquérir de nouveaux pouvoirs. Le père de Ryo, éminent scientifique à présent décédé, a découvert que ces démons ne sont pas morts, mais qu'ils attendent sous la glace un réveil qui s'avère proche. Pour lutter contre eux, une seule solution : devenir l'un d'eux, le plus puissant possible.
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Genre
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Date de parution | Août 1999 |
Statut histoire | Série terminée 5 tomes parus |
Les avis
2.5 Je continue mon exploration de l'oeuvre de Go Nagai avec Devilman. Si je me souviens bien, c'est censé être la grande d'oeuvre de l'auteur, mais ses séries mecha ont été plus populaire. Je n'ai rien à dire contre le dessin rétro que j'aime bien. J'ai surtout des problèmes avec le scénario. Le début n'est pas très palpitant. On dirait que le scénario n'est qu'une suite de combat avec pleins de gore. Si je n'avais pas lu l'avis de ThePatrick, j'aurais abandonné au deuxième tome. La suite est un peu mieux quoique je n'irais pas jusqu'à dire que c'est passionnant à lire. Le coté psychologie est intéressant et j'aime bien le coté sombre de l'oeuvre, mais la structure du scénario est moyenne. J'ai eu la même impression qu'avec 'Cutie Honey': l'auteur a de bonnes idées qu'il ne sait pas bien utiliser et sa narration est un peu confus. On dirait qu'il porte plus attention sur les délires gores que sur le scénario lui-même.
Mpppfff... Dubitatif je suis, dubitatif je reste.... Ma belle-fille m'a passé cette série voici peu. OOOOOHHHH les belles couvertures !... J'ouvre, pagine d'abord. Le contenu ne reflète absolument pas son emballage. Le dessin ?... il me fait penser à ces bons vieux Goldorak et autres "Albator". Curieux. Je vérifie. Gloups ! Cette série a débuté voici 35 ans !... Mon intérêt s'éveille. Donc je lis. Enfin j'essaie. C'est vrai que le postulat est attirant : des démons s'apprêtent à reprendre possession de notre bonne vieille Terre. Mais, heureusement, un archéologue a légué à son fils un masque de pierre trouvé dans la région de l'Himalaya. Akira -c'est le fils- met le masque et -boum!- acquiert une seconde identité. Homme, il est aussi devenu le démon Amon. Chic, il va pouvoir combattre ces derniers sur leur terrain... Mwouais... bon scénarios mais dessin "à-la-va-vite" (et ça, j'aime pas !...) J'ai pas tout lu, j'avoue ; sauf qu'ici, j'ai eu affaire au combat du Mal contre le Mal. Et ça change... un peu... Salut "Devilman". Tu es venu. Je t'ai (un peu) lu. Tu es reparti. Je ne m'en porte pas plus mal.
Ce manga est vieux, ce n'est pas un défaut, un paquet de mangas ou d'autres BDs du même age voir plus vieilles se sont couvertes avec le temps d'une patine qui rajoute un certain prestige. Devil Man lui je dirais qu'"il sent le vieux", c'est du jetable aujourd'hui ça ne fonctionne plus... Le phantasme axé destruction massive de Nagaï ne prend pas, en plus comme c'est dit dans l'avis précédent il plombe lui même son histoire à coup de redites, et ce sur les cinq volumes! C'est le personnage de Ryo Asuka qui avec ses questions existentielles constantes et son autosatisfaction permanente d'avoir toujours un coup d'avance se charge de saouler le pauvre Akira/Devil Man et du même coup le lecteur. Une fois qu'on a digéré le fait que cette histoire va être une succession de tueries qui laisse supposer qu'a la fin les survivants risquent d'être d'un nombre restreint on assiste à une alternance de scènes de: Leçons existentielles souvent écolos et de meurtres sanguinaires, mais alors d'une cruauté sans bornes. On voit que l'auteur use et abuse d'hemoglobine avec un plaisir à peine dissimulé, alors qu'il est un piètre dessinateur Nagaï s'amuse à composer "ses" scènes gores avec force détails. (Même si je trouve que Nagaï est mauvais au dessin, je ne nie pas les capacités créatrices du bonhomme hein!) Pour moi il a été difficile de finir ce manga jusqu'au bout, pourtant seulement cinq volumes au format classique c'est plutôt court comme série. Les amateurs d'histoires nihilistes devraient apprecier. Je met quand même 2/5 une note relativement élevée par rapport à mon ressenti parce que je respecte le côté jusqu'au boutiste de l'auteur.
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