Le Démon de midi
Angoulême 1997 : Alph-Art de l'humour. Vers la quarantaine, le mâle humain a coutume de quitter son épouse usagée pour aller cavaler dans des pâturages plus verts. Comme on disait dans nos campagnes en ces temps lointains où les vaches mangeaient encore de l'herbe, "changement d'herbage réjouit les veaux". Florence Cestac nous décortique au scalpel ce sujet d'intérêt général, des premiers symptômes à l'explosion finale en passant par les affres de la déprime intégrale "robe de chambre-canapé".
Angoulême : récapitulatif des séries primées Crise de la quarantaine La BD au féminin
"Toi, tu es la femme de ma vie. Elle, c'est autre chose, c'est une fée", a dit le héros avec la candeur touchante du mâle en route pour l'aventure. Le héros s'étant donc tiré avec sa fée, l'héroïne se pose des questions rétroactives sur son attitude en général et sa cellulite en particulier, découvre que tout le monde savait sauf elle, écoute les conseils vaseux des copines, tente de renouer avec d'anciens jules catastrophiques et en teste des tout neufs au rayon bricolage du BHV. Elle explique à son môme que papa s'est absenté sur la planète Mars - ce que le môme traduit par "papa y s'est fait le cerise sur la planète mars avec une pétasse que maman elle aime pas". Elle se regonfle au "Petlaform", picole un peu, sanglote beaucoup, et enterre le chien qui s'est mis à mourir au milieu de tout ça - la cerise sur le gâteau. Bref, elle "gère" et elle survit.
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Date de parution | Mai 1996 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Comment a-t-il pu me mentir, me trahir, me tromper, me berner, me blouser, m'embobiner à ce point… - Ce tome contient une histoire indépendante de toute autre. Il peut aussi s'envisager comme le premier d'une trilogie, avec le Démon d'après-midi… (2005), et le Démon du soir ou la Ménopause héroïque (2013). Il s'agit d'une bande dessinée en couleurs comprenant 58 planches en couleurs, écrite, dessinée et mise en couleurs par Florence Cestac, avec l'aide d'Alexis Cestac pour les couleurs. La première édition date de 1996. Ces trois oeuvres ont été rééditées dans Les démons de l'existence, avec une introduction supplémentaire de trois pages en bandes dessinées. Anne a eu une enfance campagnarde, entourée d'animaux de tout poil. Très vite elle a entendu jaspiner de la sale bête, c'est-à-dire : le démon ! Dans sa tête de petite fille, c'était une espèce de fantôme maléfique qui s'abattait sur les bêtes et les rendait cinglées. Et quand le fantôme s'attaquait aux gros gabarit, genre taureaux, bovidés, chevaux, ça devenait spectaculaire !!! Elle et son frère devaient faire avec le comportement parfois étrange de leur chien Youki s'excitant sur leur jambe. Ils observaient le père en train de séparer le taureau Popol et la vache Marguerite, à coup de fouet. Pour une raison inexpliquée, leurs parents ne souhaitaient pas en parler. Un jour, alors qu'ils venaient chercher leur quatre heures, les femmes étaient rassemblées dans la cuisine : l'ambiance n'était pas à la rigolade, et la cousine Cécile pleurait dans son torchon. Au tour d'elle, cinq autres femmes de la famille qui essayaient toutes de la consoler. Les enfants comprirent que c'était l'oncle Henry dont il était question, le mari de Cécile, et le mot fut lâché : c'est le démon de midi. Florence comprend que ce démon s'attaque aussi aux hommes, sans savoir pourquoi celui-là est qualifié de démon de midi, pourquoi midi ? Quelques années plus tard, Florence allait être confrontée à la bête et comprendrait enfin la signification du midi : la moitié de la vie. Imaginer un gentil couple : elle 40 ans, lui 45. Ils ont fait un bon bout de chemin ensemble. le nid est construit : le ou les enfants sont là (elle va n'en mettre qu'un pour simplifier), beau comme leur maman, vif et intelligent comme leur papa. Lorsqu'il rentrait de sa journée de travail, le papa avait des idées, il se montrait tendre et affectueux, délicat, câlin, chou quoi. Bouquet de fleurs, restaurant, cadeau. Il était content de retrouver son foyer. Mais surtout, il parlait, il racontait, le couple se racontait, partageait jusque tard dans la nuit. Mais depuis quelque temps, le papa est plutôt aimanté par le poste de TV lorsqu'il rentre. Gerbé au fond de son fauteuil, les pieds au chaud dans ses charentaises, il est comme hypnotisé par l'écran, et là son épouse peut tout essayer. le gâteau préféré, la mise en pli avec une robe neuve et des chaussures neuves, la tenue affriolante. Et le mari ne sait que répondre excédé, qu'elle se pousse car son équipe mène trois à deux. Cette bande dessinée a été adaptée deux fois : la première sous la forme d'une pièce de théâtre en 2000 créée par Marie-Pascale Ostterieth et Michèle Bernier, la seconde fois sous la forme d'un film en 2015, réalisé par Marie-Pascale Osterrieth, avec Michèle Bernier dans le premier rôle d'Anne Cestac. Elle a reçu le prix de l'Alph-Art de l'humour en 1997, au festival international de la bande dessinée à Angoulême. le lecteur découvre une narration de nature humoristique, avec des exagérations de mouvement, d'expression de visage, des situations comiques, et une acceptation douce-amère de la situation dramatique, très adulte. Cette situation est exposée du point de vue de l'épouse qui est trompée par son mari, et qui doit faire avec cette découverte à une époque de publication où le divorce commence à se répandre. de ce point de vue, la présentation faite de la situation peut s'apparenter à des évidences du fait de l'évolution de la société sur ce plan. le lecteur peut également être désorienté par la manière dont le sujet est illustré, c'est-à-dire avec des personnages dit de type Gros Nez. L'autrice adopte donc le point de vue de l'épouse pour évoquer plusieurs phases de cet adultère. Son avatar a bien conscience de ne pas être parfaite, et que leur couple a évolué depuis leur première rencontre, et leur mise en ménage. Il semble, même si ce n'est pas dit explicitement que Anne soit une mère au foyer, sans beaucoup d'activités à côté, mais avec des amies. Cestac met en scène l'amour intense des débuts de la relation, et la conviction des deux tourtereaux qu'au départ, ils étaient persuadés de ne pas être un couple ordinaire. Puis vient la réalité du travail pour monsieur qui rentre fatigué, qui s'empâte, qui est de plus en plus souvent de mauvaise humeur, qui rentre de plus en plus tard, qui trouve que tout est nul, la dégradation des liens affectifs, et sa volonté de se remettre en forme et de changer de garde-robe et d'apparence. Il est bien sûr question de sa maîtresse même si elle n'apparaît pas dans les cases, qui est plus jeune qu'Anne. Comme il s'agit d'adultes installés, la situation s'avère compliquée et elle ne se règle pas par une simple séparation une fois la tromperie mise à jour. La lecture s'avère fort divertissante car la dessinatrice utilise des caractéristiques de la bande dessinée humoristique et même tout public. Les personnages sont affublés de gros nez très ronds et trop gros. le lecteur est conquis par l'expressivité de leur visage, toutefois quand il prend un instant pour les regarder, il se rend compte de leur composition très exagérée éloignée du photoréalisme. le nez est tellement gros, que l'artiste doit placer la bouche complètement sur l'un ou l'autre côté du visage, quasiment en bas d'une joue, et avec une forme soit réduite à un trait, soit évoquant celle d'un fer à cheval. Les yeux sont tous déformés : pas d'iris, le blanc des deux yeux qui peuvent se toucher, voire ne former qu'une seule et même surface, un trait pour chaque sourcil, quatre doigts à chaque main (avec quelques exceptions quand la dessinatrice leur en représente cinq), des lèvres trop grosses pour les femmes, des corps parfois un peu caoutchouteux permettant aux personnages d'adopter des positions d'une rare souplesse. Florence Cestac fait usage d'autres conventions graphiques humoristiques comme l'énergie inépuisable des enfants, les onomatopées comiques, les petits coeurs pour exprimer le sentiment amoureux, et même un petit Cupidon avec son arc et ses flèches, sans oublier un coeur brisé, un personnage dessiné la tête réellement dans le postérieur, Anne avec un magnétoscope à la place du front, un personnage en forme de cochon dans le lit d'Anne, etc. De même, dans la narration, l'autrice utilise des dispositifs comiques tels qu'une petite chaumière perdue au fond des bois pour évoquer un conte de fée, l'intervention d'un réalisateur pour critiquer un emploi trop poussé de la licence artistique, une femme en chapeau haut de forme et en juste-au-corps passant la tête entre deux rideaux rouges comme sur une scène de spectacle, faire la gourde dans un magasin de bricolage, un défilé de huit amants en deux pages, ou encore une possibilité multiple de fins. le lecteur sourit du début à la fin, que ce soit devant le comportement pitoyable du mari ne sachant plus trop où il en est entre sa jeune conquête et son foyer, les conseils de ses copines pour se refaire une beauté afin de dégoter un amant, la reprise de contact avec ses amoureux de jeunesse, les différentes possibilités de fin sous forme de recombinaison de familles recomposées. Il est touché par des comportements très justes et sensibles : la dépression de l'épouse trompée, le constat du temps qui a passé en essayant de sortir à nouveau en boîte, les troubles chez l'enfant, etc. D'un autre côté, le temps a fait son effet : la situation d'une femme trompée, l'indécision du mari entre la nouvelle et l'ancienne, le retour sur le marché des célibataires et la position inconfortable de l'enfant sont devenus monnaie courante dans la société qui a lâché la bride aux possibilités de divorce. le récit n'apparaît pas tant daté, que plutôt charriant des lieux communs qui n'en étaient pas à l'époque de sa publication. Florence Cestac évoque l'usure du couple et l'infidélité de l'époux avec une femme plus jeune, vu du côté de l'épouse. Ses dessins très vivants donnent de l'entrain aux situations, les dédramatisant, sans pour autant neutraliser leur dimension dramatique. Quand Anne passe par une phase de dépression, le lecteur ressent sa détresse et la disparition de ses envies. du fait du point de vue féminin, l'épouse a plutôt le beau rôle, et le benêt de mari, le mauvais, même si elle évoque la pulsion sexuelle impérieuse ce qui le dédouane pour partie. D'un autre côté, il se conduit comme un individu immature, pas satisfait de sa situation présente, sans jamais se demander s'il ne va pas répéter les mêmes schémas avec une épouse plus jeune. La verve de l'autrice emporte le lecteur, même si l'évolution de la société a banalisé nombre des situations qui sont dépeintes.
Mouais, bof bof bof… Si j’ai souri lors de la lecture de quelques passages, c’est arrivé vraiment trop rarement pour que j’aille au-delà de ces deux étoiles, voire pour que je vous recommande lecture et achat de cet album. En effet, si les états d’âme de cette femme, qui cherche à comprendre, puis à se positionner après la déliquescence de son couple, puis la rupture avec son mari, peuvent sentir du vécu, la narration ne m’a pas emballé. C’est souvent trop plat, même dans les pétages de plomb. Le seul point intéressant pourrait être de montrer ces relations de couple, avec force tromperies, du côté féminin, longtemps avant la pléthore d’albums « girly » plus ou moins issus de blogs, qui emplissent maintenant les bacs, sans apporter grand-chose d’original d’ailleurs. Mais ça fait mince comme intérêt quand même ! Surtout, et j’aurais peut-être pu commencer par ça, je n’accroche pas, mais alors pas du tout au graphisme de Florence Cestac, et en particulier aux pifs qu’elle colle à ses personnages. Affaire de goût sûrement, mais à chaque fois que je suis tombé sur un de ses albums, ça m’a fait le même effet repoussoir. « Le démon de midi » est le premier album de Cestac que je finis, mais il ne m’a pas forcément donné envie de me replonger dans le reste de sa bibliographie.
Oui la vie de couple et quel que soit le type de celui ci, n'est pas un long fleuve tranquille et si l'on vit plusieurs années avec une même personne des choses, des comportements changent. Sans doute qu'un bon nombre des situations décrites ici peuvent voir le jour dans un couple. En fait cette BD m'a gavé comme on dit; le dessin ne me plaît pas et si sans doute des situations comme celles qui y son décrites peuvent se produire c'est plus l'esprit de la chose qui me gêne. Attention je ne suis pas un censeur rigoriste, un moraliste, n'y un "père la morale" et je peux aisément comprendre qu'un couple se délite au bout d'un certain temps. Sans vous raconter ma vie, il m'est arrivé plus qu'à mon tour de me prendre le chou avec ma dulcinée. Non comme dit plus haut c'est l'esprit de la chose qui m'agace un peu, je ne sais pas, mais un petit côté bobo avant l'heure. Regardez! d'après mon vécu je vais vous faire voir comment réagit une femme trompée et mieux que sur le divan d'un psy.. J'ai eu l'impression de lire une suite de sketchs comiques ou il faut rire à tous prix. J'exprime sans doute mal mon ressenti à l'égard de cette BD mais pour moi c'est pas drôle.
J'ai apprécié cet album quand je l'ai lu il y a de cela fort longtemps (à sa sortie). C'était vraiment sympa, intéressant, drôle, ça a eu un gros succès. Je n'ai jamais aimé les dessins de Cestac. Je déteste même (comme beaucoup je pense) mais le récit était réaliste, intéressant, drôle... mais je me répète. Donc maintenant le démon de midi.... boarf...
(3.5/5) Le démon de midi ou la BD qui relate un fait fréquent : les hommes ont des maîtresses à la quarantaine et les couples explosent par la suite à cause de cela. Ce n'est pas le genre d'histoire que j'affectionne, mais là, j'avoue que l'auteur a su rendre ma lecture agréable et plutôt prenante. L'auteur raconte les différentes étapes de la vie d'une femme (mariée, un enfant) qui va voir son couple sombrer à cause d'un adultère. Le récit est simple et reste dans les généralités. Les hommes en prennent plein leur grade, mais cela n'a pas gêné ma lecture. Florence Cestac arrive à passer des larmes au (sou)rire avec un habile jeu de narration. Et c'est pour cela que la lecture est sympathique ; car sur un ton au final "tragique", on arrive à rigoler la plupart du temps avec un humour efficace et sans prétention ! Les personnages arrivent à être attachants alors que leurs réactions sont parfois stupides et qu'ils donnent l'impression de ne pas avoir inventé l'eau tiède. Le dessin de Cestac n'est pas ce que je préfère (son style (assumé) gros nez) mais l'ensemble rend bien dans cette BD. Les personnages sont expressifs et marrants. Les planches sont bien pensées : les cases évoluent en fonction de la narration. C'est-à-dire que l'auteur met en image ses propos et ses métaphores en faisant des cases avec des petits bonhommes, en dessinant quelque chose cité dans le texte narratif etc... (Ah ! C'est incompréhensible ce que je viens de dire ... Heu ... Lisez la BD, vous comprendrez). Une BD bien sympathique, drôle mais pas assez touchante. L'auteur aurait pu aller plus loin dans ses propos et mettre en avant moins de généralités tout en mettant l'accent sur son expérience personnelle (dont elle s'est inspirée pour cette œuvre).
Je n'aime pas le dessin "gros nez" mais il ne m'a pas gêné dans ce one shot. Il fait bien son job avec ses qualités expressives. Les couleurs sont basiques, tout simplement d'époque. L'histoire est simple, l'auteur s'appuie sur son vécu pour traiter du sujet universel du démon de midi, la crise de la quarantaine faisant des cocu(e)s et défaisant des couples. Le traitement est une franche réussite grâce à l'humour omniprésent et bien senti. On n'évite pas les clichés. Dans cette BD, les fautifs sont les hommes mais on peut actualiser le propos et l'adapter selon l'égalité des sexes. ;) Je m'attendais à un gros nanard, mais cette BD passe bien les années et sera toujours d'actualité dans 10 ans car elle met en avant une faiblesse récurrente de l'être humain. Note finale : 3.5/5 : j'aurais aimé un récit moins universel mais plus personnel, un peu plus roman graphique en fait.
Note approximative : 2.5/5 Je l'avoue, j'ai lu cette BD en étant persuadé que je n'allais pas l'aimer du tout. En effet, d'une part je déteste le dessin de Florence Cestac, d'autre part j'avais trop entendu parler de cette BD dans le milieu du show-business pour croire qu'elle était autre chose qu'une "réussite de copinage". Au final, je trouve Le Démon de midi très moyen mais potable. Le dessin ne me plait toujours pas du tout. Depuis Les déblok de ma jeunesse, j'ai toujours trouvé hideuses les gueules des personnages de Florence Cestac. Mais il a le mérite d'être efficace et de se lire assez bien. Quant au scénario, je ne me suis pas senti du tout concerné, et pour cause puisque j'ai beau être marié avec enfant, ma vie et mes pensées d'homme sont à des lieues de ce qui est décrit dans cette histoire. Très rapidement, je trouve que cette BD tourne à la BD style Le Guide de... : le guide du couple, le guide du célibat, le guide du divorce, etc... Franchement, je n'ai pas trouvé plus d'un dixième de cette BD drôle. Seules les variantes de fin m'ont un peu fait rire. Mais j'ai trouvé l'histoire de cette femme en elle-même relativement intéressante et pas trop désagréable à lire. Bref, une BD d'humour qui ne me fait pas rire mais que j'ai lu sans trop de déplaisir.
Je n'avais lu que Super catho de F. Cestac et je voulais me faire une opinion un peu plus objective, vu que cette BD ne m'avait pas franchement emballé. Bon là, très clairement je préfère mais c'est pas encore ça. C'est encore rempli de clichés, avec parfois du féminisme à deux balles, que dis-je, c'est encore trop cher. C'est vrai que c'était un peu l'objectif de la BD, c'est à dire : les hommes sont tous des salauds et ce sont toujours les femmes qui sont trompés... Ben voyons. Restent quand même de bons passages qui décollent un petit sourire car ça sent le vécu.
Sans autre but que de faire rire, Cestac nous dépeint un passage de la vie qui est probablement fréquent (chuis pas encore passée par là), certainement pas marrant, avec un regard caustique et drôle. Je connaissais l'auteur surtout par les Débloks (pas franchement le meilleur de la BD, ni le plus fin), et j'avais un peu peur pour le dessin, mais la lire dans une BD plus "adulte" n'est pas désagréable, finalement, le dessin colle au ton : on ne se prend pas au sérieux. A emprunter.
L'adultère vu du côté féminin, côté cornu, c'est pas triste. Florence Cestac arrive à faire rire de quelque chose qui n'est pas très drôle au départ. Peut-être a-t-elle pris du recul par rapport à une situation qu'elle a elle-même vécu? On peut en revanche regretter que Cestac reste dans le discours général et nous raconte l'aventure de l'archétype de la femme mariée qui se fait larguer par l'archétype de l'homme adultère. C'est à la fois la force (tout le monde pourra s'y reconnaître) et la faiblesse de l'album (que de clichés!). A part ça, j'aime bien le dessin de Cestac, il fonctionne bien, les expressions des personnages font mouche.
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