Sophia
Sophia, une jeune femme particulièrement attirante, appartient au cercle privé des 10 des plus grosses fortunes de la planète. Et elle a une obsession: Retrouver le testament de son grand-père...
Auteurs italiens Les Roux ! Paquet
Sophia appartient au cercle privé du top 10 des plus grosses fortunes de la planète. Traquée par les papparazzis, elle vit seule, isolée dans sa beauté et sa fortune depuis son enfance. Mais de cette enfance, elle ne se souvient que du coffret contenant le testament de son grand-père, volé par la mère supérieure de l’orphelinat où elle vivait. Depuis, son statut lui permet de demander aux plus grands antiquaires de la planète de retrouver ce fameux coffret. Cependant, elle se rend vite compte qu’elle n’est pas la seule à vouloir lire la fameuse lettre de son grand-père: une secte mysterieuse, portant un etrange tatouage sur l'avant-bras s'y interresse également....
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Date de parution | Octobre 2004 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Il faut être direct, cette série n'a de sens que pour vendre la très belle plastique dénudée de l'héroïne. Et encore, la suite ininterrompue de poses style mannequin rend Sophia aussi froide que les pages d'un magazine pour lingerie. Le reste me semble bâclé avec des thèmes bateaux et usés jusqu'à la corde. Un testament ésotérique au fin fond de la jungle colombienne, un héritage de multi millionnaire et une coalition de méchants qui sortent du chapeau. Le passage colombien est tellement ridicule que je croyais à une autodérision des auteurs. Mais non, l'histoire se prend au sérieux comme notre pauvre Sophia obligée de s'exhiber en talon de 15 cm dans des environnements dessinés à la va vite. Mon intérêt pour la série se limite à la couverture et à quelques cases assez sensuelles.
Oh que c'est beauf ! Franchement, je suis complètement passé à côté de l'intérêt de cette BD qui n'a franchement rien pour elle, et dont j'ai fini par survoler les tomes. Qu'est-ce que c'était chiant, mon dieu ! Déjà, c'est cliché à un point que je ne pensais pas. Dans l'histoire, les dialogues, les situations, même le dessin et les cadrages ! Et vas-y que je te mets l'héroïne à poil tout le temps, vas-y que je te lui mets un truc moulant et des décolletés plongeants tout le temps, vas-y qu'on la trimballe en pleine cambrousse en talons hauts… C'est du vu, vu et revu, aussi mauvais qu'un film Tomb Raider ou l'horrible Charlie et ses drôles de dames. Sans parler des dialogues aux fraises, des personnages qui sont fades au possible, une intrigue qui m'a paru poussive dès le début… C'est tellement cliché que j'en attendais presque une chute humoristique. A mon avis, sans les couvertures racoleuses et l'héroïne qui se trémousse sans vêtements au fil des cases, la série n'aurait pratiquement pas eu de lecteurs. Je ne parle même pas des relations qui sont établies en deux pages, des dialogues qui se veulent réfléchis mais semblent sortis d'une vieille série. Non, franchement, rien ne va ici. C'est racoleur et sans intérêt. Si j'ai envie d'enquête ésotérique et de femmes racoleuses, je préfère aller me lire du Mara, au moins le sexe est assumé et les corps moins sujets à cette espèce de tendance à prendre des poses pour le plaisir des yeux. Non, vraiment, cette série est nulle. J'en suis même étonné, parce que je n'ai eu aucun plaisir à la lire, et que je vais probablement l'oublier très vite. A fuir !
Ceux qui ont un doute sur le sens du mot stéréotype n’ont qu’à lire Sophia. Tout est caricatural là-dedans. La nana, le caractère de personnage, les dialogues (plutôt fades), l’histoire… Bref, ça ne casse pas trois pattes à un canard (comme dirait mon grand-père). Sauf que… il y a une héroïne rousse incendiaire (et une vrai, svp !) qui se ballade les trois quart de la bd à moitié à poil et que le dessinateur est plutôt doué à ce genre d’exercice. Du coup, même si on le fait avec une banane jusqu’au oreille, on se retrouve à lire jusqu’au bout, ne serait ce que pour savoir comment les auteurs vont faire pour nous la (re)présenter nue. Moi ça me fait vraiment penser à du Max Pecas, dont l’articulation première de ses scénarii était comment faire avancer l’histoire pour montrer un maximum de seins et de fesses ! Les dessins (et surtout ceux ou il y a Sophia) sont plutôt réussi, mais je n’accroche pas avec la mise en couleur, et les plans sur des personnages un peu éloignés sont assez grossier. C’est assez regrettable. Mais au final une bd ou on se poile bien… Petite mise à jour après la lecture du tome 3 : Si les deux premiers tomes sont dans la même veine, le troisième n'est louable que par l'effort de l'éditeur de clore la série avec une nouvelle équipe: De Vincentiis ne voulait pas finir. Les dessins sont assez laids et comme c'était un peu le seul attrait de cette bd, il ne reste plus grand chose. Le style de De Vincentiis collait assez bien à l'ambiance néosatanique de la bd, et le tout avait une certaine cohérence. Ce qui n'est pas du tout le cas du dernier tome. Pour reprendre l'analogie cinématographique, c'est un peu comme si Ed Wood reprenait la suite de Pecas! Dire que je suis déçu serait un bien grand mot, mais quand même...
Voici une BD assez difficile à classer. Faut-il la classer dans le genre Erotico-ésotérique ou bien Esotérico-érotique?... Elle est à mi-chemin entre du Manara et La Loi des 12 Tables. Le personnage principal se situe à mi-chemin entre Druuna et Asphodèle. Quoi qu'il en soit d'un point de vue scénaristique l'histoire n'a rien à envier à La Loi des 12 Tables. Et d'un point de vue graphique le dessin n'a rien à envier aux héroïnes de Manara ou à la Druuna de Serpieri. Le choix de l'héroïne (riche héritière) permet de choisir des décors et des situations assez originaux avec un minimum de contraintes. Au final le mélange ésotérisme et érotisme est assez bien dosé, l'un ne prend jamais le pas sur l'autre. La BD est agréable à lire, pour le dessin d'une part (et Sophia en particulier) et pour l'histoire d'autre part, qui, sans être prise de tête, distille une aura de mystère suffisante pour attiser la curiosité quand à la fin possible du cycle (prévu en 3 Tomes). Donc 3/5 pour le scénario et 4/5 pour le dessin.
AAAAAh Sophia !!! Quelle femme ! J'avoue avoir eu du mal à trouver l'intérêt de cette BD, mis à part son indéniable esthétisme. En effet sur 56 pages, on peut admirer cette Largo Winch au féminin, déambuler nue voire très peu vêtue sur plus du tiers de l'album. Loin des préoccupations matérielles (Madame est riche, Madame se rend à Venise comme on va à Montreuil, Madame possède un hors-bord, Madame a son majordome), Sophia promène son secret et sa beauté au bout du monde... Mention spéciale à Adriano de Vicentiis qui dessine admirablement les courbes avantageuses de son héroïne. Une petite critique pour le scénariste, Massimo Visavi, qui fait débuter la véritable histoire 2 pages avant la fin ; une bonne dizaine de pages étant, à mon avis parfaitement inutiles au déroulement de l'histoire (notamment les doubles pages 12 et 13). Vivement la suite quand même !
Raaaaaah ben voilà c'est malin, maintenant on l'a dans notre bibliothèque ce nanar de série ZZZZ !!! Bon, allez, j'avoue, je me suis franchement marrée à la lecture de cet opus. ... J'espère que dans le deuxième tome on aura droit aux aventures du cousin à la mode de Bretagne de Sophia, bel éphèbe épilé et tanné aimant à vivre nu sur son île déserte à cocotiers, que le lectorat féminin puisse lui aussi se rincer l'oeil ! ^___^
J’avais lu quelque part sur le forum que pour apprécier cette BD il fallait la lire au second degré. Et bien je partage totalement ce point de vue. « Sophia » est une bd qui accumule les clichés (jeune belle femme très riche, self-made woman, au caractère bien trempé), qui se lance dans une aventure qui la mènera sur les sentiers colombiens sans armes mais en botte à talon Gucci à la recherche d’une dangereuse secte. Je ne vais pas jouer les hypocrites, on est plus attiré par les courbes de notre héroïne (nue ou en petite tenue les ¾ du récit … on ne parle pas de la détresse des dessinateurs qui ne savent pas dessiner des vêtements) que par ses aventures quoique l’histoire rebondit de façon surprenante (et un peu comique) lors de la dernière planche.. Si « Sophia » était un film, ce serait un de ces délicieux nanars de seconde partie de soirée, qu’on amuse à voir et revoir malgré l’invraisemblance et les carences du scénario. A acheter si on a des sous...
Trop trop fort ce truc, je me marre encore rien qu'en y pensant. Bien sûr que c'est un peu ridicule comme BD, ahaha, mais finalement, le scénar tient la route même s'il est plutôt léger et déjà vu/lu un paquet de fois. Mais la grande qualité de cette BD, c'est avant tout son héroïne (le corps de l'héroïne pour être plus exact) Les planches sans gros plan sur ses seins ou son cul sont rares, et le dessineux maîtrise plutôt bien (voire même très bien) son sujet, autant dans ses (dis)proportions que dans ses pauses plus lagoureuses les unes que les autres. C'est loin d'être une BD indispensable, mais moi j'acheterai la suite sans hésiter :)
'tention, c'est pas politiquement correct. Ah ah ah ! Bin moi j'ai adoré ce truc, j'étais mort de rire ! :D L'héroïne (dont le développement psychotruclogique, là, enfin le machin que c'est quand on parle pas des nichons, est nettement plus petit que lesdites glandes mammaires) est effectivement la moitié du temps à poil, et l'autre moitié elle est à peine couverte d'un vêtement transparent. Par contre elle prend toujours des poses super langoureuses, on dirait presque une galerie de photographe de cul qui essaierait de ne pas refaire deux fois la même photo. Elle est assez bonne, c'est sûr... Par contre le dessin a une fâcheuse tendance à varier entre le très beau et le très pas beau et imprécis, façon dessin de très jeune auteur pas encore maîtrisé (le dessin, pas l'auteur). C'est dommage parce que franchement certains dessins de visages en deviennent assez laids, là où trois cases avant on s'extasiait presque. Bon, les couleurs c'est un peu pareil : parfois certains personnages apparaissent comme plaqués sur un décor, ça flashe et ça fait mal aux yeux, et d'autres fois c'est beaucoup plus, disons harmonieux. L'histoire, elle, est complètement ridicule. Enfin pas exactement. La base est très classique, et donc c'est la manière dont c'est développé qui est mauvaise. Enormes clichés à la pelle, raccourcis un peu trop... courts, scènes qui se voient venir de trois kilomètres, double page montrant l'héroïne dans toutes les positions, en train de faire une pipe à un gars à tête de faucon, des papouilles à une grenouille hypertrophiée, de se tripoter, de se rouler sur du satin... C'est vraiment ridicule et ça tombe comme un poil de cul dans la baignoire... Et puis il y a une case qui est su-per-be ! Sophia prend un hors-bord (elle est riche au fait, coucou les romans Harlequins ^__^ ), on voit donc le fougueux destrier mécanique des mers jaillir, et en incrustation, une énorme tête de Sophia, le regard au loin, un peu façon Lénine. Effet garanti. :) Bref, ce bouquin c'est un énorme nanar pur jus, du concentré de bonheur à lire ! En tout cas moi j'étais vraiment mort de rire. :) Peut-être même que je l'achéterai, tiens, hi hi ! ^__^
Hum, comment dire ... le scénar est quand même ridicule sur le début (quoiqu'il soit assez travaillé pour une BD érotique lol ; d'ailleurs qu'est ce que ça fait en aventures ?). Bon je reconnais que ça s'améliore sensiblement au gré des pages et que la fin, même si elle est d'une banalité extrême vu le nombres de livres ou de films traitant du sujet, peut donner quelque chose de sympatoche au deuxième tome (la série étant prévue en trois). Mais bon, soyons clair, je donne ma deuxième étoile aux dessins absolument superbes de De Vicentiis, le scénar à lui-seul ne cassant vraiment pas trois échasses à un berger landais. Et ma troisième étoile, d'où vient-elle, me direz-vous? Et bien elle est due à la même raison qui m'a poussé à acheter ce tome en l'ayant à peine feuilleté : l'héroine (superbe, n'ayons pas peur des mots) est à poil la moitié du temps, et vu le talent du dessineux, je ne pouvais que céder. Bon ça suffira probablement pas à beaucoup mais je suivrai sans hésitation la suite des aventures de la divine Sophia.
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