Walking Dead
Will Eisner Award 2010 : Best Continuing Series Le monde tel que nous le connaissions a disparu. Le monde du commerce, du superflu, de la frivolité est maintenant remplacé par un monde de responsabilité et de survie. Une épidémie, aux proportions apocalyptiques, s'est abattue sur la Terre, où les morts se lèvent pour se nourrir de vivants. A voir aussi : Walking Dead - Negan
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En quelques mois, la société est tombée en poussières. Plus de gouvernements, plus de magasins d'alimentation, plus de courrier, plus de télévision. Plus rien. Dans un monde gouverné par les morts, nous sommes obligés de commencer à vivre, enfin.
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Date de parution | Mars 2005 |
Statut histoire | Série terminée 33 tomes parus |
Les avis
Ce que j'aime avec cette série, c’est la manière dont elle dépasse le simple cadre du récit de zombies pour se concentrer sur la dynamique des survivants. À travers chaque page, on sent la tension croissante entre les protagonistes, et le danger constant que représentent à la fois les zombies et les autres humains. La construction psychologique des personnages est l’une des grandes forces de la série. Chacun d’eux évolue en fonction des événements, et ce qui frappe, c’est l’aspect profondément humain des relations qui se développent entre eux. Le noir et blanc de Charlie Adlard sert parfaitement l’atmosphère de désolation. Il y a quelque chose de brut dans ses dessins, qui capte bien l’essence du chaos ambiant sans tomber dans le gore gratuit. On se rend vite compte que le véritable enjeu de Walking Dead, ce n’est pas simplement de tuer des zombies, mais d’explorer les dérives de l’âme humaine lorsqu’elle est poussée à ses limites. Les arcs narratifs sont parfois étirés, ce qui peut donner l’impression que certains moments tournent en rond, mais cela permet aussi de mettre en avant les moments de calme avant les grandes vagues de violence. Les relations entre les personnages, leurs conflits internes et leurs décisions moralement ambiguës, donnent toute sa force à l’histoire. Rick, en particulier, se transforme au fil des tomes, passant de leader bienveillant à une figure plus sombre et pragmatique. La série ne se contente pas d’être une suite d’affrontements avec des morts-vivants. Elle traite aussi de sujets lourds comme la trahison, la vengeance et la folie. Les scènes de tension entre humains sont souvent plus effrayantes que celles impliquant des zombies, un rappel constant que, même au cœur d’une apocalypse, l’humanité reste son propre pire ennemi. Kirkman fait preuve d’une écriture maîtrisée, bien que parfois un peu répétitive dans les arcs, mais l’ensemble reste très bon. Une fable noire sur la nature humaine, où chaque personnage doit faire face à sa propre déchéance morale tout en luttant pour rester en vie. Une série dense, violente, mais étrangement captivante dans sa manière de refléter les dilemmes humains sous l’angle le plus brutal possible.
Walking dead c'est game of thrones avec des zombies. voila je pourrais m’arrêter là tant le parallèle entre les deux œuvres est important. Je ne ferais l'affront à personne quant à rappeler les intrigues de la première ou seconde œuvre. Après tout ne suivons-nous pas plus les manœuvres politiques et idéologiques dans les deux plutôt que l'aspect fantastique zombies et marcheur blancs? Dans les deux cas l'humanité est décrite comme complexe, le bien commun étant souvent relégué derrière l’intérêt individuel ceux sont deux œuvres fleuves GOT plusieurs (dizaine de ?) milliers de pages, WD 33 tomes... ET surtout : tout le monde peux mourir.... ...Enfin au début. Car si tout ce que je précisais jusqu'alors était les qualités communes aux deux œuvre. Elles ne partages que trop les m^mes défauts. les œuvres sont trop longue, les fils de la narration se perdent, se distendent... l’histoire est confuses et sans réelle directions. Personnes n'est en sécurité c'est vrai au début, après... c'est nettement moins le cas... Les personnages secondaires et certains antagonistes ne sont pas extraordinaire, pour certain oubliable pour d'autre discutable... La fin est abrupte et loin de me satisfaire... Mais dans les deux cas j'ai passé un bon moment, un peu madeleine de Proust. J'attendais chaque semaine le nouvel épisode, je guettais l'arrivé d'un nouveau tome et m'empresser de me glisser sous la couette pour le dévorer.
Voilà pour moi l’exemple type de la série culte. Tout simplement parce qu’elle a réussi à renouveler un genre et à s’imposer au-delà du seul public de la bande dessinée. Tout n’est cependant pas parfait. Sur la longueur, on n’échappe pas à certaines périodes durant lesquelles la série a du mal à garder le rythme, à certains passages dans lesquels le dessin semble moins soigné, plus expédié. Mais dans l’ensemble, la série tient la route jusqu’à sa conclusion finale. Mais ce qui m’aura marqué principalement, c’est cette galerie de personnages avec ce parti-pris des auteurs d'être prêts à dégommer n’importe lequel d’entre eux, à charcuter au besoin, à rendre délicieusement détestable l’un ou l’autre. Il y a aussi ce choix d’axer le scénario sur la reconstruction et sur les conflits entre les survivants. Les zombies apparaissent finalement plus comme la matérialisation du danger mortel d’une nature redevenue sauvage, mais le vrai mal, celui qui terrifie, est celui que font naître les hommes. Pour son impact, pour ses personnages, pour ses partis-pris innovants, je ne peux dire que culte.
(attention parfums de spoiler dans cet avis, si vous êtes ici pour vous renseigner sur la série et que, comme moi, vous voulez attaquer une oeuvre de façon "vierge", passez votre chemin) Content qu'ils aient décidé d'arrêter eux-mêmes et ainsi clôturer leur récit. Parce que dans l'optique "faire et défaire, c'est toujours travailler", Walking Dead se la jouait en mode "construire, détruire et reconstruire, c'est toujours faire avancer la narration" depuis un certain nombre de numéros, ce qui le rendait redondant (et a entraîné une mise sur pause de mon suivi des sorties autour du tome 20). Mais c'est resté un "page turner" tout du long, et certaines cases #Glenn, certains personnages #Negan, certaines séquences "Lori et Judith", "Michonne et le gouverneur", "Michonne et Elodie" me suivront encore longtemps. Comme mentionné dans d'autres avis, ce n'est pas tant le rapport aux zombies que les interactions humaines et communautaires qui priment dans cette œuvre. Je n'étais pas du tout dans le gore/zombie avant d'acheter les 3 premiers tomes pour mon frère, qui lui est à fond dedans, et j'ai complètement accroché. Walking Dead m'a converti au zombisme :-) Ciao Rick, Andrea, Carl et les autres, je vous relirai.
J’ai longtemps hésité à plonger dans Walking dead version BD. J’avais tellement apprécié la série sur Netflix, que je craignais d’être déçu. C’est donc avec un peu d’appréhension que je me suis lancé. J’ai bravé mes certitudes en me procurant d’un seul coup tous les albums. Quitte à plonger, il ne faut pas faire les choses à moitié ! Et pour tout vous dire, je me demande encore pourquoi j’ai attendu tout ce temps pour me glisser dans le monde peuplé de zombies de Robert Kirkman ! Si j’ai apprécié la version télé, j’ai adoré la version dessinée. Ca secoue assurément. C’est bon. J’adore les histoires dans un décor post apocalyptique ! Et là je suis servi ! 33 tomes que m’ont procuré un plaisir visuel incomparable. On suit les péripéties d’un groupe de personnes essayant de survivre face à une invasion de morts vivants. Rick Grimes, un ancien policier est à la tête de ces survivants . La force du récit, ce n’est pas les zombies qui restent bien présents et dangereux, mais plutôt la subsistance de l’homme civilisé. La société se craquèle. Les rapports humains sont bouleversés. La loi du plus fort devient la règle. Des choix difficiles doivent être pris. Le monde que nous connaissons est en danger. Les rescapés doivent s’adapter pour survivre tout en maintenant une once d’éducation et de savoir-vivre pour ne pas devenir une horde sans foi ni loi. Rick Grimes incarne les valeurs dites d’un monde civilisé. Il fait tout pour protéger ses proches et assurer leur survie. Il poursuit donc sa mission de gardien de l’ordre au milieu du chaos… aider et défendre, même si il n y a plus d’autorité, plus de police et plus d’espoir. Le dessin est simple. L’aspect noir et blanc peut rebuter mais ce choix au final se justifie plus on avance dans l’histoire. Du suspens à couper le souffle. Les albums se lisent rapidement. Pas de prise de tête. Je vous invite à lire cette série même si vous n’appréciez pas les zombies ! Vous serez immédiatement accro ! Oui c’est sanguinolant ! Oui c’est gore ! mais je suis sûr qu’au final vous serez convaincu. C’est une série magistrale à ne rater sous aucun prétexte. On ne parle pas de la mort mais bien de la vie ! je recommande vivement.
Après m'être replongé pour la énième fois dans cette série incroyable, je me suis hâté d'aller voir les critiques sur ce site et je suis heureux de constater que la majorité des aviseurs pensent comme moi. Cette série, qu'on ne présente plus, part d'un concept vu et revu (peut être pas tellement à l'époque de sa sortie) mais en fait un chef d'œuvre. Oui j'ose le dire, c'est un chef d'œuvre pour moi. Tout d'abord, les graphismes vraiment réussis, ils évoluent tout au long de la série. Ils sont à la fois élégants et gores. L'auteur à su trouver une certaine justesse dans ses dessins, dans sa représentation des zombies pour arriver à les faire terrifiants, mais en même temps plaisant à regarder, voir même parfois drôle. Ensuite, concernant le scénario, dès le début, l'auteur nous plonge dans l'action. A peine le décor planté, on comprend qu'on a là un univers riche et varié, où le danger vient de partout, même de chez soi. Le plus impressionnant est que l'auteur parvient à maintenir une tension durant toute la série. Je ne me suis jamais ennuyé, il n'y a aucun temps mort. Quand un concept semble s'user, l'auteur nous sort quelques pirouettes parfaitement exécutées afin de sans cesse renouveler son scénario. Autre point fort: personne n'est à l'abri. Comme dans Game of Thrones, durant toute la série, le lecteur tombe dans une très longue agonie où nous croisons les doigts pour ne pas voir nos personnages préférés mourir. Le suspens est difficilement tenable. Enfin, la série a su s'arrêter et proposer une fin bien construite. Là où beaucoup aurait continué pour l'appât du gain, Robert Kirkman a mis un point final (du moins j'espère) à sa série qui fait dorénavant partie de la culture populaire et surtout, qui est rentré dans mes classiques. 5 étoiles MAUPERTUIS, OSE ET RIT !
J’ai enfin pris connaissance de l’œuvre qui révolutionne actuellement le genre des histoires de zombies. Cela faisait un bon petit moment que je voulais mettre la main dessus. C’était pour moi la dernière série d’importance que je n’avais pas encore lue à ce jour. Je dois avouer que j’ai adoré littéralement. Le scénario est terriblement efficace. Je comprends que le cinéma ait également des visées. D'ailleurs, la série a fait un carton dans un genre qui n'est pourtant pas populaire chez la ménagère de moins de 50 ans. J'avoue aisément posséder toutes les intégrales et que c'est l'une de mes séries préférés. Cependant, c'est bien la bd qui m'a amené à la TV et non l'inverse. L’action ne sera pas pour autant omniprésente. L’auteur laisse le temps au récit de s’installer sur une ambiance de fin du monde. J’ai juste déploré que le début commence sur une idée déjà exploitée par le film 28 jours plus tard de Danny Boyle. Fort heureusement, le reste va se démarquer assez rapidement. On dévore littéralement chaque tome. Je constate également que cela reste bon même sur la durée. Il y a une virtuosité dans l’écriture de chaque scène qu’on ne peut qu’admirer. Le travail est remarquable également d’un point de vue graphique. Il y a un côté terriblement humain qui n’est pas habituel au genre. On découvre toute une galerie de personnages avec leur psychologie propre ainsi que leurs réactions face aux difficultés rencontrées. Par ailleurs, le danger semble émaner de partout. Il y a un côté imprévisible qui fait frissonner. Le tome 8 marque d'ailleurs un sommet inégalé. On se rend compte que tout est malheureusement possible dans l'horreur. Le tome 14 nous rappelle également qu'aucun personnage principal n'est à l'abri. On regrettera la disparition de personnages qu'on aimait bien mais il y a toujours les autres. Rick demeure le pilier central. L'auteur a une formidable capacité à renouveler le récit pour maintenir le suspense à son comble. Le tome 22 marque une rupture également temporelle qui relance tout l'intérêt de la série. Que dire également du tome 24 dont la fin nous laisse véritablement sans voix ? On passe certes d'un ennemi terrifiant à l'autre. Cependant, cela sera un véritable rebondissement du scénario que l'on n'attendait pas. Il ne s'agit plus de survivre face à un psychopathe mais c'est plutôt un choix de civilisation sur un mode de reconstruction du monde. Le tome 26 marque le retour d'un grand méchant que l'on attendait plus. Il revient encore plus machiavélique et fou que jamais. Il faut dire que le public l'aime bien et en redemande. Je connais dans mon entourage une femme fou d'amour pour lui: c'est dire. On est juste un peu étonné de la direction prise par le scénario. C'est un virage à 180 degré. Il est vrai que le tome 27 apporte encore des revirements, des situations inattendues. On regrette juste la disparition un peu trop brutale d'un leader pour les chuchoteurs mais qui sera vite remplacé. On atteint encore des sommets dans la lecture plaisir ce que confirme d'ailleurs le tome 28 alors qu'au niveau de la série TV, on constate un véritable essoufflement à partir de la saison 7. Je suis bluffé par le fait que les scénaristes ont su redynamiser la série après autant de tomes. J’aimerais pouvoir encore découvrir des séries de cette intensité et de cette qualité. Je sais que cela va devenir de plus en plus rare… J'ai acheté toute la série d'un seul coup : c'est dire que je n'avais pas eu un tel coup de cœur depuis fort longtemps. C'est une série que je qualifie de culte car elle va révolutionner le genre. Et puis et surtout, au fil des tomes, on sent une montée d'intensité qui ne se dément pas après pourtant plus de 20 tomes. C'est tout bonnement extraordinaire ! Note Dessin: 4.25/5 - Note scénario: 4.75/5 - Note Globale: 4,5/5
Ce qui me plaît, sur Walking Dead, c'est l'ambiance. Une ambiance paranoïaque, de fin du monde (et pour cause), qui prend le lecteur aux tripes. Le sous-genre du survival horror est aussi l'un de mes préférés ; voir comment un petit groupe arrive à s'organiser, dans une situation exceptionnelle et mortelle, avec peu de chances d'obtenir de l'aide de l'extérieur, voilà un schéma qui n'a de cesse de m'intéresser. Robert Kirkman n'est peut-être pas le plus retors des scénaristes, mais il en fait vraiment baver à ses personnages. J'ai trouvé les tomes 6 à 8 vraiment très forts de ce point de vue. Et j'ai l'impression que cela ne va pas aller en s'améliorant pour Rick et ses compagnons d'infortune. Des compagnons qui d'ailleurs évoluent et se découvrent véritablement au fil de cette histoire. C'est à ça que l'on reconnaît un survival horror de qualité : à l'écriture des personnages. Au tome 22 le récit contient une vraie rupture, un basculement en termes de personnages, une impression renforcée par la suite. Mais ces "nouveaux" héros feront-ils les mêmes erreurs que leurs devanciers ? Les tomes 23 et 24 viennent installer de nouveaux positionnements des uns et des autres. La paix semble revenue, mais pour combien de temps ? La fin du tome 24 semble justement marquer la fin de cette période... Au 26, un, non, deux- évènements majeurs viennent remettre en cause le fragile équilibre des forces, tandis qu'un contact inattendu se révèle... Le dessinateur de la série n'est plus le même depuis le tome 2, mais je n'ai pas vu beaucoup de différences. Peut-être Tony Moore est-il plus précis dans les traits de ses personnages, plus efficace dans les scènes d'action que Charles Adlard ? En tous les cas, j'aime beaucoup, même si je trouve parfois les scènes un peu statiques... Au 23 Gaudiano vient épauler Adlard, sans évolution visible, à part peut-être un encrage plus net, plus précis. Le tome 27 est exceptionnel par sa densité et sa construction en gaufrier. Et l'Apocalypse n'est pas loin. Une très bonne série, qui marque déjà l'histoire du genre.
J'ai détesté, tout simplement. Après avoir acheté les deux premiers tomes, j'en ai lu d'autres, prêtés par un ami. J'ai pu confirmer l'impression: trash... Je demande pardon aux fans de la série, mais les dessins sont médiocres (regardez les vivants, humains ou... le cheval à la galerie), la narration se veut intentionnellement stupide (selon les déclarations de l'auteur) et tout ça accomplit son but. C'est répétitif, sans vraies surprises, personnages sans le moindre intérêt. Pas d'horreur mais du ridicule, c'est ce que j'ai pu trouver. Un insulte aux zombies de Romero. Le succès commercial de la série aurait besoin d'une étude à un autre niveau...
(Après lecture des 24 premiers tomes) Cette série est vraiment une réussite. Pourtant je n’étais pas un public acquis d’avance : a priori , je ne suis pas spécialement attiré par les histoires de zombies et j’avoue que l’engouement général me faisait craindre que la série soit surévaluée. J’ai donc été très agréablement surpris : j’ai dévoré les 24 premiers tomes en quelques jours… Comme cela a déjà été dit, si Walking Dead fonctionne si bien, c’est parce que les scènes de baston avec les zombies ne remplissent pas toutes les pages, et qu’on s’attache davantage au comportement d’humains lambda en situation extrême, et leurs relations entre eux. Cela, Kirkman le maîtrise parfaitement. Malgré une série qui est maintenant relativement longue, il arrive à maintenir une multitude de personnages qui possèdent crédibilité et cohérence, même pour ceux qui ont évolué de façon importante au long du récit. De plus, il n’hésite jamais à faire avancer le scénario : en tuant des personnages, bien sûr, mais aussi en causant des changements de situation assez définitive. Ainsi, depuis le début de la série, on est passé d’un temps d’errance et de débrouille au jour le jour à un abri provisoire relativement protégé (la prison) puis à l’établissement d’une véritable vie en communauté (Alexandria). C’est toujours agréable de voir un auteur qui ne se contente pas de laisser toujours ses personnages dans la même situation, simplement parce que le début de la série a trouvé son public avec un certain schéma narratif. J’ai parfois un peu tiqué sur l’idéologie sous-jacente de la série, qui me semble globalement assez conservatrice, mais les personnages sont suffisamment bien écrits pour que j’aie pu passer outre. La période avec les Sauveurs (tomes 20 et quelques) m’a paru tirer un peu en longueur sur la baston, mais cela reste bien fait. Dès le début de la série, Kirkman a été parfaitement clair : cette série ne va nulle part en particulier, elle n’a pas de fin prévue, il n’y a pas de « clé de compréhension » cachée à tout cela. Mais ça ne pose aucun problème ! Tant que chaque tome continue à nous passionner... Ma note personnelle serait quatre étoiles, mais il est évident que Walking Dead servira désormais de point de comparaison pour toute histoire de zombie, que ce soit en BD ou pas. De mon point de vue, c’est précisément la définition d’une série culte.
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