Ophélie et les directeurs des ressources humaines

Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)

Ophélie cherche du boulot. Un plagiaire de Pessoa lui écrit.


Bruxelles - Brussels Les petits éditeurs indépendants

Ophélie Vandenbosch est une jeune femme qui cherche du boulot. Elle rencontre de nombreux DRH. L'un d'entre eux lui répond en recopiant les lettres du livre Lettres à la fiancée de Fernando Pessoa. Une errance étrange dans un Bruxelles presque serein. Une ballade au fil des signes et des formes. (textes Frémok éditions)

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Septembre 2000
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Ophélie et les directeurs des ressources humaines © Fréon 2000
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 2 avis)
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02/05/2005 | Spooky
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Par Gros Bide
Note: 1/5

Mon dieu que c'était ennuyeux ! J'avais « repéré » cette BD à la médiathèque de ma ville. J'avais remarqué qu'elle était composée de peu de texte et que par conséquent, elle se lirait assez vite. Du coup, je l'ai parcourue lors d'une fin d'après-midi où j'avais un court laps de temps à passer à la médiathèque avant de reprendre le bus pour rentrer chez moi. Je l'ai donc lue assez rapidement mais pas non plus dans la précipitation. Pourtant, je n'ai rien compris ! Je ne vois absolument pas où veut en venir l'auteur ! Cette intrigue n’a pas de début ni de fin… J’ai cru deviner au fil des pages l’esquisse d’une histoire d’amour mais je n’en suis même pas sûr ! Sincèrement, passez votre chemin.

14/03/2009 (modifier)
Par Spooky
Note: 1/5
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Voilà typiquement le genre de BD qui me laisse totalement de glace. L'auteur a lu Pessoa, a beaucoup aimé l'une de ses Lettres, et a décidé de l'utiliser pour en faire le cœur d'une BD minimaliste. Nous avons donc là un récit sans paroles, ou presque (deux phylactères en tout et pour tout), en noir et blanc, et particulièrement plat. Ophélie se balade, croise des gens, qui sont parfois des DRH, mais il ne se passe quasiment rien. Vrai de vrai : regardez les images de la galerie. C'est d'un ennui mortel. Si au moins on pouvait lire la Lettre en question... Mais non, on passe très vite, et on a hâte de finir la "lecture", qui intervient vite, parce qu'il n'y a "que" 88 pages.

02/05/2005 (modifier)