Après l'Incal
Série reprise/refondue dans la série Final Incal. Le célèbre détective privé de classe “R” John Difool est de retour! Mœbius, Jodorowsky et Beltran aux couleurs nous replongent dans la plus célèbre épopée SF de la Bande Dessinée francophone. Un mystérieux virus métallique dévaste l’immense Cité-Puits, et John Difool va devoir se muer une fois de plus en un improbable sauveur de l’humanité!
Auteurs mexicains Ecole Duperré Giraud-Moebius Jodorowsky L'univers de l'Incal Reprises / Refontes
Le célèbre détective privé de classe “R” John Difool est de retour! Mœbius, Jodorowsky et Beltran aux couleurs nous replongent dans la plus célèbre épopée SF de la Bande Dessinée francophone. Un mystérieux virus métallique dévaste l’immense Cité-Puits, et John Difool va devoir se muer une fois de plus en un improbable sauveur de l’humanité!
Scénario | |
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Genre
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Date de parution | Novembre 2000 |
Statut histoire | Série terminée (la série rejoint le récit de Final Incal au tome 2) 3 tomes parus |
Les avis
Avis que sur le 1er tome avec Moebius J’admire le maître et la série mère m’a marqué à vie, mais cette suite/version est complètement dispensable. Une grosse désillusion à sa sortie, histoire pas terrible et surtout les couleurs, elles me rebutent toujours autant, ça donne un rendu froid, sans âme à mes yeux, et du coup dénature le trait de Moebius (qui c’était pas trop forcé non plus). Bref c’était pas Jojo par rapport à l’attente suscitée. Et il n’y aura pas de suite « direct » en plus, la série a été refondue dans « Final incal » avec un autre dessinateur. Je déconseille même pour les fans hard core de l’auteur.
2.5 Je divise cet album en deux parties. La première est composée d'environ une trentaine de pages et je n'ai pas eu de plaisir à lire ces pages. Ça part dans tous les sens et certains passages sont incompréhensibles. On dirait que le scénario a été écrit par un fan de la série originale qui essai d'imiter le style de Jodo et qui se plante complètement. Je sais, il y avait déjà des scènes délirantes dans L'Incal, mais ça n'empêchait pas l'histoire d'être structurée et compréhensible ce qui n'est pas le cas ici. Ensuite, j'ai trouvé la "seconde" partie plus compréhensible. J'aime bien le robot qui fume des cigares. Son visage me fait rigoler et je l'ai tout de suite trouvé charismatique. Certaines idées développées sont intéressantes, mais la série est morte et ses idées sont reprises dans Final Incal donc l'intérêt de lire est très limité parce que le scénariste fera mieux dans l'autre série.
Je trouve cette série qui débute sans grand intérêt. C'est un espèce de délire mystique dont je ne saurais même pas faire un résumé de 10 lignes : une maladie qui fait que les gens doivent quitter leur corps organique, une lutte humains-robots etc. Cette lecture confirme bien le peu d'estime que je porte dans l'ensemble aux oeuvres de Jodorowsky telles que Méta-Barons, Technopères et compagnie. Pas besoin d'avoir lu la série mère L'Incal pour comprendre celle-ci à mon sens - la preuve, je n'ai lu que la moitié de L'Incal, ce qui me fait penser que je dois finir la série.
Hmmm... pas d'accord ! Fallait pas plastifier Difool. Fallait pas laquer les décors. Bref, tous ces ptis bidouillages informatiques, ça fait propre et net, mais sans vie : les cases seraient elles passées par un criogénisateur ?? En tout cas, ça passe mal, pour un retour dans l'univers de la mouette à béton et de son détective. En ce qui concerne le scénario, ça ne me convainct pas vraiment. Mais... confiance, on verra.
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