Urusei Yatsura - Lamu
Ce manga raconte les relations entre Ataru Moroboshi, un lycéen raté et Lamu, une extra-terrestre sexy hyper-jalouse. Beaucoup de fou-rires en perspective.
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Ataru Moroboshi est un lycéen japonais très malchanceux. La preuve : les extra-terrestres débarquent sur Terre, et c'est sur sa maison ! Pour qu'ils s'en aillent, Ataru est forcé d'accepter une épreuve. Il aura 10 jours pour tenter d'attraper les cornes de Lamu, la fille super-sexy du chef des extra-terrestres. Vont s'en suivre beaucoup de situations cocasses.
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Date de parution | Mai 2005 |
Statut histoire | Série terminée (Terminée en 18 tomes au Japon) 18 tomes parus |
Les avis
Urusei Yatsura est mon manga culte ! Bon. D’accord. Le début est très moyen. Ce n’est pas souvent drôle et les personnages ne sont pas attachant. Heureusement, l’arrivé de Mendo dans le tome 2 va changer ça. Bien que l’humour soit répétitif, je me marre toujours à la lecture d’un tome. Ce qui fait la force de ce manga pour moi, ce sont les personnages qui sont tous plus marrant les uns des autres ! Il est difficile pour moi de choisir entre eux tellement je les aime tous ! De plus, pour une fois, j’accroche au couple principal d’un manga de Rumiko Takahashi. Malheureusement, celle-ci, comme d’habitude, ne fait pas avancer beaucoup la relation Ataru-Lamu. C’est vraiment la grosse faiblesse de cet excellent manga. Édit du 2 Juin 2008:Les derniers tomes sont décevent. À partir du tome 16, ce n'est pas amusant la moitié du temps et en plus le dessin est devenue moche vers le tome 13-14. À moins d'etre un gros fan de la série comme moi, ses tomes sont réellement dispensable.
Urusei Yatsura est un manga que je trouve très marrant. Je ris souvent en lisant les aventures de Lamu et d'Ataru. Rumiko Takahashi a du talent pour trouver des situations amusantes et pour inventer des personnages loufoques et attachants. Malheureusement, la qualité se dégrade vers les tomes 13-14. Les situations se répètent avec lassitude et le dessin devient moche. Quant à la relation entre les deux personnages principaux, elle n’avance pas du tout et c’est frustrant. La fin est un peu bâclée, mais reste acceptable.
Urusei yatsura -- littéralement "ces gens bruyants"-- est le premier grand succès de l'une des mangaka les plus célèbres de sa génération : Rumiko Takahashi. Déjà connu chez nous grâce à l'anime que cette œuvre a engendré, ce manga nous parvient, un peu tardivement il est vrai, dans un format original et typiquement japonais : le bunko. Ce format rikiki n'est pas toujours très pratique et nécessite parfois de bons yeux, mais fera la joie vos étagères et des écologistes en herbe. Côté graphisme on dira que c'est du Takahashi. Déjà très reconnaissable dès les premiers tomes, le style qui a fait les beaux jours de Ranma 1/2 est aisément identifiable. Pour autant ce n'est pas un style de très grande qualité, le dépouillement est souvent de rigueur, les proportions parfois hasardeuses, la mise en page sommaire et sans fioritures... Bref pas terrible. La comparaison avec Ranma 1/2 ne s'arrête pas là. En fait tous les éléments qui on fait le succès de Ranma ont été puisés au sein de cette première œuvre à succès. Tant les personnages excentriques que les relations sado-maso des personnages principaux ou encore l'humour déjanté propres à ces séries s'y ressemblent comme 2 gouttes d'eau. Et enfin, comme pour Ranma, la fin sans émotion n'a pas été soignée et n'est qu'une simple petite pirouette scénaristique sans saveur. Il y a néanmoins 2 grandes différences entre ces 2 œuvres. La première est qu'il n'est pas question ici de fanas d'arts martiaux mais de lycéens "ordinaires" affublés de relations extra-terrestres (faisant d'ailleurs la part belle aux superstitions japonaises qui ne nous sont pas toujours accessibles). La seconde et la plus importante différence entre ces 2 œuvres est le format des aventures. En effet, les aventures de Ranma s'allongent parfois sur 2 ou 3 tomes, alors que pour "Urusei Yatsura" les aventures se résument souvent à un seul chapitre de 20 pages (parfois 2 ou 3). Ce qui donne un résultat beaucoup plus proche du sketch et implique la nécessité de scinder les aventures comme les journées d'un quotidien immuable. De ce fait, je ne vous conseille pas l'achat de toute la série (vraiment très longue) mais plutôt d'un tome de temps en temps, vous ne raterez rien à faire quelques ellipses dans cette série qui, au bout d'un moment, finit quand même par beaucoup tourner en rond... Comme Ranma 1/2 !
Note approximative : 2.5/5 Après Elle et Lui, c'est le 2e manga de suite que je lis en découvrant que je préférais l'animé correspondant. L'anime Lamu était à mes yeux relativement bien dessiné, dynamique et drôle tout en étant original. Le manga Urusei Yatsura est lui aussi assez original dans son délire mais l'humour et le rythme passent nettement moins bien à mon goût. Le dessin du manga est très moyen, du niveau du début de la série Maison Ikkoku (Juliette je t'aime). Ce n'est donc déjà pas par le dessin que je pourrais être séduit. Ce que j'apprécie par contre, c'est que la série se compose de petites histoires courtes de seize pages environ. Cela permet de ne pas s'éterniser sur une intrigue et de garder l'interêt du lecteur. Mais voilà, cela ne marche pas totalement pour moi. Parce que je n'accroche pas avec les personnages pour commencer. A part Lamu, je trouve les autres personnages sans charme et sans profondeur (je n'ai pas dit que Lamu avait de la profondeur, ceci dit). Et je n'aime particulièrement pas Ataru lui-même qui n'a vraiment rien d'attachant. Quant à l'humour, le côté "oh la la, pauvre Ataru, qu'est-ce qu'il n'a pas de chance quand même" m'a très vite agacé, aussi vite que le côté dragueur stupide et incapable de se retenir d'Ataru. Là où Maison Ikkoku fonctionnait bien pour moi par son mélange de moments calmes et de délires, ici c'est du délire sans arrêt, sans pause et sans contraste. L'humour vient du contraste pour moi et Urusei Yatsura pêche à ce niveau. Alors autant le délire est parfois sympa car ça part dans tous les sens à coup d'extra-terrestres, de personnages de légendes, de démons, etc... autant ça devient assez vite saoûlant. Le côté saoûlant peut être évité en ne lisant qu'une ou deux petites histoires à la fois et pas la quinzaine qu'offre chaque album de la série. Mais je porte trop peu d'interêt à la série et les histoires ne me font pas suffisamment sourire pour me donner envie de lire plus avant la plupart du temps, et encore moins de l'acheter.
Urusei Yatsura est une série que je trouve très attachante. Ici, le registre est délibérément l'humour et le fantastique, et peu d'oeuvres ont su aller aussi loin dans un imaginaire de déconnade complètement déjantée, et Rumiko Takahashi a parfois des idées vraiment fascinantes. Malheureusement, il faut admettre que la série est très hétéroclite et inégale. Personnellement, je trouve que les histoires qui tirent vers le fantastique sont les plus intéressantes, et j'ai de vrais coups de coeur pour certaines d'entre elles. Mais une bonne moitié des chapitres est assez anecdotique. J'aime également beaucoup la densité des histoires. Contrairement à la plupart des mangas qui prennent le temps de développer les ambiances, Urusei yatsura fait la part belle à l'action et aux rebondissements. ça peut saouler si on lit tout d'une traite, mais dégusté par petits morceaux, c'est très agréable. Le dessin est un peu vieillot au début mais ça s'arrange vite. Enfin, ce n'est clairement pas l'atout majeur de la série, mais il est suffisamment réussi pour rendre la lecture plaisante. Enfin, l'édition française est très soignée. Ces petits livres sont très abordables, le papier est de bonne qualité, les traductions sont très biens. Un vrai plaisir !
C'est la première série-fleuve de Rumiko Takahashi. Le dessin est très approximatif, du niveau des premiers volumes de Maison Ikkoku, mais on lui pardonnera, vu que ce sont ses débuts. Ataru est l'anti-héros par excellence. Malchanceux, peureux, malheureux en amour, pervers, mais pourtant c'est lui qui doit sauver le monde de l'invasion des extra-terrestres. L'humour n'arrive pas au niveau de Ranma 1/2, mais il est vrai que je n'ai lu que le 1er volume. J'attends la suite pour vraiment donner un avis.
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