Donjon Parade
Alors là ça se situe entre le tome 1 et le tome 2 de Donjon Zenith.
Auteurs canadiens Donjon Gobelins, l'École de l'Image Heroic-Fantasy (pour de rire) Larcenet Les Arts Appliqués de Paris Lewis Trondheim Monstres rigolos Sfar
Cette fois nos deux scénaristes nous racontent des histoires qui on t eut lieu avant l'apprentisage de l bagarre à Herbert. Toutes les histoires sont pleines d'humour, c'est encore des histoires intépendantes comme par exemple ! -Un nouveau gars construit un donjon et il faut l'empéher de faire mieux que le Donjon. -Ou encore, il faut aller demander à un pauvre mourrant ce qu'il faut faire du voeux qu'ils ont avec le lampé magique ! Tout se termine bien. Et c'est vraiment éclatant !
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Date de parution | Septembre 2000 |
Statut histoire | Une histoire par tome 10 tomes parus |
Les avis
Parade est sans doute la série la plus légère de tout l’univers Donjon, et c’est clairement assumé. Ici, on ne cherche pas à développer une intrigue complexe ou à approfondir des personnages, mais plutôt à enchaîner des situations comiques avec Herbert et Marvin en tête d’affiche. C’est ce ton humoristique qui fait tout le charme de cette série. On est loin des autres cycles qui peuvent parfois se montrer plus sérieux ou sombres, ici, c’est avant tout de la détente. Cela dit, cette légèreté a aussi ses limites. Les histoires se déroulent toutes entre les tomes 1 et 2 de Zénith, ce qui donne un cadre assez restreint. Résultat, ça manque parfois d’enjeu et on a un peu l’impression de tourner en rond avec des péripéties qui, bien qu’amusantes, ne marquent pas forcément. C’est sympathique à lire, mais ça ne transcende pas l’univers de Donjon. C’est plutôt du divertissement ponctuel, un peu comme une pause entre deux aventures plus ambitieuses. Le dessin de Larcenet colle parfaitement à cet esprit léger. Ses personnages ont des têtes rondes, expressives, presque naïves, qui accentuent le côté comique des situations. C’est simple, efficace, et ça fonctionne bien avec l’humour du scénario. Mais là encore, si on est fan des intrigues plus profondes des autres séries, on peut être un peu déçu. Il y a quand même des moments vraiment drôles et certaines histoires sortent du lot. Des passages comme celui où Herbert doit se déguiser en vampire ou encore les délires autour de Grogro sont mémorables. Pour le reste, ça reste agréable, mais pas indispensable si on n’est pas un fan inconditionnel de l’univers Donjon. En résumé, Donjon Parade, c’est de la légèreté, de l’humour à foison, mais sans prétention. On le lit pour se détendre, sans chercher à y trouver la profondeur des autres cycles. Sympa, mais clairement dispensable.
De toutes les séries Donjon, c'est largement celle-ci que j'aime le moins. Sans doute parce qu'elle n'a pas le côté évolutif des autres et reste cantonnée à une date précise dans le "grand Tout" et se borne à vouloir être drôle. Alors j'aime bien l'univers Donjon par son côté comique, j'aime bien le dessin de Larcenet, mais c'est franchement sans passion et sans réellement m'y amuser que je lis les albums de cette série là. Franchement, c'est sympa, pas prise de tête, mais il n'y a pas grand chose de plus à en tirer pour moi. A noter tout de même que dans cette série se trouve l'album Technique Grogro qui, à mes yeux, sort nettement du lot : beau, excellente histoire, très drôle, et en plus l'album donne davantage de profondeur au personnage de Grogro. Cet album est du niveau d'un très bon Donjon Monsters. Quant au tome 6, il est dessiné par Alexis Nesme et même si son scénario n'a pas tellement marqué ma mémoire, son dessin est très beau par contre. Note : 3,5/5
Je remonte la côte de cette série, certainement la plus dispensable de l’univers (avant les antipodes) mais tout à fait recommandable et sympathique. Les scenarii se situent tous entre le tome 1 et 2 de Zénith, on suit les aventures de Marvin et Herbert avant que ce dernier ne sache se battre. Forcément cette temporalité ne fera pas évoluer les enjeux de la série, mais j’aime beaucoup cette période où Herbert se la joue encore poule mouillée, et sa relation avec Marvin est encore pleine de camaraderie. C’est très anecdotique (trop pour certains) mais rempli d’humour et de péripéties légères. Il me semble que cette série à vue le jour après la non adaptation en dessin animée de l’univers. Le ton est donc assez accès jeunesse et les aventures se lisent vites, une trentaine de pages par album, mais je ne boude pas mon plaisir. Un 1er tome gentillet mais la suite décolle bien plus, il y a franchement des passages cultes (la boucle temporel, les vampires, le peuple de Grogro...). Les 5 premiers albums sont sous le pinceau de Larcenet, école Bill Baroud, ça convient parfaitement à l’ambiance de la série, la couverture du tome 3 l’illustre très bien, j’adore. Le tome 6 marque un sacré changement sur le plan graphique, Alexis Nesme a un dessin bien plus léché mais on perd en mimiques et spontanéité (j’ai un peu de mal avec la tête de Herbert et ses yeux noirs, manque d’expressivité), mais l’histoire est réussie et comporte ses bons moments, les rafistolages d’Horous sont très drôles. Je continuerai à suivre sans hésitation. 3,5+
De toutes les déclinaisons de l’univers Donjon, cette série est clairement celle dont on pourrait se passer le plus facilement je pense. D’abord parce que les auteurs ont fortement restreint le cadre de ces aventures, ici centrées sur Marvin et Herbert. Mais aussi parce qu’elles sont censées se dérouler entre les deux premiers tomes de « Donjon Zenith ». Alors, c’est sûr, ça se laisse lire, mais c’est clairement moins réussi que les autres séries. Et surtout, alors que c’était censé être des intermèdes humoristiques, je trouve que ce n’est pas forcément si drôle que ça, et en tout cas moins drôle que certains albums des autres séries Donjon. Lecture intéressante. Pour l’achat, envisageable, seuls les vrais fans de l’univers y trouveront sans doute leur compte.
Donjon Parade ne vaut absolument pas les autres séries de Donjon. Tout d’abord, c’est beaucoup moins ambitieux, coincé temporellement entre les 2 premiers volumes de Donjon Zénith et spatialement dans le donjon. La qualité et l’originalité des scénarii pâtissent un peu de ces contraintes. L’idée est saugrenue et les mauvaises langues pourraient y voir un objectif purement commercial. Ensuite, les albums ne font qu’une trentaine de pages et se lisent beaucoup trop vite. Néanmoins, on retrouve avec bonheur l’atmosphère, l’humour et les personnages de D. Zénith. Certes, les histoires sont légères mais le plaisir de lecture est toujours là. De plus, les dessins de Manu Larcenet, très fidèles à ceux de Trondheim, sont agréables et parfaitement dans l’esprit de la série. Bref, je conseille la lecture de Donjon Parade mais uniquement en complément de Zénith.
Série pour les fans de Donjon uniquement. Je n'ai d'ailleurs pas très bien compris l'intérêt de placer une série entre le tome 1 et 2 de Donjon Zénith. Bref les tomes ne sont pas tous bons même si certains offrent des passages quasi-culte. Mais on ne trouve pas l'humour et c'est plus sage que Donjon Zénith. Niveau dessin et bien c'est du donjon. Série à lire une fois si vous êtes accro à Donjon.
Je voulais découvrir ce phénomène et, manifestement, j’ai commencé par la mauvaise déclinaison. Alors, comme les autres lecteurs, j’ai trouvé l’univers très restreint et l’humour très moyen et répétitif. Restent quelques bonnes idées et un esprit bon enfant sans prise de tête, ce qui est toujours appréciable. Le dessin de Larcenet n’est pas de ceux que j’apprécie mais, dans le cas présent, il n’influence en rien ma cote. Je pense cependant que jamais je ne lirai une de ces séries pour son style graphique. Je le trouve vraiment trop succin, trop caricatural, trop faussement maladroit. Peut-être un jour me lancerai-je dans une autre des déclinaisons de ce Donjon mais dans le cas présent, mon sentiment, c’est bof, bof …
Alors que les choses soient claires, Donjon Parade est la série la plus dispensable de toutes les séries que comporte Donjon. Et ce n'est pas le nombre peu élevé des tomes qui va me contredire en regard des 4 autres. Et pour cause : Donjon Parade ne dispose pas de la même liberté de ton que peut offrir un monde aussi vaste que celui de Terra Amata, terre de ces aventures rocambolesques. La période est déjà limitée puisqu'il s'agit de petits épisodes à caractère humoristique se situant entre le tome 1 et 2 de la série Donjon Zénith et axée principalement sur Marvin et Herbert. Ça n'en fait pas le vilain petit canard de la série malgré tout car les illustrations toute en rondeurs de Larcenet époque Bill Baroud, unique dessinateur de cette série, collent parfaitement à l'esprit o combien jouissif et appétissant des Donjon. On y trouve pèle mêle une parodie réussie de Disneyland, un album avec Grogro qui n'aurait pas dépareillé dans Donjon Monsters, de quoi lire et sourire dans le monde toujours décalé de ce donjon décidément pas comme les autres. Le principal souci se situe davantage dans l'ambition des histoires bien plus quotidiennes et sages que ce que l'on est amené à attendre. Elles sont de surcroit bien plus courtes et ne font guère évoluer l'intrigue car bloquées dans ce flou de Donjon Zénith 1,5. C'est ce qui peut en faire le charme mais également la principale contrainte. L'ensemble reste de haute volée mais ne constitue qu'un apéritif, une parade de choix face à l'écrasante suprématie des autres cycles. Il y a toujours un thème qui prête à sourire comme le paradoxe du temps dans le second tome ou l'hilarant et désormais culte passage du 3ème tome où notre Herbert national doit se grimer en vampire pour sa survie !!! :) Divertissant, dispensable mais loin d'être futile, de parfaits intermèdes à la noirceur progressive de l'oeuvre principale et rien que pour cela, les 4 étoiles attribuées sont parfaitement méritées.
Donjon Parade est un cran en-dessous de Donjon Zénith et Donjon Potron-Minet mais pas de beaucoup. La lecture reste toujours aussi divertissante. Nous suivons toujours les aventures du canard sympathique Herbert et de son acolyte draconiste végétarien Marvin. Celles-ci se situe chronologiquement entre le tome 1 et 2 de la série "Zénith". Ce qu'apporte de plus Donjon Parade, c'est ce double niveau de lecture qui parodie l'héroïc fantasy et pas seulement... Le premier tome est par exemple une critique à peine voilée de l'univers des parcs d'attraction attirant une foule immense. Par contre, je suis étonné par le nombre de pages qui a fortement diminué par rapport aux trois séries mères. Les albums sont dessinés par Manu Larcenet dont j'apprécie le trait graphique. Je ne remarque pas de différences notables avec les autres dessinateurs de Donjon ce qui apporte une certaine cohérence visuellement. Cette série "Parade" se veut d'un ton plus léger et on peut la lire de manière totalement indépendante à chaque tome.
Cette série est un peu à part dans l'univers donjon. Elle joue beaucoup plus sur le côté humour que sur le côté aventure. Ca me fait toujours assez rire. J'aime particulièrement l'album le jour des crapauds, un grand moment burlesque. Cette série met également en valeur des personnages cultes de l'univers donjon que ce soit Marvin, le gardien, ou Herbert, mais également les deux imbéciles de service Grogro toujours accompagné de ses tilapins et Zongo. Le tome 5 est, d'ailleurs, centré sur Grogro... De tout l'univers, c'est la série la plus tournée vers les ados. Le dessin de Larcenet est comme toujours super efficace. Alors certains diront que cette série est inutile dans "l'oeuvre" donjon, mais je crois qu'elle a surtout valeur d'espace de respiration et de véritable défouloir pour les trois auteurs.
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