La Tour des miracles
D'après le roman de Georges Brassens.
Adaptations de romans en BD Davodeau École européenne supérieure de l'image Georges Brassens
Avant de rencontrer le succès avec ses chansons, Georges Brassens avait écrit un roman, désormais totalement introuvable en librairie. Avec un plaisir évident, Etienne Davodeau et David Prudhomme l'ont magnifiquement adapté.
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Date de parution | Novembre 2003 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis
Je pense que je viens de lire le pire truc que Davodeau a fait dans sa carrière. Je n'ai pas lu le roman de George Brassens (curieusement, même si je suis un amateur de vieille chanson française, ce chanteur ne m'a jamais intéressé) et je ne sais pas si la bd respecte l'œuvre originale, mais en tout cas j'ai trouvé cela navrant. C'est tellement absurde que je ne suis pas rentré dans l'histoire. En comparaison, Fred écrit des histoires réalistes. Il ne se passe rien. On dirait juste une succession d'images loufoques accompagnée d'un texte improvisé du début jusqu'à la fin. Je ne sais pas si Brassens voulait exprimer quelque chose, mais moi en tout cas je me suis bien ennuyé.
Qu'est ce que c'est que cette BD ? Je n'ai jamais réussi à rentrer dans cette histoire, si tant est qu'il y en ait une. Tout est absurde mais à un niveau qui me dépasse complètement. L'avis précédent résume bien cet état de fait. Le dessin est en rapport, décalé, sans cadrage précis et avec des couleurs délirantes aussi par moments. On ne peut pas parler de réussite non plus sur cette partie. C'est simple, j'ai tenu jusqu'à la page 30 en me forçant par respect pour Davodeau que j'apprécie. Mais arrivé à saturation, j'ai refermé cette BD. Au final, rien ne m'a plu dans ce one shot...
Dans la tour des miracles, les chats marchent au plafond (faites attention à ne pas leur marcher sur la queue), passe-lacet pisse dans sa culotte (sacré passe-lacet), un mort s’emmerde et se réveille (suive qui peut), Voirie voirie entre tout entier dans le vagin d’Annie pan pan pan (après cette expérience, Annie n’eut plus de rapports qu’avec la tour Eiffel), le président de la secte occulte des masturbateurs frénétiques se plante sur une marche branlante (ahahah le bon jeu de mot), etc. Tout l’album est du même tonneau. Pas d’histoire - juste des personnages débiles dans un monde loufoque. Comme quelqu’un l’a dit sur le forum, c’est comme le rêve délirant d'un ivrogne au vin gai qui se serait couché après une bonne cuite au gros bleu qui tâche. Très peu pour moi. J’ai essayé de lire cet album deux fois et à chaque tentative, je n’ai pas réussi à arriver au bout. Un album m’aura rarement autant emmerdé et énervé que celui-ci (bravo aux auteurs pour ce tour de force). J’aime les chansons de Brassens et j’aime les albums de Davodeau, mais je n’ai pourtant PAS DU TOUT AIMÉ la tour des miracles.
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